Chapitre 17: Une autre facette

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J'étais cloîtrée au lit Nessi était collé à moi, elle avait vu à quel point j'étais malade et c'est instinctivement coller à moi. Rigel était partie en cours et Lucie et Paul travailler, lorsque Lucie a vu que je n'étais pas très bien elle a refusé que j'aille en cours et j'avais reçus énormément de messages de Samuel, je l'ai est tous lu mais je n'y ai pas répondu, il avait été super collant ces derniers jours et j'admets que je n'éprouver aucun plaisir lorsque nous passions du temps ensemble. Depuis que Rigel et lui c'était frappé je n'arriver plus à parler à Samuel, il parler tellement de lui sens vouloir savoir ce que les autres pensent, tout ce qui l'intéressé c'était ça propre personne. Je descendis dans le salon et alla dans le canapé après m'être fait un chocolat chaud, Nessi ce trouver sur la couverture à mes pieds elle dormais paisiblement quand la porte ce claqua, il était seulement dix heures du matin Paul avait sens doute finis plutôt et pourtant ce n'étais pas ça voix que j'entendis résonner depuis l'entrée.
- Tu devrais être au lit.
Je ne répondis pas, je le fixer simplement, choqué par les sacs qu'il tenait à là mains.
- Pourquoi tu me regarde comme ça ?
Je détourne le regard intimidé par son regard et son ton, il dépose les sacs sur le plan de travail de la cuisine, remonte ces manches laissant apparaître les veines de ces avant bras musclés et range les courses dans le frigo. Le silence est pesant, Lucie avait sens doute demander à Rigel d'aller faire quelques courses mais pourquoi n'était il pas en cours ?
Je le vis du coin de l'œil s'approcher et déposer un sac à mes côtés.
- Qu'est ce que-
- Ce sont tes médicaments. Il faut que tu les prennent tiens.
Il déposa un verre d'eau fraîche avant de s'assoir près de moi. Je me crispa aussitôt, les muscles de mon corps ce contractèrent de la tête au pied c'était bien la première fois qu'il m'approcher, il tendit sa main froid pour la poser sur mon front.
- Tu as de la fièvre, prend ça pour faire redescendre la température.
Il me tendas une boîte de Doliprane et le verre d'eau qui était poser sur la table basse du salon, bien que son ton soit sec.
- Qu'est ce que tu attend ? Prend les médicaments.
Je pris un cachet et l'avala avec l'eau, puis je regarda fixement Rigel il avait l'air concentrer sur les médicaments qu'il avait acheté et il avait aussi l'air inquiet à moins que le fièvre ne me jouer des tours.
- Et ça c'est contre la toux.
Il me rendis l'autre médicament.
- Je t'imaginais pas comme ça.
- Comme quoi ?
- Comme ça. Prendre soin des gens même si c'est juste par ce que je suis malade.
- Il y a beaucoup de choses que tu ignore papillon.
Après avoir pris le comprimé je me sentais atrocement fatigué si bien que je me sentis chuter sur le côté, la main de Rigel attrapa mon bras et il posa ma tête sur le canapé si doucement que je me demander si c'était vraiment lui a mes côtés. Lui qui ne voulais pas que je m'approche d'habitude nous étions plus proche de jamais je n'aurais pensé. Il se leva avant d'aller dans la cuisine, je me demander ce qu'il faisait mais je n'avais pas le courage de lui demander de peur de le contrarié et de le faire fuir, puis soudainement la sonnette de la porte d'entré retentit dans la maison, je puis voir du salon Rigel jeter un coup d'œil à la fenêtre et ce remettre à cuisiner.
- Je vais ouv-
- Non.
- Quoi mais pourqu-
- Je t'ai dit de ne pas aller ouvrir papillon.
Il posa son couteau sur le plan de travail avant d'entré dans le salon et d'éteindre la télé, la sonnette se remis à retentir dans la maison et cette fois Nessi ce redressa et courue vers la porte pour aboyer. Elle n'aimer pas le song aiguë que faisait cette sonnette, cela devait lui faire mal aux oreilles.
- Mais pourquoi tu ne veux pas-
Rigel plaqua brusquement sa main pâle sur ma bouche, ces yeux me menaçant, ils me transpercer l'âme comme ils avaient l'habitude de le faire.
- Ne fais aucun bruit papillon.
Je fronça les sourcils et retira ça main, mon cœur battait à tout rompre sens parlé des papillons qui s'agitaient dans mon estomac bien qu'ont frappé avec insistance à la porte.
- Mademoiselle Amaryllis et Monsieur Rigel, j'ai besoin de vous parler, agent Wilfrid je suis de la police.
- Qu'est ce que tu as f-
Rigel plaqua à nouveau ça main sur ma bouche, me forcent a m'allonger, il ce trouver au dessus de moi son front contre le miens et ces yeux planté dans les miens.
- Ferme la Amaryllis.
Qu'avait il encore fait ! Je lui mordille la main le faisant lâcher prise.
- Non, tu as fait quoi encore Rigel bord-.
Avant que j'eu le temps de faire trop de bruits Rigel écrasa ces lèvres contre les miennes, alors qu'il ce penché pour ce coller à mon corps il me fit retomber sur le canapé. Il était au dessus de moi les yeux fermé ces lèvres sur les miennes tandis que je ne comprenais rien à ce qui ce passer, je fixer ces yeux clos comme un poisson rouge dans son bocal. La sensation de ces mains sur mes hanches, un grognement s'échappa de ces lèvres me faisant trembler de satisfaction, je voulais entendre à nouveau ce song, ce song qui faisait vibrer mon ventre, ma main c'était planté dans ces cheveux, aussi doux qu'ils soient, son odeur d'orage et de pluie envoûter tout mes sens, je luis rendis son baiser sens plus attendre. Ces lèvres ce posèrent sur mon coup me faisant pousser un soupire d'extase, puis il ce crispa, avant de ce relever et de s'éloigner, me laissant à court de mots sur ce canapé. Je me dirigea vers la fenêtre et constata que le policier était parti, je me sentis un peu coupable de ne pas avoir repousser Rigel pour lui ouvrir. Est ce que Rigel avait fait quelques chose de mal ? Mais pourquoi aurait il voulue nous voir tous les deux ci cela aurait vraiment été le cas ?

Lucie et Paul étaient rentrer très peur de temps après notre incident avec Rigel, je n'avais pas faim ce soir là je ne rêver que d'une chose prendre l'air. La nature me manquait, je bruit des oiseaux, l'odeur du chêne et de L'olivier qui ce trouver dans le jardin et toutes ces petites bêtes à soigner. Seulement je ne pouvais pas, d'après Paul il vaut mieux ce reposer dans un lit sous une couverture et dormir pour reprendre des forces. Je me diriger vers ma fenêtre, les derniers rayons du soleil illuminé ma chambre d'une teinte orange, j'ouvris ma fenêtre heureuse de pouvoir enfin sentir l'air frais caresser mon visage, Nessi ce trouver à mes côté allonger mordillant une balle en de tennis qu'avait acheté Paul pour elle. J'étais heureuse de pouvoir me confier à quelqu'un qui ne me jugerais pas.
- Tu vois c'est ça son problème, un coup il est froid puis l'instant d'après il me saute dessus. Il fait les durs à cuire mais j'arrive toujours pas à savoir ce qu'il veut réellement.
Nessi avait cesser de mâcher ça balle elle me regarder avec de grand yeux avant de ce lever d'un bon et d'agiter la queue en posant ça balle sur mes genoux, elle croyait que je voulais jouer et cela me fit sourire sens même que je ne sache pourquoi.

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