- Etes vous sur de vouloir le garder ? Cet enfant a visiblement un problème.
- Je le garde.
- Ne vous êtes jamais demander pourquoi cet enfant est violent avec les autres ? Il y a quelques chose qui cloche chez cet enfant.
Voilà les mots qui m'on fait face à l'âge de six ans, le docteur et Mme.Jacobs parlez devant moi comme ci je n'étais pas dans la pièce à côté d'eux. Comme si je n'étais qu'un amas de poussière, je détestais qu'ont me prête attention, le fait qu'ont s'inquiète pour moi comme si j'étais fragile. A l'âge de onze ans les filles de l'orphelinat me prêter attention, mais pas comme si j'étais fragile, mais plus comme si elle foulaient me dévorer, toutes sauf une. Amaryllis, elle était trop occuper avec ces bestioles pour me prêter attention. A croire que je ne l'intéressait pas, à l'âge de quatorze ans Emie la meilleure amie de Amaryllis venait souvent me demander comment j'allais, bien que j'ai un tempérament froid et distant voir même brute. Celle ci me toucher comme personne ne m'avait toucher, je ne laisser personne m'approcher. Un jour un garçon est arrivé à l'orphelinat, nous somme vite devenu amis et nous aimions faire du mal à Amaryllis, c'était bien notre seule chose en commun, mais un jour lorsque nous avions seize ans alors que nous étions assis à jouer avec des billes que l'on avait voler à un petit de six ans, Miguel parler de ce que je faisais avec Emie.
- Tu pense qu'elle pourrait me touchée comme elle le fait avec toi ?
- Qui Emie ? Peut être j'en sais rien.
- Ou alors Clara, ou Tifanie ou alors Amaryllis.
Un entendant son nom je contracta simplement ma mâchoire m'appraitent aux mots qu'il aller dire.
- Son côté innocent m'excite à un point. Puis dans tout les cas si elle ne veut pas je trouverais un moyen de la forcer.
En un éclair mon point était sur son visage, alors que Mme.Jacobs lui avait demander ce qu'il c'était passer pour que son visage soit aussi abîmé il avait simplement répondu en me jetent un regard:
- Je suis simplement tomber dans la cours.
Peut de temps après Miguel avait été recueilli par une famille, bien que de nombreuses familles voulaient me prendre j'allais souvent me plaindre à Mme.Jacobs qu'il était hors de question que je quitte la Haute Barde. Mais lorsque j'avais appris que les Sentos voulaient de moi je ne fus pas contre, Amaryllis était parti et je ne voyais plus l'intérêt d'être encore ici. J'aimais qu'Amaryllis tremble mais j'aimer encore plus lorsqu'elle s'agaçait, ces poings fermés et la manière dont ces sourcils ce fronçaient. C'est ce qui m'exciter le plus chez elle ce côté qu'elle garder enfouit au plus profond d'elle comme si depuis toutes ces années, elle avait absorbée toutes les blessures que je lui avait faites pour ce forger une carapace, mais que lorsqu'elle était dans cet état sa carapace ce briser en mille morceaux montrent toute la douleur qu'elle avait absorbé. Je voulais qu'elle me déteste, même si cela faisait mal, je voulais qu'elle me déteste. La vérité était que plus elle était proche plus les épines de la rose qui avait fleuri en moi le jour ou je l'avais vu pour la première fois ce rependaient dans mes veines plus cela devenait trop épuisant de garder toutes ces émotions. Cette rose, ce sourire qui m'avait fait un effet d'un coup de poignard, je voulais lui enlever par ce que je ne voulais pas ressentir à nouveau ces papillons noir hanter mon ventre, je ne voulais pas sentir mon cœur battre plus fort que l'anormalité. Bien que je me tienne éloigné d'elle bien que j'ai fait des choses avec Emie celle qu'elle prenait comme sa grande sœur celle qui compter vraiment pour elle, je continuais de ressentir ce frissons qui parcourait mon corps, lors de nos rapport avec Emie ce n'était pas elle que je voyais mais Amaryllis. Je ne voulais pas, je ne pouvais pas ressentir quelque chose d'aussi fort pour une chose insignifiante, simple et faible. Quelque chose comme Amaryllis, elle était simple et fragile mais elle s'infligeait tellement de dégâts par ma faute. J'étais déjà passer devant la porte de son dortoir, elle serrais sa peluche dans ces bras avant de prendre quelque chose qui ressembler à un morceau de verre casser et de s'infliger des dégâts sur son avant bras. Je détestais le fait qu'elle s'inquiète pour moi qu'elle veuille me comprendre qu'elle me touche qu'elle soit simplement près de moi car je ne savais pas me tenir lorsqu'elle était là.
J'avais peur de perdre tout contrôle sur moi car elle éveiller des sentiments en moi que personne d'autres ne m'avait fait ressentir.
Le jour où elle était rentré dans la chambre avec la rose que je lui avait offerte j'étais pris de panique et je n'avais pas vu d'autres solutions que de lui arracher des mains et la mettre en lambos devant elle bien que les épines me piquée le bout des doigts.
- Rend là moi Rigel !
Je n'avais pas su quoi dire à par sourire, j'aimer la mettre en colère j'aimer la voir dans cet état.
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RomansaAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...