Papa, c'est ce que tu étais enfin ce que tu disais être mais la vérité c'est que je ne t'es jamais considéré comme.
La famille parfaite. C'est comme ça que les gens nous appelaient. Mais en réalité nous n'étions peut être pas si parfait.
Quand tes collègues venait à la maison ils disaient que tu étais un bon père, un homme respectable. Ils me disaient souvent que j'avais de la chance de t'avoir.
Quand tu partais de la table pour aller aider maman dans la cuisine enfin l'aider, tout les deux, nous savons très bien que tu lui fesait des reproches tu n'allais pas vraiment l'aider au contraire. Vous disiez toujours que ce n'était pas mes affaires et que je devais rester à ma place alors pour être un bon garçon je ne disais rien mais ça ne suffisait jamais.
Te considérais tu comme père quand tu venais t'en prendre à moi car tu avais eu une dure journée je me le suis souvent demandé.
J'essayais d'être le meilleur toujours pour te rendre fier mais malgré tout ce n'était jamais assez.
Tu voulais que tout soit parfait tu te disais parfait. Notre vie aurait été parfaite si tu n'étais pas là.
Un jour, je me souviens très bien. Tu m'a tellement marqué à l'aide de tes poings que je n'ai pas pu aller en cours. Ce qui est plutôt drôle dans cette situation c'est que tu as rejeté la faute sur moi. Cette journée tu m'a regardé d'une manière aussi froide que la glace qui pourrait me trancher à tout moment. Tu m'a regardé et ma affirmé que tout ce qui ce passait était de ma faute.
Tu l'avais tellement affirmer que moi étant gamin je t'avais cru. Avais je mériter une seule seconde ton tel châtiment je le croyais profondément. J'ai longtemps cru que c'était la vérité. Que tout était de ma faute.
Heureusement, avec le temps j'ai compris que rien n'était ma faute. Que tout ce que tu me reprochait c'était tes craintes que c'était uniquement ta faute.
Briser maman ne t'a jamais suffit alors tu as décidé de me briser à mon tours. À l'époque tu avais gagner tu m'avais réellement briser. Mais aujourd'hui, j'ai réussi à me guérir cela à été long très long mais j'y suis arrivé. Si jamais je devais te revoir aujourd'hui ou un autre jour je te regarderai dans les yeux pour te montrer que tu ne me touche plus en aucun cas. Ça serait le signe que je suis guéri que te regarder dans les yeux comme je ne l'ai jamais osé le faire.
Aujourd'hui, je serais prêt et j'y arriverais.