Je me présente : Arnaud, 21 ans. J'ai toujours été timide au niveau des filles et même si je suis sorti avec certaines, j'étais toujours puceau pour mes 18 ans et la fin du lycée.
Cela se passa au lycée alors que j'étais en terminale. J'avais une prof de géographie que je nommerai Nathalie pour ne pas qu'elle puisse être reconnue. Elle avait 34 ans à l'époque et était une très belle femme. De longs cheveux blonds, des yeux verts pétillants, un petit nez et une bouche fine. Ses seins étaient mignons, et elle avait une taille de guêpe. Ses fesses étaient fermes et rebondies, et prolongées par des jambes élégantes et fines. Elle portait fréquemment des pantalons moulants sous lesquels on devinait souvent un string.
Sa tenue qui me plaisait le plus était un pantalon blanc qui lui moulait le cul, et un chemisier rose qui mettait ses seins en valeur.
Nous étions tous sous le charme de cette femme, et nous passions la plupart du cours à bander en la voyant bouger ses petites fesses lorsqu'elle écrivait au tableau. Je me souviens d'une fois où, alors qu'un élève passait au tableau pour présenter un exposé, elle s'était assise à une table à coté de la mienne, les jambes croisées et décalées de mon côté. J'ai passé toute l'heure à admirer cette paire de jambes si magnifiques.
Nous rêvions tous d'elle, et elle était très souvent présente lors de mes plaisirs solitaires. La fin de l'année approchait ; c'était le dernier cours avec elle. Elle nous rendait le dernier devoir avant le bac. J'avais obtenu vingt sur vingt, ce qui me valut ses félicitations. A la fin de chaque cours, elle remplissait un cahier de suivi, et c'était moi qui devais le récupérer ce jour-là.
Je m'en souviens comme si c'était hier ; c'était la dernière heure de cours et elle portait cette fameuse tenue qui m’excitait tant. J'attendais debout à côté de son bureau qu'elle ait terminé. Elle était plus longue que d'habitude à remplir ce cahier. J'en profitais pour la regarder : elle était vraiment trop belle. Mes yeux étaient fixés sur sa poitrine, et l'effet s'en fit vite sentir : je commençai à avoir une petite érection. Puis mon regard descendit sur ses cuisses. Cela acheva de renforcer mon érection. Je ban**dais alors comme jamais. Je venais de me remettre à regarder ses seins quand elle me tendit le cahier.– Voilà, tu peux y aller.
Je mis plusieurs secondes à réagir, et quand je voulus prendre le cahier, elle le retint et me demanda :
– C'est moi qui te mets dans cet état ?
– Comment ? Euh, de quoi parlez vous ?
– De ça, me répondit-elle en caressant la bosse qui dépassait de mon pantalon.
– Euh... non, enfin... balbutiai-je.
– N'aie pas l'air si gêné, je me doute bien que je vous fais un peu d'effet.
– Il faut dire que vous êtes si belle et si...
– Sexy ?
– Oui... c'est ça...Elle recula sa chaise, la tourna vers moi et se rassit en croisant les jambes à moins d'un mètre de moi. D'un côté, je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses jambes. Mais de l'autre, je ne savais que dire et que faire.
– Tu me trouves excitante ?
Je n'osai pas répondre.
– Allons réponds-moi, n'aie pas peur. Ca me plaît quand on me dit que je suis attirante.
– Vous êtes si ... Vous n'imaginez pas à quel point je peux penser à vous.
– Tu t'es déjà masturbé en pensant à moi ?
– Oui... répondis-je timidement.
– Et je faisais quoi ?
– Vous m'initiez à l'amour.
– Tu n'as pas de copine ?
– Non...
– Et je suppose que tu es encore puceau...
– Oui...Elle me regardait droit dans les yeux et frottait ses jambes l'une sur l'autre.
– Tu as déjà vu le corps d'une femme, je veux dire, en vrai ?
– Oui, à la plage...
– Je veux dire, devant toi et pour toi ?
– Non...
– Et tu en as envie, me demanda-t-elle en caressant ma bosse avec son pied ?
– Oh oui, madame !
– Tu aimerais que ça soit moi ?
– Évidemment... Mais pourquoi feriez-vous cela ?
– Disons que tu es mon meilleur élève et que ça serait ma récompense. Alors ? Me redemanda-t-elle en appuyant sur mon se**xe avec son pied.
– J'accepte sans hésiter.
– Très bien.
VOUS LISEZ
𝗧𝗵𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗰𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 é𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻
Randomun mini univers de short story, poèmes et citations rien que pour vous.🥃