Chapitre I

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/!\ CERTAINES SCÈNES PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITÉ DES PLUS JEUNES. ÂME SENSIBLE S'ABSTENIR /!\

Pour l'amour du Dark Romance.

« Quoi qu'il se passe, je serai là pour te protéger »

Une fois devant la porte du bureau de mon patron Issam, il m'avait dit qu'il voulait me parler d'une chose importante.

Convaincu de n'avoir rien fait de répréhensible dans l'entreprise, je toque à la porte et j'entends une voix dure me dire d'entrer.

Après m'être assise comme il me l'a demandé, je me souviens de la première fois qu'il m'avait fait cette requête, j'avais pensé que je n'étais pas embauchée.

Il enlève ses lunettes et les pose sur le bureau.

Lui : Alors mademoiselle Fernandez, je voulais vous informer que vous irez à Naples pour obtenir des signatures d'un collaborateur. Mais cette fois, je ne pourrai pas vous accompagner.

À Naples ? Je ne m'y attendais vraiment pas. Une ville que je voulais tant visiter. J'ai beaucoup entendu parler d'elle, je crois que c'est ma chance.

Moi : Ah ! C'est super. Quand pourrais-je partir ? Dis-je toute excitée à l'idée de visiter cette ville.

Il me tend quelques papiers que je prends en les collant contre ma poitrine.

Lui : Dès demain, vous pourrez partir. Mon chauffeur viendra vous chercher à votre appartement. Me dit-il en posant ses coudes sur le bureau.

Moi : Merci merci Monsieur !

Je me lève pour me diriger vers la sortie quand il me dit :

Lui : C'est un contrat vraiment important. Faites de votre mieux pour qu'il signe. Vous pouvez rentrer chez vous pour vous reposer.

Je hoche la tête et me dirige vers mon bureau, je vais partir à Naples. Je prends mon sac puis prend la route de chez moi. Mon appartement n'est qu'à quelques minutes de mon travail.

Une fois rentrée chez moi, je décide de me détendre sous une bonne douche.

Il devrait être 22h30 quand j'entends un coup à la porte. Intrigué par cette visite à une heure aussi tardive, je m'enveloppe rapidement dans un peignoir avant d'aller ouvrir.

En ouvrant la porte, je vois mon patron debout devant moi. Je le regarde, surprise qu'il soit venu à cette heure chez moi. Il me fixe longuement puis me dit :

Lui : Excusez-moi d'être venu à une heure tardive mademoiselle, mais vous avez oublié votre téléphone.

Je ne me suis même pas rendu compte.

Moi : Oh ! Désolée... je n'avais pas vraiment fait exprès. Merci.

Je prends le téléphone alors qu'il est toujours debout devant ma porte.

Moi : C'est tout...?

Lui : Oui oui. Dit-il en se grattant la tête.

Il s'approche doucement de moi avant de poser sa main sur ma taille. Je le regarde avec incompréhension.

Moi : Qu'est-ce que vous faites, Monsieur ??

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