Chapitre 133 :

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2 mois plus tard.

Je suis à 6 mois de grossesse, en semaine ça me fait 24 semaines de grossesse. Les jumeaux ont bien pris leurs places. J'ai un ventre très imposant.

Enfin comme une femme enceinte de jumeaux à 6 mois.

Mais aujourd'hui est un jour spécial, un jour pas comme les autres.

Aujourd'hui c'est notre mariage, à moi et Rafaël.

Pendant ces 2 mois, on a fait tous les préparatifs. Entre mariage et grossesse. Les achats ont étaient énormes, heureusement que nos comptes bancaires ont des chiffres énormes et que malgré nos dépenses, rien ne changera, il restera élevés.

Nous sommes en juin, la chaleur est encore plus intense qu'en avril. Je suis trop excitée !

Rafaël a passée la nuit dans une autre maison avec tout les garçons, mon père, mes oncles, et mes cousins. Dans la maison il n'y a que tes filles.

C'est comme ça que nous avons décidé de faire, pour ne pas qu'on se voit avant de se voir dans l'église pour unir pour toujours.

Je me lève du lit de bonne humeur, je suis beaucoup trop impatiente !

Je descends les escaliers, une bain sur mon grand ventre. Mon dieu que sa pèse, c'est lourd de porter du jumeaux !

Il est 9h20, nous avons dû enclencher les réveils pour être préparés à l'heure.

Je me marie dans quelques heures. Déjà !

-Coucou ! Hurle ma sœur.

Je salue et câline chacune des filles de la maison. Ça fait bizarre que nous sommes toutes réunis sans hommes, que entre femmes.

-Hâte ? Demande ma mère avec un grand sourire.

-Plus que hâte ! Je suis impatiente..

Ma mère et mon père ce sont bien rapprochés depuis ces 2 mois passés, je suis presque sûr qu'il se passe quelque chose entre eux.

Nos demoiselles et monsieur d'honneur sont Lorenzo, Sergio, Matteo, Winter, Léane, et Rosalia.

À l'église, c'est Elena, la mère de Rafaël qui lui tiendra le bras pour l'emmener à l'église. Moi ça sera mon père.

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Nous sommes toutes prêtes, il est 13h30. Et la cérémonie commence à 14 heures. Nous allons donc partir, les garçons sont aussi prêts d'après ma mère.

Ma robe blanche est une robe marquise à dentelle. Juste magnifique.

Mes cheveux sont détachés et ondulée dans mon dos. Grâce a la coiffeuse. La maquilleuse m'a fait un maquillage de marie magnifique.

La prothésiste angulaire m'a fait de magnifiques ongles d'une forme ballerine de couleurs blanches.

Bracelet, collier, habituel. Mais certains ajouter, beaucoup de diamant.

Toutes les filles ont une robe blanche magnifique, des cheveux, un visage magnifique. Tout est parfait.

Ce jour, fera parti des plus beaux jours de ma vie. Car le premier plus beaux jours de ma vie sera la naissance de mes enfants.

Nous sommes sur la route, je suis beaucoup trop impatiente..

Très rapidement, nous arrivons à destination. Un chauffeur que nous avons engagé m'a emmenée. Suivis de près par les filles derrière.

Juste Léane et Elena qui sont partis avant nous pour que Elena emmène Rafaël à l'église par le bras.

C'est comme ça les entrés à l'église. Pour le mari, la mère emmène. Et pour la mariés, le père emmène.

Les garçons sont déjà dans l'église. Avec plusieurs de nos proches, on a fait venir des membres de nos familles qu'on ne connaît pas forcément beaucoup mais de vue, du moment où ce connaît ça fonctionne. Ils font quand même partis de notre vies.

On est 300 au total si je ne dit pas de bêtise.

J'avoue que je stresse un peu, sa veut dire qu'il aura beaucoup d'œil sur nous. Je n'aime pas trop les regards, mais je sais qu'ils seront tous bienveillants.

Nous sommes devant l'église.

-Ça va ? Demande Chelsea.

-Un peu le traque, mais ça va.

Ma mère dépose un baiser sur mon front, puis les filles me câlinent avant de partir, elles entrent dans l'église.

Lorsqu'elles entrent, mon père sort, pour moi.

-Wow..

Mon père descend les 3 marches, se trouvant devant moi avec les yeux qui brillent de larmes. Un bouquet de fleurs à la main. Des roses blanches.

À les roses.. qu'est-ce que j'adore ça. Il s'en rappel. Rafaël l'es a pris..

Mon père me donne les fleurs, et me câline.

-Tu es magnifique ma fille, murmure-t-il.

-Merci papa, toi aussi, rigolais-je.

Il me tend son bras que je prend. Et mon autre main je tiens mon bouquet.

Alors que j'entre dans l'église avec mon bras autour de celui de mon père. Les applaudissements et les sifflements de joie se propagent dans la salle.

-Arrêtez vous allez me faire pleurer ! Rigolais-je au bord des larmes.

Le monde dans l'église éclate de rire sous ma réaction.

Quand je l'ai vu mon cœur c'est affolée, cet homme est magnifique et son costards noir lui va à merveille.

Je ne l'ai pas lâcher du regard une seul fois et lui aussi. Je ne vois que lui, il ne voit que moi, nous ne voyons que nous à présent.

Ses faussets et son sourire me font craquer.

Marchant jusqu'à mon homme, une fois arrivée, mon père reprend le bouquet que je lui tend et repart s'assoir comme les autres, je finis par me trouver face à lui, avec nos sourires on se regardes.

Ces mains prennent les miennes en restant face à face. Sans se lâcher du regard.

-Aujourd'hui nous accueillons les jeunes fiancés, pour un nouveau liens devant Jésus, commence le prêtre.

Le prêtre fait son discours, qu'on écoutes attentivement sans se lâcher du regard, ni sans lâcher nos mains.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant