Rigel et moi n'avions jamais été aussi proche physiquement, je me relevé doucement, je ne savais pas où ce trouver Rigel, j'alla dans la bibliothèque qui ce trouver dans le salon un verre d'eau sur la table je m'assis sur le canapé sous une couverture avant de commencer ma lecture. Cela faisait maintenant plusieurs heures que Rigel ne c'était pas montré, et je commencé à m'inquiéter, je me leva pour aller remplir de nouveaux mon verre d'eau les mains devant moi sachent que seul le salon était éclairé. Arriver à l'entrée de la cuisine je tombe au sol aillant percuter quelques chose de dure, j'allumas la lumière et vis Rigel au sol.
- Rigel ?
Je m'approcha de lui et écarta les quelques mèches de ces cheveux noir qui lui couvrait le visage. Lorsque le bout de mes doigts frôlèrent la peau de son front je fis surpris, il était brûlant de fièvre.
- Rigel...tu es brûlant...
Aillant était souvent malade à la Haute Barde je m'assois à ces côtés et enroule ces bras au tour de ma nuque, j'essaya de me relever mais en vain, j'essaye une fois deux fois trois fois mais il était trop lourd pour moi.
- Rigel il faut que tu m'aide tu ne peux pas rester là s'il te plaît.
J'essayais à nouveau mais je retomba à nouveau.
- Rigel s'il te plait il faut que tu m'aide.
La panique me pris les entrailles, je l'allongez à nouveau sur le sol du bateau et pris ces poignets pour l'entraîner dans la chambre qui nous avait était attribué, je du mettre toute mes forces pour l'allongez sur le lit double, il trembler comme une feuille et il avait l'air mal en point. Je cours dans le salon pour récupérer mon portable et appela Lisa. Elle reponda au bout de trois sonneries.
- Lisa tu met où tes médicaments ?!
- Pourquoi ?
- Rigel et très mal en point il me faut du Doliprane mais je sais pas où tu met tes médicaments.
- Dans la salle de bain ouvre le miroir il fait aussi meubles pour médicaments, tu veux qu'on rentre maintenant ?
- Non ne vous en faites pas je vais juste prévenir Lisa que Rigel n'est pas bien.
- D'accord à demain ma belle.
- A demain.
Je coura dans la salle de bain, pris une boîte de Doliprane et un verre d'eau fraîche puis je rejoigna Rigel il était allongé sous les couvertures que j'avais poser sur lui. Je redressa un peu ça tête et mis un comprimé dans ça bouche.
- Rigel je vais avoir besoin de ton aide la.
J'apporta le verre a ces lèvres, et fis couler un peut d'eau avant de masser ça gorge pour qu'il puisse avaler le comprimé.
- Super.
Je me réjouis qu'il l'ai avalé sens trop de difficulté je m'assieds sur le sol à ces côtés mon portable en main je décide d'envoyer un message à Lucie pour la tenir au courant.
<< Rigel ne vas pas très bien ce soir il as énormément de fièvre, ne t'en fait pas Lucie tout ira bien je lui est donner un Doliprane pour faire d'essences ça fièvre >>
Épuisé je fit le tour du lit et m'allongea près de Rigel gardant un œil sur lui. Il avait l'air calme et paisible, les trais de son visage était si détendu que cela me fit bâiller, je me sentais épuisé, et ferma les yeux un instant pour me reposer.Rigel :
J'ai toujours eu cette obsession, faire du mal, cette fille aussi fragile qu'un papillon sens défense. Amaryllis passer ces journées dehors à la Haute Barde, qu'il pleuve ou pas elle était toujours dehors à prendre soins des insectes. Elle souriait très souvent, c'était le genre de fille qui même quand ça n'allait pas elle souriait. J'en avais marre de la voir sourire, son sourire provoquer en moi quelques choses que je ne su décrire, mon cœur battait à toute vitesse la première fois qu'elle m'as sourit. Plus jamais je n'avais envie de revivre ce sentiment mais chaque fois que je la voyais chaque fois qu'elle était là j'eu cette sensation, comme si une sangsue m'aspirais le sang chaque fois que son regard croisé le miens. J'aimais la faire pleuré mais cela ne durer qu'un instant, je détester quand les garçons de la Haute barde posaient les yeux sur Amaryllis surtout quand il parlait d'elle comme si elle n'était qu'un vulgaire jouet comme au lycée.
- Je te pari que dans une semaine la petite nouvelle m'ouvre ces jambes.
- Et si elle le fait pas ? Fit son camarade
- Je la forcerais qu'elle le veuille ou non.
La rage avait pris le dessus et je me suis jeté sur lui comme un loup enragé, j'étais le loup du chaperon rouge, j'étais le méchant des comptes de fée.
- Je sais qui tu es.
- Et qui suis je ?
- Tu es le fabricant de cauchemar.
Elle qui m'avait dit que j'étais le fabricant de cauchemar si j'étais le siens elle été le miens, elle hanter mes nuits, comme dans l'instant présent, elle était proche de moi sur un lit son odeur, son visage si calme elle ne parler jamais mais elle était tout le temp près de moi.
Je détestais qu'elle ne m'écoute pas qu'elle pérsévers à m'approcher elle me rendait fous. Je détestais cette joie qu'elle avait à rire et cette joie qu'elle avait de sauvé toutes ces bêtes. Cette joie cette innocence qu'elle avait sur ce bateau quand Lion l'as pris dans ces bras pour la jeter à l'eau et que j'ai dû sauter juste car elle ne savait pas nager. Elle était beaucoup trop gentille et ne voyait pas le mal où elle passait. Je crus la voir juste devant moi un sourire tendre au visage je tendais la main pour caresser la peau douce de son visage comme chaque fois qu'elle apparaissait dans mes rêves, pendant un Instant je crus sentir ça chaleur son odeur le souffle de sa respiration. Être si proche d'elle dans mes rêves me donner envie de ne plus jamais me réveiller je ne voulais pas rompre cet instant jamais. Quand j'étais proche d'elle mes veines était comme transpercée par des racines de rose et cette sangsue ne cesser de grandir en moi, cette sensation atroce.
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Fabricant de cauchemar
RomanceAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...