- 𝗟𝗡𝟰 ; Amaya et Lando
« Dans les yeux de l'amour, tout est possible. »
24.03.24 - 17.05.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[Terminée]
HEART RACING BOOK
1. 𝐋𝐚 𝐧𝐮𝐢𝐭 𝐞𝐬𝐭 𝐚̀ 𝐧𝐨𝐮𝐬 | Lando Norris
2. Le bruit des vagues |...
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☾ AMAYA — 2023 | Angleterre, Silverstone
Juste après la course et le podium, Lando a participer à plusieurs protocoles de médias dans lequel je l'ai suivi par derrière les caméras, ainsi qu'aux côtés de l'attachée de presse de McLaren.
À la suite de ça, nous sommes chacun rentrer de notre côté à l'hôtel pour nous préparer pour le reste de la soirée.
Alors que je descends les marches devant l'hôtel en faisant attention de ne pas glisser avec ma paire de talons, une belle voiture noire de course arrive en haut de la rue et vient se positionner juste devant où est-ce que je me trouve.
Lando descend de sa voiture, débarrasser de sa tenue de pilote, il porte un pantalon noir légèrement plus baggy que ce qu'il porte habituellement avec un haut blanc et une veste en jeans de la même couleur que son bas. Je me saisis de sa main tendu en descendant la dernière marche devant l'hôtel.
— Juste pour voir, dit-il en me faisant passer sous son bras. Tu es magnifique.
— J'aime beaucoup l'effort que tu as fait ce soir, dis-je en posant un doigt sur son torse en souriant.
— Ne te range pas du côté de Lune et Romane, lâche-t-il en me regardant dans les yeux. Je le prendrais très mal.
— Écoute love, elles n'ont pas tout à fait tord, dis-je avec un petit sourire. Même si je t'aime comme tu es, il faut parfois écouter la critique.
La grimace qui traverse son visage me donne envie de rire. Il se tourne et marche jusqu'à sa voiture pour ouvrir la portière côté passager.
— Attend, il se tourne dans ma direction. Tu viens de dire que tu m'aimais ?
— Non, je critiquais simplement tes pantalons un poil serrer, dis-je en m'approchant. Enfin, tu devraissavoir que je t'aime quand même malgré ça.
Il entrouvre doucement les lèvres. Je souris en m'installant sur le siège côté passager. Un instant plus tard, il prend appuie sur les montant de la voiture et se penche dans ma direction, je le regarde en finissant de boucler ma ceinture.
— Tu as de la chance que je t'aime aussi et que j'accepte la critique.
Je ris et il referme la portière de mon côté.
Il s'installe à mes côtés dans la voiture et attache sa ceinture de sécurité avant de démarrer le moteur de sa belle voiture.
