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DiAngelo : Donc, tu as décidé de me rejoindre...

Caterina : Maintenant que j'y pense... je n'ai pas trop confiance.

DiAngelo : Je ne pourrai rien te prouver, mais il suffit d'y croire. Tu sais, tes parents étaient très proches de moi...

Je me tourne vers lui.

DiAngelo : Des amis, je veux dire. Ton père m'a même demandé de prendre sa place si un jour il mourait. Je ne suis pas un homme d'affaires comme ton amie Emilia a inventé. Je suis chef d'une mafia, tout comme tes parents l'étaient.

J'écarquille les yeux.

DiAngelo : Je t'ai beaucoup cherchée, tu sais... Maintenant que je t'ai trouvée, viens vivre avec moi et deviens l'héritière de ma mafia.

Caterina : M-mais...

DiAngelo : C'était la seule demande de ton père... de te protéger...

Caterina : Et comment se fait-il que je me sois retrouvée dans un orphelinat alors ?

DiAngelo : Ta tante me détestait. Elle t'a prise et elle est partie.

Caterina : Mais pourquoi ? Puisque mon père t'aimait...

DiAngelo : Elle voulait tout contrôler... Je pense qu'elle est morte. Et puis je ne t'ai pas retrouvée depuis.

Je reste un moment en train de réfléchir.

DiAngelo : S'il te plaît, ma fille, viens au manoir.

J'accepte ?

DiAngelo : Je vais prendre ton silence pour un oui !

Puis la voiture démarre.

Je me sens inconfortable au début, mais je fais de mon mieux pour me calmer.

Caterina : M-mais... tout ça va si vite...

DiAngelo : Les servantes vont t'aider à t'adapter à ta nouvelle vie.

Je hoche lentement la tête.

Dès que nous arrivons, une femme m'escorte vers ma chambre.

La nourriture était déjà prête sur une table.

PDV DiAngelo

Flynn : Que s'est-il passé, chef ?

DiAngelo : Changement de plan. Je compte profiter de la situation en fin de compte.

Il hoche la tête en sachant exactement ce que je veux dire.

Bientôt, une petite routine s'installe et trois jours plus tard...

Je regarde de ma fenêtre, DiAngelo en train de jouer au golf.

Demain, il y a une fête pour honorer mon retour. Il a insisté pour la faire.

Il a aussi insisté pour que j'apprenne à me battre.

Et cet après-midi, il va me donner des cours.

Je ne sais pas si je devrais aimer ou détester ça...

Emilia n'a pas répondu à mes appels non plus...

Pendant ce temps, je mange et choisis ma robe pour demain.

Mais ma vie est devenue si paisible... maintenant j'ai comme un père... et j'ai enfin tout découvert à propos de mes parents.

J'enfile une tenue confortable pour rejoindre DiAngelo au cours de combat.

DiAngelo : Alors ? Comment tu te sens ?

Caterina : J'ai hâte.

DiAngelo : Bon, commençons.

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PDV Auteur

Le soleil s'infiltrait à travers les stores poussiéreux de l'ancien entrepôt.

DiAngelo avait toujours aimé cet endroit pour ses rencontres secrètes.

Aujourd'hui, c'était un peu différent. Il avait promis à Caterina de lui apprendre quelques techniques de combat à mains nues.

Caterina était prête, son épaisse chevelure noire attachée en une queue de cheval haute.

DiAngelo la regardait avec un mélange de fierté et de ressentiment.

Il y avait des moments où il voyait l'enfant qu'il avait toujours voulu, et d'autres où il ne pouvait pas s'empêcher de se rappeler de ses propres regrets.

DiAngelo : Je vais te montrer quelques mouvements de base. Commence par te tenir comme ça.

PDV Caterina

Il se plaça en position de garde, les pieds légèrement écartés, les poings levés devant son visage.

DiAngelo : Les pieds solides, toujours prêts à bouger.

J'imite sa position, ajustant mes pieds et levant les poings comme il me l'avait montré.

DiAngelo hocha la tête, satisfait.

DiAngelo : Bien, maintenant, essaie de me frapper.

Il laissa ses mains en l'air, offrant une cible facile.

Je lance un coup de poing maladroit, et DiAngelo l'attrapa facilement.

DiAngelo : Pas mal, mais garde tes épaules détendues, sinon tu vas te blesser.

Il me corrigea doucement, ajustant ma posture.

𝓒𝓪𝓽𝓮𝓻𝓲𝓷𝓪 | Original Où les histoires vivent. Découvrez maintenant