Mon cœur est un champ de ruines,
Où la douleur de se coucher,
Le vent de la dysphorie souffle,
Et les ombres de mes rêves se désunissent.
Je suis une mosaïque brisée,
Des fragments épars de moi-même,
Le regard de l'autre se perd dans le mirage,
Et je me sens immense et vide.
Dysphorie de genre
Mon cœur est un champ de ruines,
Où la douleur de se coucher,
Le vent de la dysphorie souffle,
Et les ombres de mes rêves se désunissent.
Je suis une mosaïque brisée,
Des fragments épars de moi-même,
Le regard de l'autre se perd dans le mirage,
Et je me sens immense et vide.