La reine du Chao

Chapitre 5 Ailla

4000 ans avant

Il se tient devant moi droit, tel un parfait soldat en attente de mes commandements. Il est doté d'une beauté discrète. Son regard bleu-gris vie une intelligence et une curiosité digne d'un enfant. Comme si, on l'avait gardé sous une cloche de vers. Son innocence a quelque chose de rafraichissant mais aussi d'un attrait sans limite pour moi qui commençais a me lasser de la monotonie du quotidien. Son corps rompu à des années d'entraînement nous donne une impression féroce tel la bête qui sommeil en lui. Pourtant, je sais grâce a notre lien nouvellement établie qu'il n'est nullement ainsi. Il est aussi doux qu'un agneau. Le tout qui le forme fait de lui un diamant pur demandant d'être taillé par un lapidaire. Je vais prendre grand plaisir a le faire. 

- Ton nom? Demandais-je froidement.

Il relève les yeux l'espace d'un instant. Son regard s'encre dans le mien. Il sait que son destin est mien. La forêt qui nous entoure disparait avec nos regards s'encre ensemble. Tout ce qui existe est notre lien. Je le voit tel qu'il est dans son essence la plus pur. Il me voit aussi tel que je suis en réalité. Je vois sa surprise face a ma personne. Je suis plus dur que la pierre et plus vengeresse que la déesse elle-même. Il plie face a moi sans retenu. Il n'oppose aucune résistance a ma personne et mes désirs. A mon étonnement, il ressent une colère aussi. Personne ne fait plier un loup si longtemps sans devoir payer le prix de sa faute. Parfait, il va encore plus aimé ce que je m'apprête a faire subir a ce clan. 

- Enzo madame, dit-il en penchant la tête en signe de respect.

Je m'avançais vers le manoir, avant de me tourner vers lui. 

- Fait moi entré et conduit moi a mon fils, dis-je sans cacher l'urgence de mes propos.

- Bien, dit-il en me devançant pour me montré le chemin.

Il m'introduit par l'entré des serviteurs. Il me conduit au cachot. L'odeur de la mort s'intensifia a un tel point que je manquais d'être malade. Je me suis immobilisé sous l'intensité de la mort présente. Nous étions dans les escalier menant au sous-sol. Jamais dans ma longue vie, je n'avait été en présence de mort si intense. Je me suis arrêter sur l'instant. Rien de cela était normal. Autant de cadavre rassembler au même endroit, quelque chose n'était pas normal. Quel crime ont-il commis? Devrais-je être leur bourreaux pour plus que le crime commis a l'encontre de mon fils? 

- Quel crime le clan de ton oncle a-t-il commis au nom de la déesse? Murmurais-je prise d'une envie de vomir mes tripes.

Il me regarda désemparée.

- Je n'ai jamais eu l'autorisation de descendre au cachot. Je n'était pas de confiance selon eux, donc ce qu'on s'apprête a découvrir est autant nouveau pour moi que toi, dit-il sans cacher son effraie.

Nous avons franchi la porte. Je tomba a genou. Un centaine de cellule s'étendais devant nous. Toutes rempli de corps sans vie, il devait y avoir plus de 700 victime. Je mis ma main sur ma bouche pour empêcher un sanglot de sortir au même moment de me vomir les tripes. 

Des monstres.

Ils sont des monstres. Jamais la justice ne permet de tué autant si rapidement. Il faut plus d'un clan pour juger du sort d'une créature. Les rapports des loups patrouillant près de leur clan, n'ont jamais rapporter l'arrivé d'un autre clan sur ces terres. Ce clan a accomplit leur justice sans procès équitable rendu. Ils sont des meurtrier pur et simple. Je ne tolérais pas cela. Jamais un clan de chasseur deviendra cupide a ce point a nouveau. Ma vengeance résonnera à travers les siècles. 

- Ce clan de chasseurs sont des véritables monstre, dis-je remplit d'effroi.

Je me relevais. Je me secouais pour reprendre mes esprits. 

Je pouvais sentir la présence de mon fils. Il était ici. Je mis courir le long des cellules. Je m'arrêtais sur l'instant que mes yeux se sont posé sur mon fils. Un frissons d'effroi m'emplit a me glacé le sang. 

Par la déesse.

