Le plan à 4 du métro

3K 8 0
                                    

Le plan à 4 du métro

(100% histoire vraie)

Je viens vous raconter une histoire totalement rocambolesque qui m'est arrivée il y a environ 13 ans, alors que je passais encore beaucoup de temps dans le métro parisien.

J'avais pour habitude de traîner deux fois par semaine dans un bar qui s'appelle le Pop In, dans le 11ème.

Des groupes venaient jouer quasiment tous les soirs, et j'y ai découvert pas mal de pépites.

Là bas, j'y ai aussi baisé, dans la salle de concert, en plein show, quand tous les regards étaient tournés vers la scène. Mais ça, c'est une autre histoire...

Je me rendais donc là bas, nous étions en plein hiver (décidément j'adore l'hiver pour faire des rencontres!) et j'étais affublée d'un de mes fameux bonnets aplatisseur de cheveux (laissez tomber, truc de fille). Mais pourquoi je parle de ça me direz vous?

Je regardai dans le vague au travers de la fenêtre de la rame, rêvassant à je ne sais quelle partie de baise à venir. Oui parce que mes motivations étaient claires: pourquoi je traînais seule dans un bar si ce n'était pour me faire baiser...?

Je n'ai pas eu besoin d'aller jusque là ce soir là ...

Sorti de nulle part, un type je dois dire assez original s'assit en face de moi et me sortit une des disquettes les plus drôles que j'ai jamais entendu:

"Salut! J'ai trente secondes pour te dire que je te trouve magnifique et que la vie est courte et que j'adore ton sourire! Je descends là et on ne se reverra sans doute jamais"

Comme il me plaisait et que son approche était hyper directe comme j'aime, je lui ai bien sur donné mon numéro en lui disant que je me rendais au Pop In.

Par sms, il me dit que ce n'était pas son coin, que c'était dommage.

Le temps de commander un verre là bas et le voila qui débarquait! Monsieur était joueur visiblement...

La première chose qu'il me dit était que j'étais beaucoup plus belle sans mon bonnet!

J'ai beaucoup ri, sa remarque était tellement naturelle!

Nous prenions un verre à une table et je sentais déjà ses yeux me déshabiller.

Il était grand, brun, avec une barbe, et semblait tout froissé, tout abimé. J'appris plus tard qu'il était totalement défoncé, mais ça c'est encore une autre histoire.

L'excitation était montée très rapidement. Ce mec avait annulé sa soirée pour me rejoindre dans ce bar à l'opposé de là où il était censé aller; il avait déjà gagné.

Je n'ai jamais su son nom. Ou peut-être que si. Mais je l'ai oublié. Pourtant nous nous sommes revus après ça. Plusieurs fois. Mais il restera le mec du métro.

Parce que, bien sûr, il vivait près de chez moi!

Mais nous ne sommes pas allés chez lui ce soir là. Il ne m'emmena pas très loin, chez deux amis à lui.

Mes souvenirs sont plutôt flous, comme un grand brouillard. J'avais bu plus que de raison.

J'étais très excitée, et je me foutais de savoir ce que je faisais là, chez ces types.

Je voulais juste écarter les cuisses et prendre du plaisir.

Assis tous les quatre sur un grand canapé, tout le monde avait l'air bien défoncé, qu'on se le dise.

Cette soirée allait partir totalement en couilles jusqu'au bout!

Le type du métro me collait comme pas possible, à m'embrasser dans le cou, à mettre ses mains partout sur moi.

Nous avons alors commencé à nous embrasser passionnément. Je grimpai sur lui.

Comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Je me frottai contre son sexe en érection pendant qu'il me caressait les fesses.

La température montant très vite, il voulu qu'on se mette à part.

C'était sans compter sur mon mal de cœur dû à l'excès l'alcool: j'eus besoin de m'allonger.

J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. Il m'allongea sur un autre canapé (Oui. C'était la maison des canapés là bas).

Le haut de ma robe remontait pour laisser entrevoir une certaine partie de mon anatomie.

Les deux autres types que je ne saurais nommer s'approchèrent alors et s'assirent au niveau de mon bassin.

Ils passaient leur temps à s'échanger des regards affreusement lubriques.

L'un d'eux remonta un peu plus ma robe et se mit à me caresser très doucement.

D'abord la cuisse. Puis il remonta lentement et passa un doigt entre mes lèvres.

"Regarde comme elle est belle!" dit-il à son ami, qui avait déjà sorti son sexe de son pantalon.

Ils se léchaient les lèvres comme des animaux assoiffés, tout en me caressant chacun leur tour.

Ils prirent chacun une de mes jambes pour la mettre sur eux et pour m'écarter au maximum.

Ils passèrent tour à tour leurs doigts sur moi, puis en moi. Je n'en pouvais plus, j'avais trop de désir et je ne savais pas quoi en faire.

Le mec du métro leur murmura un truc à l'oreille, et ils se mirent alors à se masturber en me regardant. J'étais là, je ne faisais rien si ce n'est comater à moitié les cuisses écartées, et eux se branlaient en me regardant.

Ils s'étaient agenouillés entre mes jambes et aimaient chacun leur tour enfoncer leurs doigts en moi et écarter mes lèvres. Ils me regardaient gigoter dans tous les sens, ça leur suffisait.

Tour à tour, ils se vidèrent sur mon bas ventre très rapidement. Quelle excitation! J'adorais ça

Le mec du métro, visiblement heurté, s'interposa et m'attrapa violemment par le bras pour me lever de là.

Dans la salle de bains, il me sortit un truc du genre "non, il n'y a que moi qui peut t'avoir"

Il me pencha sur le rebord du lavabo et remonta ma robe pour admirer mes fesses qu'il se mit à caresser puis à embrasser.

Il déboutonna son pantalon et me retourna pour que je le suce. Je m'exécutai...

Très vite, il me remonta à son niveau et me souleva contre le lavabo. Il s'enfonça en moi presque immédiatement.

Il était dur. Nous étions très excités tous les deux. J'aimais être un tel objet de désir que trois hommes bandaient pour moi en même temps.

Ses gestes étaient frénétiques, trop excité par ce qu'il venait de voir, il jouit en quelques mouvements.

Et je m'écroulais épuisée, entre fatigue, alcool et excitation.

Plus tard, ils me ramenèrent tous les trois à la gare de Villiers. Sur le chemin, le type du métro n'avait de cesse de garder sa main sur ma cuisse. Comme pour dire, celle là elle est à moi.

Arrivés à destination, nous sortîmes tous de la voiture, nous embrassant langoureusement pour nous dire aurevoir. Puis les deux autres types voulurent prendre mon numéro.

La soirée partit en bagarre générale quand le type du métro refusa que je le leur donne.

Coups de poing et engueulade totalement ridicules pour une affaire encore plus ridicule.

Heureusement, ils se calmèrent rapidement.

Je ne revis jamais ces deux types là.

Par contre, le type du métro et moi avons commencé à développer une relation un peu particulière...

Un coup de folieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant