Fabricant de cauchemar

Chapitre 7: Un week-end

Je ranger mes livres dans mon casier peut avant la fin des cours, une fourmi ce trouvait là sur la manche de la veste d'un garçon aux cheveux blonds vénitiens. Il avait l'air distrait par ce qu'il regarder sur son portable.
- Excuse moi ?
Il leva ces yeux noir de son portable et me regardent avec curiosité.
- Je peux me permettre de prendre la fourmi juste la ?
- Putain !
Il sursauta lorsqu'il vit la fourmi sur sa manche et essaya de l'enlever.
- Attend arrête !
Mon ton se fut si sec qu'il cessa de gesticuler dans tout les sens. Je pris la fourmi dans mes mains avec délicatesse avant de la reposer dehors sur une feuille. Lorsque je retourner à mon casier le garçon me regarder de travers surpris.
- Elle n'était pas méchante ce sont de simples fourmis qui cherche de la nourriture pour ce nourrir, en revanche les seul fourmis dont tu pourrais te méfier c'est les fourmis rouge elles piquent.
- Ha d'accord.
Il se gratte la nuque de façon stressée et son visage ce décomposa lorsque son regard se posa juste au dessus de ma tête.
- Bon je te laisse bon week-end.
- Bon week-end...
Avant même qu'il ne puisse m'entendre il était déjà hors du bâtiment. Je terminé de ranger mes affaires et sort mon sac pour le week-end. Lorsque je me tourna je sursauta en voyant Rigel a quelques centimètres de moi.
- Tu as eu peur ?
- Non.
Nous étions a présent que tout les deux, les couloirs étaient vides et plus aucuns élèves étaient dans les couloirs. Il fit un pas en avant me plaquant contre mon casier.
- Menteuses.
- Je n'ai plus peur de toi Rigel.
- Ha oui ?
- Oui par ce que je sais qui tu est.
Il afficha son sourire habituel, celui qui me disait qu'il aller mordre.
- Et qui suis je ?
- Tu est le fabricant de cauchemar.
- Tu t'es toujours crus dans un compte de fée Amaryllis, c'est ça ton problème, le monde réel n'est pas fait comme tu l'imagine il est bien plus compliqué que ça.
Il me lance un dernier regard avant de détourner son attention de moi et sorta du bâtiment, je ne tarda pas non plus à sortir. Dans la voiture Lisa et Lion chantaient sur une chanson de Brytney Spirs et Lion pris la main et l'agita au rythme de la musique. Je lança un coup d'œil à Rigel qui ce trouvait à l'avant le regarde fixer sur moi, j'aperçus un muscle de ça mâchoire ce contracter et je détourna le regard ne pouvant pas soutenir le sien plus longtemps. Arriver sur le bateau de Lisa je fis émerveillé par la piscine et l'espace de cet endroit.
- Bon allons nous installer dans les chambre, Amaryllis et moi allons dans une chambre et vous pouvez prendre l'autre chambre.
- Hors de question.
Protesta Lion, Lisa leva un sourcil l'air gêné.
- Rigel et Amaryllis peuvent être ensemble et Lisa et moi ensemble.
- Vous n'auriez pas d'autres chambres ?
La voix grave de Rigel résonna dans tout mon corps.
- Non désolé ça vous embête d'être ensemble ?
- Je dormirai sur le canapé.
Sans plus un mot Rigel alla dans la salle de bain déposer ces affaires tandis que je me diriger dans la chambre qui m'était attribué Lisa le pris doucement le poignet.
- Ca te dit d'aller te baigner ?
Je baissa la tête me rendant compte que je n'avais aucun maillot de bain.
- J'ai oublier les maillots de bain que m'avait acheté.
Ma voix était presque un murmure j'étais tellement gêné que mon regard était fixé sur le sol du bateau.
- C'est pas grave je vais t'en prêter un viens !
Elle coûta m'entraînent dans sa course puis une fois arrivé dans sa chambre elle ferma la porte à clef, elle sortis sa valise de sous son lit et fouilla au plus profond de celle ci. Elle pris un bikini de couleur vert mente et le posa sur mon corps.
- Il t'ira à merveille ! Par contre si tu veux te baigner il vas falloir que tu enlève ton bandage.
- Non je le changerai au pire.
- Tu es sur ?
- Oui ne t'en fait pas.
Lisa me sourit avant de quitter sa chambre pour me laisser m'habiller, le bikini m'allait à merveille mais je me sentais mal à l'aise dans ce genre de tissus deux pièce qui ne couvrait rien d'autre que mes parties les plus intime. Lorsque j'entre dans le petit salon pour aller accéder à la piscine qui ce trouvait à l'extérieur je vis une grande silhouette allonger sur le canapé c'est lorsqu'il ce tourna les yeux fermés que je m'aperçus que c'était Rigel. Il était allongé à une heure tôt, ces très était paisible et il avait l'air serein et détendu, une mèche tomber légèrement sur son œil je cala cette mèche derrière son oreille et lorsque la peau de mes doigts frôla ça peau il pris d'une poigne ferme mon poignet.
- Tu fais quoi la ?
- Je...eu...
- Tu quoi ?
Il regarda mon corps si bien que j'eu des frissons le long de mon échine, j'eu l'impression qu'il pouvait presque voir à travers mon corps. Mon cœur battait à mille à l'heure et je sentais mes membres trembler.
- Ne m'approche plus.
Grogna t'il d'une voix grave entre ces dents. Son visage n'était qu'as un souffle de moi ce qui avait fait arrêté mon cœur de battre.
- Tu viens Amaryllis ?
La voix de de Lisa me fit reculer d'un bon et Rigel en profita pour aller s'enfermer dans la chambre. La musique raisonnée dehors bien que nous soyons que quatre je voyais Lisa danser comme une folle coller serrer avec Lion.
- Si vous voulez mon avis vous aller bien ensemble. Dis je d'une voix taquine
Lion me lance un grand sourire avant de me répondre:
- Ouais tu as vu ça ?
Il fait mine de se pencher pour embrasser Lisa et celle ci ris en mettent sa main devant la bouche de Lion.
- Je croyais que tu étais gay.
- Je ne l'ai jamais été là très chère amie.
- Ha bon ?
- Oui.
Nous nous mettons à rire comme des idiots jusqu'à ce que Rigel fasse son entrée, ne portant qu'un short de bain, ces abdos bien définis ces muscles qui bougeaient comme la fluidité de l'eau. Mon cœur battait la chamade, il s'installa sur un transat un sourire en coin.
- Tu veux ma photo chère sœur.
Je baisse les yeux au sol trop intimidé pour répondre, les joues en feu. Mais qu'est ce qui m'arriver bon sang ?! Lion s'approcha de moi l'air d'avoir une idée dans la tête il me pris comme une princesse avant de me jeter dans la piscine du bateau, seulement je ne sais pas nager, alors que mes poumons se remplissent deux bras fort m'enveloppèrent la taille. Lorsque j'ouvris les yeux je me retrouver sur un transat.
- Putain Amaryllis ça va ?
- Désoler j'aurais jamais dû te jeter à l'eau.
- T'en fait pas Lion c'est rien.
Je regardais au tour de moi pour apercevoir Rigel mais il n'était nul par, pas même l'ombre de ça silhouette était là.
- Merci de m'avoir sorti de l'eau.
Lisa et Lion me lancèrent un regard gêné et se raclèrent la gorge.
- De rien. Mais c'est pas nous...