The Fears

Chapitre 145 :

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Point de vue de Rafaël Valasco :

Après que Alisson ce soit endormie, je suis partie me préparer moi aussi.

Une fois laver, j'enfile mon caleçon, un short noir et je dépose mon t-shirt sur mon épaule.

J'essore mes cheveux trempés, brosse mes dents et mes cheveux, débarbouille mon visage.

À peine terminé de me débarbouiller, quelqu'un toque à la porte.

Je sors de la salle de bain, pour aller ouvrir la porte.

À peine la porte d'ouverte qu'un poids ce jette sur moi. Ça veut donc dire qu'il est 8h30.

Mais non, elles sont déjà là ? Après tout elles avaient dit qu'elles viendront à l'ouverture.

-T'es trempé ! Dit Léane.

-Chut ! Et c'est normal, je sors de la douche retrasado, murmurais-je. (=Debile)

Léane m'envoie une tape à l'épaule pendant que je rigole. À présent, nous parlons moins fort. C'est mieux pour éviter de réveiller Alisson et les jumeaux.

Ma mère, Léane, Winter, Lily, Tony, et la mère de Alisson sont ici. Chacun me dit « félicitations ».

Je les fait entrer dans la chambre.

-Vous avez pu dormir depuis que vous êtes rentrés à la maternité ? Demande son père.

-Non, on a pas pu dormir. Par contre, Alisson vient tout juste de s'endormir.

-Donc toi tu n'a pas dormi ?

-Non. Mais tu sait très bien que je peux enchaîner un grand nombre de jours sans dormir.

-Je sais, je m'en rappel bien quand je devais te gueuler dessus pour que tu dormes parce que t'avais déjà enchaîné 3 jours sans dormir. Heureusement que j'ai réussi à te faire prendre un rythme. Surtout depuis que t'es avec ma fille, tu dort chaque nuit. J'ai plus besoin de réprimander, rigole-t-il.

C'est vrai, je m'en rappel.Je sourie, mettant mon t-shirt noir.

-Elle s'est endormie quand ? Demande Winter.

-Il y a moins de 10 minutes.

-Alors les prénoms ? Demande Tony.

-Je vous laisses voir de vous même, souriais-je.

Alors, doucement ils avancent vers le berceau des jumeaux, ils n'avaient pas osés allez les voir directement.

Devant le berceau au coter du lit de Alisson se trouve les jumeaux. Habiller de leurs body noir, leurs cheveux bruns qui est un mélange de blond et de noir, qui a donner des cheveux bruns, avec leurs seul et unique mèche blonde polaire, comme leur mère. Et leur tache de naissance chacun. Avec leur petit bracelet autour de leurs fin poignet. L'un à coter de l'autre allongés entrain de dormir.

Sur le berceau transparent ce trouve la date naissance, l'heure de naissance, le nom de famille et leurs prénoms.

28 août 2025. 05h05. Ryan Valasco et Rayan Valasco.

Les jumeaux commencent à gigoter et à grimacer. Mais lorsque je dépose mon index devant eux, ils n'hésitent pas l'attraper de leurs petites mains tout les deux. Ils ne grimacent plus, leurs yeux s'ouvrent.

Alors qu'ils étaient silencieux entrain d'observer les nouveaux nés, leurs bouches s'ouvrent en voyant leurs yeux.

-Wow, murmure Lily.

-Ils ont exactement vos yeux, ajoute ma mère.

-Ils ont des yeux spéciales et magnifiques, comme moi même si ce n'est pas de la même façon, dit Winter.

C'est vrai. Winter a une sectoral heterochomia, c'est une moitier de verts et de bleus dans les yeux. 50% de bleu et 50% verts dans le même œil, pareil pour son autre œil.
Ryan et Rayan ont une heterochomia complète, c'est un œil bleu et un œil vert. Des yeux vairons.

Ils déposent leurs doigts délicatement dans le berceau. Pendant que Ryan et Rayan les regardes de leurs petits yeux.

-On vous a pris des cadeaux, dit la mère de ma femme.

-Merci, fallait pas.

Alisson dort paisiblement. Et sur son ventre, je pense qu'elle est contente de pourvoir enfin re dormir sur son ventre.

À nouveau ça toque à la porte. Alors je pars ouvrir la porte, voyant Sergio, Lorenzo, Matteo, Ayden et Rosalia. Il y a aussi Don Angelo, notre médecin privé.

-Je suis flatter que vous m'offrez des fleurs, rigolais-je.

-C'est pas pour toi, c'est pour ma sœur, stronzo, dit Lorenzo.

Je place ma main en faisant une tête triste, puis un éclat de rire nous emportes. Mais rapidement je fais signe à tout le monde de ce calmer.

Je les fait entrer, nous nous dirigeons vers tout le monde en même temps, ils félicitent.

Un attroupement autour des jumeaux me fait sourire. Tout le monde les complimentes, ça me fait chaud au cœur.

Un grand nombre de cadeau se dépose sur le canapé. Puis Lorenzo se rapproche de Alisson qui dort. Déposant ses lèvres sur sa tempe pour la saluer.

❃𓆉❃

Point de vue de Alisson Valasco :

Je me réveille, entendant des voix et des lèvres sur ma tempe.

Ouvrant les yeux je vois mon grand frère devant moi.

-Désolé je ne voulais pas te réveiller, murmure mon frère.

-Ce n'est rien ne t'en fait pas, murmurais-je à mon tour.

Bon bah au final j'ai fait une sieste au lieu d'un gros sommeil.

Je frotte mes yeux en m'asseyant. À peine ai-je fait un geste qu'un corps se jette sur moi.

C'est Winter qui vient littéralement de se jeter sur moi en m'enlaçant. Je la câline en retour, Rafaël apparaît dans mon champs de vision, un sourie à ses lèvres.

Heureusement que la chambre est grande, parce que on est une bonne quinzaine.

Ils nous félicitent de la naissance des petits, et nous les remercions.

Je me lève afin de dire bonjour à tout le monde. Finalement, le repos sera pour plus tard.

Ça me fait plaisir d'avoir mes proches à nos côtés. Je pense que le reste de la famille viendra soit cette après-midi sois demain. Keegan et tout le reste.

Je dis à Sergio et Lorenzo que j'ai vu la vidéo où ils étaient défoncés qui date quelques années.

-Mais non mec ta pas fait ça ! Dit Sergio.

-Trahison, dit Lorenzo.

Mon père, Matteo et Rafaël se mettent à rigoler. Matteo a sûrement déjà vu cette vidéo du coup.

-Matteo à ta place je rigolerai pas trop. Parce que j'ai aussi vu une vidéo de toi défoncé sur la piste, le narguais-je.

Automatiquement il se calme, déclenchant l'hilarité de Rafaël. La vidéo où était Matteo. C'était quand ils avaient tout les 2, 16 ans et qu'ils étaient en boîte complètement défoncé et que Matteo c'est mis à danser comme un con sur la piste de danse.

-Sale batard, crache Matteo.

-Alors de base je voulais juste lui raconter des anecdotes pendant les contractions pour la faire penser à autre chose ! Et ça a marcher ! Un mal pour un bien, non ? Rigole Rafaël.

Une sourire sur mes lèvres, doucement Rafaël calme son fou rire.