Twilight : Mary Black

Chapitre 1

Un petit message avant de commencer :
J'écris cette fanfiction pour le plaisir donc il y aura très certainement des fautes d'othographe ( même si j'essaie de faire attention ).
Normalement un chapitre apparaitra tout les dimanches vers 18h00.
C'est ma première histoire wattpad, merci d'être tolérant.
N'hésiter pas a me donner des conseilles et vos réactions, je serai ravie d'y répondre 😁
J'arrête de vous embêter.

BONNE LECTURE !

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chapitre 1

Je me réveille dans le petit cabanon que mon grand frère a construit il y a de cela 4 ans.

Les murs en bois se sont dégradés au fil des mois, au fil des nuits que nous passons lui et moi. Je suis toujours blottie contre lui dans ces moment là, il me tient chaud pendant les nuits glacial de l'hiver.

Malheureusement William n'a pas pu venir avec moi ce soir. Il devais protéger ma petite soeur contre l'alcoolisme de mon père.

Tous disent qu'Ephraïme est un héros, ils ne connaissent pas l'homme qui est mon père. Moi aussi je porte son nom de famille, nom que si j'avais pu le changer contre celui de ma mère je l'aurais fait.

Mais, est ce que le nom d'une mère absente est réellement digne d'être porté ?

A cette instant, ma vraie et seule interrogation est : Pourrais-je sauver Jane, le bébé de la famille, mon frère William et moi même sans me transformer en loup garou comme lui ?

Pour ressembler à mon père ? Non merci.
Je sais que mon frère est un bon, voir excellent loup, mais je n'arrive pas à me faire à l'idée que mon frère et mon père soient là même créature.

Je me lêve et sort du cabanon, il faudrait que j'essaie de voir si il reste un peut de nourriture pour moi et du lait pour Jane. Le truc qui me sert de père prends souvent l'intégralité de l'argent que nous alloue notre mère pour acheter son alcool.

Je ne marche pas très vite, trop affaiblie pas le manque de nourriture. C'est dommage que se soit l'hiver on ne trouve pas grand choses à manger durant cette période dans la forêt.

Je m'appuie contre un arbre, histoire de reprendre mes forces. Deux jours que j'étais assise là, à me demander si mon grand frère et ma petite sœur allaient survivre. Deux jour recroquevillée. Quatre jour sans avoir manger.

William m'interpelle une fois que je suis devant le chemin menant à la maison presque insalubre. Des morceaux de verre jonche le sol de la maison, qui un jours sur trois, si cela est possible me sert de toît.

-Tu devrais manger et après vas au collège d'accord ? Tu as louper trop de journées, dit-il, me tendant un bout de pain.

Je ne m'enquis pas de cela, ni de la faim qui me tordait l'estomac et demande.

-Jane a eu à manger ? Et où est Ephraïme ?

Je ne l'appelais jamais papa dans mes pensées. Alors pourquoi le ferais je à l'oral ?

Quand il étais trop soûl, il me le reprochais souvent, mais qu'est ce que j'en ai à faire d'appeler papa, un tortionnaire pareil. Je ne comptais plus le nombre de fois où je m' étais évanouie car il avais brisé une bouteille en verre sur ma tête.

Le nombre de séjours que j'avais passé à l'hôpital en compagnie du docteur Cullen, il ne m'avais jamais demandé la raison voyant que cela me dérangeait. Il se contentait de me dire de faire attention et de ne pas hésiter a passer le voir.

Mon frère ne savais pas que j'y étais allée sans le prevenir, par peur des moqueries et des questionnements de mes cicatrices, au primaire et encore aujourd'hui au collège.