J'avais était dans ma chambre toute la journée à réviser,Rigel c'était joint à moi de mauvaise humeur il m'avait confier qu'il bloqué sur un exercice, et maintenant que je l'avais aider il y arrivé parfaitement. Cela m'avait stupéfié que Rigel soit bloqué sur un exercice aussi simple il avait tout le temps de très bonne note et pour la première fois j'avais aimer que nous soyons si proche l'un de l'autre. La sonnerie de la porte sonna soudainement nous susautames surpris puis nous descendions pour voir qui cela pouvait bien être. Anna étais en compagnie de Fannie et clémentine et Paul prenez un café.
- Tiens Amaryllis tu veux bien aller ouvrir s'il te plaît ?
- Oui.
Lorsque j'ouvris la porte je fis pétrifié de voir un policier sur le seuil de la porte.
- Mademoiselle Amaryllis monsieur Rigel.
Lucie nous rejoigna et fis aussi pétrifié et surprise de voir le policier ce tenir devant nous.
- Nous avons besoins de vous pour clarifier une affaire.
- Qu'est ce que cela veut dire ?!
Paul intervient l'air en colère.
- Je vous défend d'approchée nos enfants.
Enfants, ils nous considéraient comme leurs familles.
- C'est une affaires à propos de l'orphelinat, la Haute Barde. Quelqu'un a déposé une plainte de maltraitance physique et morale, un certain Ludo.
Quelqu'un avait parlé, Ludo avait parlé. Je me souviens encore des chaînes qui étaient seraient au tour de mes poignets et mes chevilles, la brûlure et les cris du fouet qui s'abattait sur ma peau dans la pièce sombre. Mais je me souviens de cette mains qui caresser tendrement mes cheveux après ce cauchemar.
- Vous êtes pas sérieux...Amaryllis....
Elle se retourna et me vit
Une vague de frissons parcourus mon corps, les yeux dévastés par une vérité trop longuement tue.
Une accumulation de chaleur et de froid, d'angoisse et de peur, de tremblements incontrôlable. Le regard de Lucie devient incrédule et angoissée. Sa voix, elle me fit souhaiter disparaître.
- Amaryllis...murmura elle la voix tremblante.
La terreur me pris, les frissons se firent plus féroce mon cœur battait aussi vite qu'un cheval au galop et mes peurs fébriles me coupèrent le souffle. C'était comme être écrasé contre se matelas dur encore une fois et sentir les coup de fouet à nouveau frappé ma peau. Ils savait maintenant à quel point j'étais faible, brisée, inutile et abîmé, et soudainement il le vit comme Elle me voyait. Ils avaient ces yeux, son regard, sa désapprobation. Se fut trop, ce fut insupportable. Mon cœur éclata.
- Amaryllis !
Je m'enfuie, je bouscula le policier et pris la fuite en courant, Rigel était derrière moi il avait tout entendu ce fut trop humiliant. Mes larmes ce mélangeaient à la pluie chaude de l'été à ce moment là je voulais m'enfuir loing de tout. Je m'enfuit par ce que je n'avais jamais rien fait d'autre, je m'enfuie car ces regards étaient bien plus que ce dont j'ai toujours étais capable de supporter.
Je m'enfuie car je n'avais pas le courage de me voir avec leurs yeux. Tandis que je m'enfuie à m'en déchirer les jambes et les poumons et que l'orage fendait le ciel, je compris que même en prenant la fuite la Haute Barde me rattraperait toujours. Elle est cette pièce ne me lâcherais jamais. Je ne serait jamais vraiment libre. Le désespoir me poussa au milieu d'une course fatigante au beau milieu de l'eau qui flouté le reste du monde. Le souvenir du visage déçus de Lucie écorché mon âme et je fini par m'écrouler dans l'eau sale de la mer. Trempé je ramper jusqu'à une petite grotte comme je le faisais souvent à la Haute Barde quand j'essayerais de lui échapper.
Je chercher les bruit du feuillage des arbres, l'odeur du vent et la douceur de la pelouse et priait pour qu'elle ne me trouve pas.
La chaleur brûla ma peau. L'eau imprégna mes chaussures et ma respiration ne fut plus qu un faible râle. Lentement ma vue ce brouilla. Puis lorsque tout sembla s'estomper, j'entendis un bruit de pas sur le sable mouillé. Ils vinrent lentement jusqu'à moi. Je fermé les yeux souhaitent enfin dormir en paix sens faire de cauchemar. Et alors que mes sens s'éloignerent, deux bras me soulèverent du sable. Ils m'enveloppèrent et je reconnu ce parfum familier, comme une odeur de maison. Je me fondis dans cette étreinte plaine de chaleur et enfouit mon visage au creux de ce cou.
- Je serais parfaite. murmurais je, sens force.
Puis les ténèbres m'engloutis et je me perdus dans l'obscurité.
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Fabricant de cauchemar
RomanceAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...