Nan mais vraiment, je sais pas pourquoi tu lis cette phrase , t'as lu le titre pourtant. Je te l'ai dit, j'ai aucune inspiration . Rien ne me viens. Aller va t'en ! J'ai rien à t'dire ! Tu veux vraiment savoir mon histoire? Oui?? Attends vraiment??!! Y'a pas grand chose à dire , hun... Tu vas t'ennuyer .........T'es encore là? Toi, t'es un petit curieux où une petite curieuse (ou autre). Tu tiens vraiment à connaitre la vie d'une simple personne comme moi? Si t'insiste, d'accord ,je veux bien te raconter.... Mais par où commencer? Je sais ! Par le commencement.....
Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu dans une grande maison avec mon père , ma mère, et mon chat. Mes parents travaillaient tard le soir, alors je jouais dans le jardin avec le matou en les attendant. Un soir où je m'amusais, j'ai vu une drôle de silhouette dans le jardin , j'avais cinq ans . Je vivais déjà une vie monotone, j'ai donc décidé de la suivre . Quand je me suis approchée , j'ai pu la distinguer plus clairement. C'était une grande créature humanoïde, vêtue de noir comme la nuit, elle semblait porter un crâne de buffle sur la tête. Une telle apparition aurait effrayer n'importe quelle enfant, n'importe qui d'ailleurs. Mais moi, non. Moi, j'avais décidée de la suive, et je ne comptais pas changer d'avis de si tôt. Tout de fois, je n'étais pas tout à fait rassurée non plus. J'essayais de ne pas me faire remarquer quand, soudainement, elle s'est retournée. Prise de peur, je me suis paralysée. Je pensais que la créature allait me kidnapper où m'égorger ou je ne sais quoi. Mais non, elle a simplement enlever son masque. Je découvris alors le visage d'un garçon au traits fins, mais pas pour autant efféminés. Ses yeux onyx faisaient ressortir son teint mate et ses cheveux nuit. J'étais subjuguée. Dans mon admiration mêlé de frayeur, il m'a parlé:
"Qui est tu?...Ah, désolée si je t'ai fait peur... C'est souvent la première impression que je donne... Et pourtant, je ne veux de mal à personne...." Il fouilla dans un buisson avant d'en sortir de magnifiques fleurs. En me les montrant , il me dit:
"Tiens, c'est pour me faire pardonner..."Quand j'ai essayé de les attrapés, elle se sont fanées avant que je ne puisse les toucher. Il s'expliqua alors:
"Encore navré, ce genre de choses arrive quand je touche quelque chose... Mais dis-moi, comment t'appelles tu?J'aimerais bien savoir à qui je parle.." Toujours sous le choc de ce que je venais d'observer , il m'a fallu un moment avant de me rappeler mon prénom. Mais j'ai fini par lui répondre:
"M-Mara....
-C'est un joli prénom ça Mara..
-E-et toi...? J'arrivai à peine a prononcer ces mots. Comment t'appelles-tu ?
-Ah, ça... Tu le sauras bien assez tôt, ne t'en fais pas.. Mais je n'ai pas le droit de te le dire. Je suis désolé d'écourter cette discussion Mara, mais je dois y aller. On se reverra, sois en sûr! Déclara-t-il, avec un sourire radieux. Au revoir! "
Il s'en alla, par la suite, dans le fin fond du jardin. Je n'avais même pas eu le temps de lui dire au revoir, qu'il s'était volatilisé. De son passage, ne me restais que les fleurs fanées qu'il avait daigner m'offrir. Je suis donc remontée dans ma chambre pour attendre mes parents.
Quand mes parents sont arrivés, je me suis empressée de leur raconter mon aventure. Pour appuyer mes propos, j'avais essayé de le dessiner du haut de mes cinq ans, et je leur avait montré les fleurs fanées. Mais ils ne me croyaient pas, ils pensaient que j'avais dû rêver. Mon père m'avait même demander si c'était mon nouvel ami imaginaire. Mais ce n'était pas le cas, je le savais. Je me sentais trahi par les personnes que j'aimais tant. Avec le recul, je pense que cet événement fait parti des raisons pour laquelle j'ai arrêter de leur partager ce que je pensais. Après tout ils n'étaient même pas là, ni le matin quand je me levai, ni le soir quand je rentrais.
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J'ai pas d'inspi
General FictionAttention: sujet de la mort traité de diverse façon, si sujet sensible, ne pas lire Mara vivait seule avec ses deux parents, mais ses derniers sont presque toujours absents car ils travaillent tout les deux à temps plein. Quand elle était petite, el...