Teen Wolf Werewolf Origins Tome 2 [Terminé]

Chapitre 14 / Elliot-Henry

Complètement aveugler, je titubais devant mon adversaire qui se trouvait dans le même état que moi lorsque j'entendis un sifflement dans l'air suivit d'un grognement. Je ne pus ouvrir les yeux qu'un sac se positionna sur ma tête.

Je tentais de me débattre, mais à mesure que je respirais, j'avais comme l'impression d'étouffer, je suffoquais, comme si j'étais pris par une crise d'asthme.

Il ne fallut pas bien longtemps avant que je ne sois plonger dans les vapes, mon corps devenant soudainement extrêmement lourd, je me vautrais au sol sans même avoir eu le temps de comprendre ce qu'il m'arrivait...

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Je courais dans la forêt, ayant garer ma voiture sur le parking, Lucie me suivais de près. Je parvenais à sentir deux odeurs distinctes que je connaissais.

Dans le lot, il y avait celle d'Elliot, mais ce que je craignais, c'est qu'il y est le chasseur dont je lui aies parler. Je devais faire vite.

Accélérant le pas, Lucie commençait à peiner à me suivre, mais je n'avais malheureusement pas le temps de ralentir pour elle, la vie d'un adolescent était en jeu et je savais que ce chasseur ne lui ferait pas de cadeaux, j'en avais l'intuition.

- Eh, Henry... Ralenti. Me disait elle, mais plus elle parlait, plus j'accélérais le rythme.

Au bout de quelques instants, je l'avais semer et c'est justement moins d'une minute après l'avoir laisser dans mon cirage, que je tomba sur un jeune homme avachi contre un arbre, un carreau d'arbalète en argent planté dans l'épaule.

- Hey ! Dit je en m'accroupissant à sa hauteur. Est-ce que ça va ?

Les odeurs d'Elliot et du chasseur étaient beaucoup plus présente ici. Ils n'étaient pas loin.

- Ouais... tout baigne. Me répond le garçon en grimaçant.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Lui demandais je sur un ton pressé.

- Je me suis battus... avec un gamin... Un oméga je crois... c'est fous ce qu'il est fort, j'ai jamais vus ça.

- Mais encore ?

- Il tentais de me calmer quand un flash nous as éblouis, j'ai ensuite été toucher par cette flèche... Je ne voyais plus rien, mais quelqu'un était présent... j'ai entendu le p'tit ce débattre... j-je crois qu'il l'a emmener.

Je me redressais, Lucie arrivant sur les lieux à son tour à bout de souffle. Je me tourna vers elle en m'approchant.

- Occupe toi de lui pour moi s'il te plaît. Je dois partir à la recherche d'Elliot.

- Attend, tu vas pas aller les affronter seul quand même ?! Dit elle folle d'inquiétude.

- Ca ira, t'en fais pas pour moi. Je suis l'alpha non ?

Je vis Lucie affiché un mine peu rassurée, mais je n'avais pas le temps de la réconforter, je devais me mettre en route. C'est donc en tournant les talons, suivant l'odeur qui commençait à s'évaporer dans l'air que je me mis en route, courant aussi vite que je le pouvais...

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Lorsque j'émergeais de mon "coma" ma vision était floue, je me trouvais dans une pièce assez peu éclairée, je sentais l'air sur ma peau, j'étais torse nu, attaché contre une grille en métal. J'observais autour de moi, voyant une simple chaise en bois ainsi qu'une table plaqué contre le mûr. I y avait une sorte de sacoche noire sur cette table.

Soudain, j'entendis une porte s'ouvrir, quelques bruits de pas qui venais dans ma direction. La porte qui se trouvait à l'entrer de la pièce s'ouvrit à son tour, un vieil homme apparut alors, entrant dans la pièce avec un grand sourire.

Ce dernier s'approcha de la chaise qu'il fit grincer sur quelques centimètres pour la placer bien en face de moi, s'asseyant dessus dans un léger grincement.

- Bonjour Elliot. Dit il toujours en souriant dans un air satisfait.

- Co-comment connaissez vous mon nom ? Demandais je intrigué.

- Oh je sais beaucoup de choses sur toi Elliot, mais la question n'est pas la. Non, la question serait plutôt qui je suis.

Je ne comprenais pas ou il voulait en venir. J'avais déjà du mal à rester éveiller, mais je tentais néanmoins de me concentrer.

- Tu n'as même pas essayer de te débattre pour te défaire de tes liens ? Brave garçon, peut être as tu simplement compris qu'ils étaient imbibés d'aconit tue loup. Quoi qu'il en soit, je m'appelle Gérard... et quelqu'un m'a demander de te faire passé un message.

L'homme se leva alors de sa chaise, prenant la direction de la table ou il ouvrit la sacoche pour y sortir un tas d'objets de tortures. Je me mis à déglutir, le stresse me prenant soudainement. J'avais la gorge serrer, l'estomac retourné, je commençais à transpiré et ma respiration se saccadais.

- Allons détends toi, les choses n'ont même pas encore commencer.

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Oh mon dieu, Elliot est dans de beaux draps qu'en pensez vous ?

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