K E V I N
Je vous ai manqué ?
Vous datez un peu.
Bon je me retrouve actuellement enfermé dans le sous-sol de ce connard de Ali. J'y suis depuis 3 jours hein.
J'ai froid, j'ai faim, je veux retourner chez moi. C'est trop ils m'ont ligotés j'ai du mal à respirer.
3 jours qu'ils me torturent.
Ma famille et mes amis me manquent tellement, et n'en parlant même pas de Kami..
Je prie pour que quelqu'un vienne me sauver.
Je peux grave m'échapper en plus Ali est sorti à ce que je sache.
C'est trop il faut que je m'évade, mais je sais pas comment..
J'étais dans mes pensées que je vois la porte s'ouvrir sur Paul et Chalim.
Ces sales fils de putes, ils m'ont kidnappé, volés, ces gignoles, je les hais. Dès que je sort d'ici je vais les enculer.
Ils allument la lumière.
Chalim - tiens ton plat de midi.
Il le dépose sur la table qui se posait devant moi.
Mes mains sont menottés hein.
Moi - je pense que j'ai besoin de mes mains pour manger non ?
Paul - Chalim.
Il exécute.
Il me détache, j'ai enfin les mains libres.
C'est soit maintenant ou jamais.
Je prends la batte qui se trouvait à mon pied. Je l'assome avec, il tombe net au sol, il bougeait plus.
Paul en profite pour s'enfuir mais je l'attrape direct par le col. Il va pas s'en tirer comme ça.
Moi - j'vais te mettre dans le coma.
Paul - attends ! J'suis désolé, je ne l'ai pas fait de mon plein grès. Moi et Chalim on a fait tout ça juste-
Je lui fous un coup dans la gueule. Il tombe direct dans les pommes.
Je les laisse par terre, inconscients et je sort du sous-sol.
J'arrive à l'étage.
Faut pas que je perds de temps, il faut que je m'en aille vite, on sait jamais quand Ali revient.
Quand j'étais sur le point de franchir la porte, je vois quelque chose briller sur la table du salon.
Ça m'intrigue.
Je m'approche et je vois une grosse valise. Je décide d'ouvrir et deviner je vois quoi ?
De l'argent, des grosse liasses de billets quoi.
Je pouvais même pas compter tellement il y avait des billets mais je vous jure que c'est beaucoup. Il y a au moins + de 10.000$ dedans. En tout cas.
