Chapitre 10

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Chapitre 10 :

Alizé.

Je ne sais pas ce qui m'a pris jeudi soir. Certainement l'euphorie de la soirée avec mes amis, mais voilà que j'ai proposé mon aide à ma sœur et que je suis invité de mon pleins gré chez mes parents. Heureusement ce n'est que pour le repas du dimanche, en espérant qu'on ne soit que à quatre. Je n'ai pas envie de voir le reste de la famille, c'est assez difficile de supporter ma mère alors si ses acolytes de frères et sœurs s'y mettent j'ai bien peur de pas réussir à faire semblant longtemps.

Je vais faire ne sorte de pas répondre à leurs commentaires et de rester polie, je suis là pour négocier la cause d'harmonie et d'empêcher cette collocation cauchemardesque, alors on évite les disputes inutiles qui ne vont pas plaider ma cause. Je sens tout de même que le repas va être long et pédieux.

-Pourquoi tu ne veux pas prendre ta sœur ? c'est juste trois mois. Ronchonne mon père.
-Mais comprend que-
-Non mais je n'arrive pas à croire que tu es si égoïste Alizé ! déclare ma mère en me coupant la parole.
-Je vie dans l'un des quartiers le plus mal fréquenter de New-York, Harmonie va rentrer tard c'est super dangereux, vous le comprenez oui ou non ?!
-Si c'est l'unique problème je lui paie un garde du corps, renchérit mon père
-Mais Alizé à un petit copain, même qu'elle vit avec lui ! fini par balancer ma sœur qui ne fessais que d'écouter depuis que le sujet avait pris place au dessert.
-Tu n'es plus dans ton miteux appartement ? demande mon père calmement, étonné de la nouvelle. J'espérai négocier sans utiliser le même mensonge qu'a harmonie mais cela est rater.
-Miteux, miteux, pas tant que ça si c'est pour héberger Harmonie. Dis-je en ignorant sa question.
-Elle aurait fini par trouver autre chose, voilà tout, on sait très bien qu'elle n'aurait pas supporter ton appartement et ton quartier, elle aurait supplié son père de lui trouver un appartement après juste une après-midi. Explique ma mère.
-Eh bien les chats ne font pas des chiens.
-Mais maintenant qu'Harmonie à entendu tout ça, elle va comprendre qu'elle n'a pas le choix. Continue mon père.
-Je ne veux pas être en location. Ronchonne encore ma sœur.
-Tu n'as pas non plus envie de vivre avec moi. Ça doit lui faire drôle, c'est la première fois qu'on lui impose un choix, et qu'on ne cède pas à son caprice, cala me réjouis, bienvenue dans ma vie petite sœur. Donc qu'on recapitule, je reste seule chez moi, harmonie ira vivre dans une location, et tout le monde est content, on aurait pu régler cette affaire au téléphone, ce fut rapide.
-J'ai intérêt à avoir le meilleur appartement en location de New-York, avec la plus belle vue. Crache harmonie avant de partir dans sa chambre.
-Alizé, parle nous de ce garçon, tu ne nous as jamais présenter personne. Demande ma mère. J'avoue être pris au dépourvu.
-Oh eh bien, c'est un garçon de mon âge...
-Il fais quoi dans la vie ? interrompt mon père, évidement c'est la seule chose qui l'intéresse.

-Il gagne bien sa vie si là est la question.
-Comment ?
-Il est dans l'immobilier, comme toi, fin lui c'est sa principale activité. Rien de mieux comme métier pour satisfaire mon père.
-Dit moi à quoi il ressemble ? tu as une photo ? et comment il s'appelle ? je ne comprends pas vraiment pourquoi cela l'intéresser, elle ne sait jamais intéresser à moi ou encore à ma vie.
-Il est grand... brun, yeux clairs, toujours habillé de façon propre et classe, non je n'ai pas de photo, et um... il s'appelle... Kaïs. Je n'ai pas vraiment géré pour le prénom là, pourquoi j'ai pensé à lui ? Bon sur ceux moi j'y vais, de la route, bonne fin de journée à vous.

En quittant la salle à manger pour rejoindre l'entrée où est poser mon mentaux j'aperçois ma sœur assise dans les marches, elle a écouté la discussion avec mes parents comme elle le fessais avant, je l'ignore et rejoins au plus vite ma voiture. Je ne peux m'empêcher de m'insulter intérieurement, je me suis contentée de d'écrire le style de garçon que j'ai pu fréquenter, mais pourquoi son prénom à lui ? il ressemble aussi à la description... Bordel Iris à raison, il est canon. Je lance ma playlist qui parcours l'habitacle de la voiture d'un volume élevé et conduis jusqu'à mon appartement en essayant d'oublier l'erreur que j'ai faites.

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