Transmigrating into a Big villain in the Book

40

Chapitre 40 : Faire semblant d'être l'argent du gouvernement

Traducteur : Tempête dans une tasse de thé

Ke Ruan prit une profonde inspiration. La confiance était une bonne chose, mais un excès de confiance pouvait vraiment l'énerver.

Il essaya de rester calme et dit : "Général Lin. Vous êtes le grand général de la Flamme Rouge. Je veux que vous soyez en vie plus que quiconque. Je ne veux pas que vous soyez en danger simplement parce que vous ignorez certains détails. Est-ce que tu comprends?"

Lin Qingye leva soudainement la tête avec une expression faciale en constante évolution. Ke Ruan n'a pas remarqué quelque chose d'inhabituel. Il le regarda simplement d'un air déçu, comme s'il voulait évacuer toute son inquiétude et sa peur.

"Jeune Maître, vous..."

Voyant que Lin Qingye n'était plus insatisfait, Ke Ruan pensa qu'il écoutait vraiment, alors il dit avec soulagement : « Ces bandits aiment voler l'argent du gouvernement, n'est-ce pas ? Pourquoi ne pas envoyer des soldats déguisés en personnes qui livrent de l'argent au gouvernement afin qu'ils puissent obtenir. Ils ont dit que ces livreurs avaient tous disparu, n'est-ce pas ? Je pense vraiment qu'ils ont été enlevés à Mountain Qiao. "

En baissant les yeux, Lin Qingye semblait être y réfléchis vraiment.

"Général?" Ke Ruan le regarda attentivement.

"Tu grandis vraiment." Lin Qingye leva la tête en souriant.

Ke Ruan poussa un soupir de soulagement, puis éclata de rire. Ses yeux étaient si beaux comme des étoiles au-dessus. Ils étaient au-delà de toute description.

Il s'est levé et a dit : « Dans ce cas, je vais retourner dans ma chambre. Vous devriez avoir besoin d'un peu de temps pour vous arranger."

Les yeux de Lin Qingye clignotaient. Finalement, il acquiesça.

Dès que Ke Ruan est sorti de la chambre de Lin Qingye, il s'est beaucoup détendu. Son corps tout entier débordait d’aisance.

Ke Ruan souriait, ne remarquant pas immédiatement qu'il y avait une paire d'yeux inquisiteurs à proximité. Quand leurs regards se croisèrent enfin. Ke Ruan s'est rendu compte qu'il s'agissait du personnage principal masculin. Puis Ke Ruan lui fit signe et s'approcha.

"Il est tard. Tu n'arrives pas à t'endormir ?"

Si Yuhan était appuyé contre la porte avec confiance, comme s'il disait que tout était sous son contrôle. Tout le monde ne pourrait pas faire ça.

"Je vais." Il se redressa puis entra dans sa propre chambre.

Ke Ruan s'est frotté le nez. Le personnage principal n’était pas quelqu’un avec qui se tromper. Il n'en a pas eu le courage.

Afin de suivre Lin Qingye, Ke Ruan l'a surveillé toute la nuit. Heureusement, toute cette histoire de déguisement allait se produire pendant la journée.

Au lieu de perdre du temps à demander la permission de Lin Qingye et d'être rejeté, Ke Ruan a pensé qu'il valait mieux qu'il agisse à sa manière.

Ces cambrioleurs ne vérifieraient certainement pas les boîtes, où se trouvait l'argent. C'était beaucoup trop accrocheur. C’était donc le seul endroit où il pouvait se cacher. Cependant, il était trop fragile. Il ne sentait même pas ses jambes.

Merde!

Soudain, la boîte s'est arrêtée de bouger. Ke Ruan savait que ces bandits étaient venus.

"C'est ma route, mes arbres. Vous voulez passer ? Laissez-nous l'argent. Ou laissez-vous avec nous."

Ke Ruan était complètement sans voix.

Le slogan n’était en fait pas mauvais.

Même si tout cela n’était qu’un déguisement, ils doivent quand même agir.

"Espèce de bandits ! Comment osez-vous ! Arrêtez-vous maintenant et nous vous laisserons vivre."

"Haha... vous, soldats, continuez à rêver." Ensuite, quelqu'un a dit : « Bon sang ! Ne les laissez pas récupérer l'argent !" Puis quelque chose de lourd est tombé sur le sol.

Puis, il sembla que quelqu'un était approchant.

Il serra les poings et respira lentement. "Ces gens n'étaient qu'une bande de connards. Et ils ont osé donner autant d'argent.

C'est une blague ou quoi ? »

"Va vérifier, voir si c'est l'argent du gouvernement."

"Qu'est-ce qu'il y a à vérifier ?"

"Comment oses-tu ! Arrêtez ces bêtises et aller!"

"Très bien, très bien."

Ke Ruan déglutit.

Merde! Merde! Merde! Qu'est-ce qui n'allait pas avec ces bandits ? Pourquoi ont-ils dû vérifier aujourd'hui ? Bon Dieu! Son cœur battait si vite comme un tambour qu'il pouvait presque l'entendre.