Il avait été attacher par les poignets au plafond. De multiples entaille avait été faite sur son corps. On l'avait passé a tabac. Je pouvais voir les bleu laissé par sur son corps tellement que ces bourreaux s'était acharner sur lui. Mon fils avait été torturé pendant les heures que ces chasseur avait passer avec lui. Il avait subi une torture gratuite. 

Un cercle avait été dessiné sur le sol. Preuve du passage d'une sorcière, ces chasseurs avaient utilisé la magie contre mon fils. Nous les loups immortels de sang pur avons une seul faiblesse qui nous rend mortel, la magie puissante d'une prêtresse d'un cercle. Leur magie est considérable puisqu'elle unis celle de tout personne lié a ce cercle de sorcière. Les cercle peuvent contenir jusqu'à une centaine d'individus. La magie est lourd dans l'air, cela me donne le tournis. Leur magie nous empêche de cicatrisé. Leur magie a empêcher mon fils de guérir sous les assauts nombreux de ces monstres. 

Je m'arrête dans ma lancer face a cet horrible spectacle. Je reste bloqué par la vision de mon fils si réduit. Il est un guerrier fière comme personne. Le voir ainsi réduit me fait saigner dans mon âme. Ces monstres l'on accroché tel un pièce de viande sans aucune importance. 

- Ma, c'est toi, murmura-t-il a peine assez fort pour que je puisse l'entendre.

Je franchi la distance qui nous séparais en une seconde. Je met mes mains sur son visage bouffie par la violence fait a son être. Je tentais d'être douce pour ne pas lui créer plus de douleur. 

- Asa, mon garçon, je suis tellement désolé. Jai failli a ma tâche. Jamais tu n'aurais du subir de tel violence. Je suis ta mère, mon devoir était de te protéger, dis-je en lui caressant la joue.

Il leva les yeux vers moi. Les beaux yeux de mon fils était voilé par la douleur si présente dans son être. Pourtant, ces beau yeux si semblable au mien me communique qu'il ne me considérer pas comme en faute. 

- Ma, je veux rentré a la maison, dit-il avec désespoir.

Je voulais vraiment cela. Pourtant, je savais qu'il ne pourrais pas rentré. Je ne suis pas capable de sentir quelque type d'altération il lui ont fait subir, mais il est claire qu'il ne se sont pas contenter de le battre avec leur poing. Une magie noir lui colle a la peau. Je peux sentir que sa fin est proche. 

- Détache le, dis-je a Enzo.

Enzo fit comme je lui avait ordonner. Je n'avais pas la force de le faire moi-même. Il fit bien attention a ne pas lui faire plus de mal. Mon fils tomba dans mes bras. Je pouvais sentir la faiblesse de son corps. Une panique comme jamais avant dans ma vie s'empara de mon être. Il ne passerais pas la nuit. Je pouvais sentir la mort roder. J'allais perdre mon petit. Mon corps est lourd de chagrin alors que mon deuil m'a pas encore commencer. Les larmes ont commencé a coulé sans que je puisse les empêcher de couler. 

- Ma, j'ai mal, dit Asa dans un soupire. 

Je le serrais contre moi. Comme j'aimerais pouvoir prendre sa douleur. Tout mère ne veut pas que sont enfant souffre. Je serais prête a passer l'éternité dans le chao pour lui évité cette douleur. 

- Tout va bien aller mon louveteau. Rappel toi nous course dans la forêt comme les couleurs sont vivent. Tout va bien aller, dis-je d'une voix forte pour lui apporter du réconfort. Sachant que mes espoirs ne pourrais rien contre les souffrances actuelle de mon petit. 

Je le collait dans mes bras a un tel point que nous ne pouvions pas différencier nos corps. Je le serrais contre moi. Je ne pu empêcher les larmes de couler. Mon cœur se brisa. Je le berçais contre moi. Maudissent tout ces chasseurs, priant la déesse de m'accorder sa force dans l'épreuve que je subi.

Les heures ont passé, la respiration laborieuse de mon fils fini par cesser. Au même instant, mon âme se brisa de façon sans précédant. J'avais grandement souffert a la perte de ses frères et sœurs. Perdre mon dernier enfant est la dernière pierre a la chute de ma rage. Cela était sans précédent cette douleur qui m'empêchais de respirer. 

Le monde est devenu si sombre sans lui. Ce monde ressentira la douleur aussi vivement qu'es la perte de mon fils. Les heures qui ont passé n'ont fait qu'augmenter ma rage dormante. Ces chasseurs vont ressentir la douleur de la mienne.