Sálvame si puedes

Chapitre 1

Rien que l'idée de le revoir me donne des hauts le coeur. Même si je suis assez contente de retrouver mes deux meilleurs amis d'enfance.

Tout ce dont j'ai fuis pendant 2 ans allait me retomber dessus.

Avec ma mère, nous sommes partit de la maison sans même prévenir mon père. Tout ce dont j'espérais en faisant cela, c'est qu'il souffre tout ce que ma mère a souffert.

Mes valises terminée, je fis un dernier tour de ma maison, recoiffa légèrement mes long cheveux brun et commanda un taxi, direction l'aéroport.

À travers la vitre du taxi, je voyais la vie que je mettais reconstruite pendant 2 ans s'envoler. Mes larmes menaça de couler et mon cœur battait de plus en plus vite en repensant à tout les souvenirs qu'il me reste d'elle.

Arrivée à l'aéroport, je prend place dans mon avion. C'est la première fois que je le prend seul. Habituellement, ma mère est là pour me tenir la main.

Le stresse commence à monter petit à petit mais j'essaye de penser à ce que m'aurais dit maman dans cette situation. Ma respiration ce calme petit à petit et le stresse aussi.

Quelque heure plus tard, j'arrive enfin à destination. Je pris un taxi et direction ma maison d'enfance. Là où se trouve la personne que je redoute tant d'affronter, mon père.

Je me rappel exactement où se trouve ma maison, dans le taxi mes pensées s'embrouille toute ensemble. Que vais-je dire quand je serais en face de lui ? Devrais-je m'excuser de l'avoir laisser tombée 2 ans plus tôt ? Même si au fond de moi je sais qu'il ne mérite en aucun point mes excuses. C'est de sa faute qu'on n'est partit.

Au fur et à mesure qu'on se rapprochait de ma maison, mon cœur tambourine de plus en plus fort dans ma poitrine, mes mains commence à trembler et mes larmes menace de couler à nouveau.

Nous sommes arrivée. En voyant cet maison tout plein d'émotion me submerge, la haine, la peur et la tristesse. J'avais passée mes meilleurs moment comme j'y ai passée les pires.

J'avançais pas à pas jusqu'à la porte, mon envie de faire demi tour était immense mais je ne devais plus fuir. Sans réfléchir plus longtemps je toque à la porte.

Je n'ai pas dû attendre longtemps avant qu'un homme ouvre la porte, c'était lui. Son visage est marqué par les temps avec des nombreuses rides profondes notamment autour des yeux, du front et du coin de la bouche. Ses cernes formant des poches sous ses yeux , donne l'impression qu'il manque de sommeil. Lorsque ses yeux se poses sur moi, c'est sourcil se fronce, sont visages, lui, affiche un expression stupéfiant.

Nous restons quelque seconde à ce regardez, peut être qu'il se demandait qui était l'inconnu venu toquer à sa porte ? Ou alors il se demande peut être qu'est ce que sa fille viens refaire ici.

Je ne pu prononcer un mot que c'est deux bras entourèrent ma taille. Son contacte me fit  frissonner et malgré le dégoût que je ressens à son égard un sentiment de bonheur et de tendresses me submerge.

Peut être qu'il regrette tous ce qu'il a fait subir à ma mère et à moi et qu'il a changée lorsque qu'on est partit. Même si je n'ai aucune envie de lui pardonner de nous avoir détruit.

Nous restons dans cet position quelque minute, ensuite il s'éloigna légèrement et me regarda dans les yeux.

-  Tu es revenu, me souffle t'il, où est ta mère ?

- Elle est morte. Crachai-je d'un ton froid.

Son visage affiche une mine horrifiée. Cela me dégoûtais, autre fois nous l'avions fuis pour la violence qu'il infligeait à ma génitrice et aujourd'hui il semble triste de son décès ?

Je ne pris pas le temps de lui répondre et rentre dans la maison. Rien n'avais changée, il y avait juste quelque cannette de bière partout. Je vois qu'il ne connaît toujours pas le mot hygiène. Il attend peut être que ma mère le fasse, à non il ne peut plus l'obliger à ramasser c'est crasse à présent.

- Ma chérie, je suis tellement désolé pour tout ce que je vous ai fais subir. L'entendais-je déclare dans mon dos. Je me retourne légèrement pour voir son visage inonder de larmes. Tout est de sa faute il n'a pas le droit de pleurer. Mon regard devient noir, mes yeux le scrutaient avec haine.

- Ce n'est pas à moi que tu devrais t'excuser, mais à la femme que t'a battu. La seul façon de lui faire comprendre c'est de le faire culpabiliser. Tout ce que j'ai envie c'est qu'il souffre avec mes paroles, ce sera jamais aussi douloureux que ce qu'il a fait mais je ne suis pas une mauvaise personne, je ne suis pas comme lui.

Son regard s'abaisse vers ses chaussures et je ne perdu pas de temps avant de monter dans mon ancienne chambre pour y déposer mes affaires. En revoyant cet maison, ma chambre et toutes les photos qu'il avait laisser dont ce meuble.., tout les bons moment passer ici me reviennent mais les mauvais aussi. Mon cœur souffrais et mes larmes coulait une à une sur mes joues.

Mon père nous avait détruit toute les deux enfin..tout les trois et pourtant je suis là, dans la maison où il se trouve. Je n'ai plus de famille, du cotée de ma mère ils sont tous décédés et ceux du coté de mon géniteur, je ne l'ai et jamais connu.

Je défais mes affaires, retire un peut les poussières des meubles et sorti dehors. Je n'avais qu'une hâte, c'était de retrouver mes amis d'enfance.

Demain, je n'aurais pas le choix de retourner au lycée. Je vais revoir toute mes anciennes connaissances dont lui.

Arrivée devant la maison de ma meilleure amie, mon cœur s'emballe à l'idée de la revoir, je n'espérais qu'une chose c'est qu'elle habite encore ici.

J'hésitais à toqué, mes mains tremblais. Peut être que je devrais y aller demain ? Où la surprendre en cours ? J'allais me retournée lorsque la porte de sa maison s'ouvre. En même temps j'entend deux voix rigoler, deux voix que je reconnu directement. C'était eux, mes deux meilleurs amis d'enfance. Ana et Ewen. Leurs regard ce tourne vers moi, nous ne bougions plus pendant au moins 15 bonnes secondes, puis tout deux me fonça dans les bras en criant mon prénom.

Je suis de retour à la maison, mon sourire s'intensifie en entendant leurs rires. Ils m'avaient tant manquée.