Séparation Difficile

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Hello, vous vous apprêtez à lire un os que j'avais posté autrefois sur mon compte principal, NekoKacchan07. À cette époque je ne savais pas écrire, faire des phrases sans faute et surtout, j'étais super cringe.

Alors soit faites demi-tour pour pas vous brûlez les yeux 🥲
Soit je vous passe de la javel avant.

MAIS JE NE VEUX PAS VOIR DES CRITIQUES NÉGATIVES DU GENRE : C'est nul

JE LE SAIS !

Voilà c'était un message de prévention, bonne (mauvaise) lecture !

Pdv externe

Installé dans son canapé de cuir noir dans son salon, les cheveux en pétard, les larmes dégoulinants de ses yeux pour glisser sur ses joues et venir s'écraser sur le sol, la bouche tremblote et le nez recouvert d'un mouchoir, Izuku était en boule. Ses bras se refermant autour de ses jambes, prenant la position d'un fœtus.

Izuku venait d'avoir sa première grosse dispute avec son partenaire. Et, ce n'était pas l'une de ces disputes où chacun dormait autre part. L'un dans le lit et l'autre dans le canapé. Non, mais une dispute qui a causé une séparation. Une séparation beaucoup trop douloureuse et difficile. Il y a peu, environ une dizaine de minutes, Katsuki avait violemment fait claquer la porte de l'appartement, faisant tomber un cadre d'eux deux à leur mariage. Le plus petit avait soigneusement pris la photo, s'assurant de ne pas se raccrocher et de se couper aux morceaux de verre étalés sur le parquet. Il avait nettoyé d'un coup de main la photo pour enlever le peu de poussière qui s'était infiltrée dans le cadre. Il l'a serré dans ses bras avant de pleurer à chaude larme, allant s'asseoir dans le canapé.

Ochaco, étant alertée par un message du vert qui lui demandait de venir en urgence, avait ouvert la porte dans un gros fracas, accompagnée de Denki. Ils s'étaient tous les deux jetés dans les bras du pauvre Oméga pour le réconforter, et avaient facilement deviner à cause du verre que le buisson n'avait pas encore nettoyé. Alors ils l'ont réconforté, ils ont dit que tout se passerait bien, que ce n'était qu'une phase, que dans peu de jours, Izuku retrouvera les bras de Katsuki pour s'y fourrer et sangloter en chuchotant qu'il l'aimait si fort, qu'ils s'embrasseraient, que tout cela était terminé. Mais maintenant, ça faisait plus de trois mois qu'ils avaient rompus. Le blond avait vraiment voulu briser leur amour. Comment de simple papier avec une tâche de stylo peut déchirer un lien, un lien si fort qu'ils avaient réussi à construire en quelques années ? Un lien si fort qui leur avait permis de glisser la bague au doigt, de s'embrasser dans une église devant leurs amis et leurs familles, habillés d'un costard cravate, l'un était blanc, l'autre était noir, faisant ressortir le ying et le yang. Le jour et la nuit. Le soleil et la lune.

Pas un seul message depuis qu'ils avaient rompus. Izuku avait gardé la petite bague dorée que son ex petit ami lui avait offert pour les fiançailles. Même si ce dernier lui avait ordonné de la jeter, car elle ne valait plus rien. Elle ne valait plus leur amour. Elle ne valait plus les promesses qu'ils s'étaient faites. Et encore une fois, Katsuki le trahit. Il abandonne sa promesse le jour du mariage. Quelle belle phrase, "Unit par les liens du mariage jusqu'à la mort", citée par le prêtre, promis par les deux mariés. Izuku ne savait plus faire confiance à qui que ce soit maintenant, hormis Denki, Ochaco et Shoto. Eijiro était le meilleur ami de Katsuki, et il ne voulait pas lui parler à cause de ça. Denki en lui-même était pourtant ami de Katsuki et mari d'Eijiro, mais c'était différent, car il était beaucoup plus proche du vert que du blond cendré.

En agence, il n'ose même plus regardait ne serait-ce qu'une fois l'explosif. Ça lui fait tellement mal, toutes ces années de bonheur, engouffrées, détruites. Chaque fois que le vert entend parler de lui, il ne peut s'empêcher de fondre en larmes à cause de ce léger pincement au cœur. Il est léger, mais il fait mal. Comme une punaise qu'on vous plante dans votre poitrine. C'est la même sensation. Il ne vient pas aux soirées que ses collègues organisent, car il sait que le garçon nommé Bakugo, étant aussi son ancien nom de famille, y serait, forcé par le rouge. Alors il n'y va pas, même si Ochaco insiste, et elle finit toujours par comprendre et à le laisser tranquille. Alors elle ne dit rien, elle part, laissant Izuku dans son lit, serrant l'ancien oreiller où Katsuki posait sa tête lorsqu'il allait se coucher dans leur lit.

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