Une mafieuse du nom de Mafélya Cartez l'une des femmes les plus puissante du pays veut faire tomber son père , un homme horrible et violent.
Elle serait prête à tout pour se venger et combattre ses démons. Même s'allier avec l'ennemi.
Elle n'a qu'...
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Arsonn.
Mon corps est mort.. je le sens. Je ne contrôle plus mes mains, ni mes jambes, encore moins mes pieds. Je ne vois que du noir. Seulement du noir. C'est donc sa l'enfer ? Sa ne me brûle pas pour le moment..
- Arsonn ! Arsonn !
Bordel..je reconnaîtrais cette voix entre milles. Mafélya. J'essaie en vain d'ouvrir les yeux mais c'est ma fin merde.
- Arsonn. Pitié.
Je n'arrive pas à ouvrir mes putains de paupières. Merde! Il faut- il faut que je restes avec elle !
- Arsonn.. je t'aime.
Je sens une goute d'eau tomber sur mes bras scarifiés. Elle- elle a dit. Elle a dit ces putains de trois mots.
- Je t'aime, je réussis à répéter en chuchotant.
Et bordel je ne sais comment. Mes yeux s'ouvrent. Ils s'ouvrent sur une vue horrifique. Une vue que personne n'aurait aimé voir. Elya est recouverte de sang et son père... son père n'est plus qu'un tas de chaire inanimé sur le sol. Merde.
- Qu'est-ce que-
- Rien.. il- il allait te tuer.
Je ne sais pas si le choque se lit sur mon visage mais. MERDE ! Même si elle le déteste elle a tué son pere. J'essaie de me lever et de mettre mes bras autour de son cou mais je n'y arrive pas.
- Eh, Arsonn. Arrête sa. C'est rien il faut surtout que tu te fasses soigner. J'ai appelé ma tante, c'est le médecin de notre cartel elle va revenir. Reste avec moi.
- Pff. Mafélya. Tu- crois vraiment- que tu vas te de- débarrasser de moi com- comme sa ?
Elle ricane et me prend dans ses bras. Son odeur me donne des putains de papillons dans le ventre. Et une soudain un voiture arrive.
***
Le temps est passé vite. Nous sommes 3 semaines plus tard. J'ai été soigné à temps et suis toujours vivant ( j'ai des cicatrices mais c'est pour la bonne cause). Quant à Mafélya, elle a fait le deuil un plus vite que prévue à vrai dire... Je penses que je l'ai beaucoup aidé aussi. Elle est heureuse. Surtout maintenant. Vu qu'elle remue actuellement ses hanches sur ma queue.
- putain. Gemit elle. Arrête de trop penser ou je ne vais pas réussir à jouir Arsonn..
