Futa Box

Chapitre 10 : Sans lubrifiant

Asia était à peine parvenue à reprendre son souffle, encore tremblante après l'épreuve des dix pénis, lorsque la voix féminine résonna de nouveau, plus impitoyable que jamais.

"Asia, il est temps pour ta prochaine épreuve," annonça la voix d'un ton glacial. "Cette fois, tu devras coller ton anus au trou. Une futanari au membre immense et sec va baiser ton cul sans lubrifiant jusqu'à ce qu'elle jouisse. Sache qu'elle est connue pour être longue à éjaculer. Prépare toi."

Les mots frappèrent Asia comme un coup de massue. Son esprit lutta pour accepter la réalité de ce qu'on lui demandait de faire. Le simple fait d'imaginer la douleur et l'humiliation de cette épreuve la terrifiait. Mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Si elle voulait survivre et éventuellement sortir de cette boîte infernale, elle devait obéir.

Elle se mit à quatre pattes, son cœur battant à tout rompre, et positionna son corps de manière à aligner son anus avec le trou circulaire. La peur la paralysait presque, mais elle força son corps à se détendre autant que possible, bien qu'elle savait que rien ne pouvait vraiment la préparer à ce qui allait suivre.

Soudain, le pénis apparut, immense et sec, tel un instrument de torture. Il s'approcha lentement, provoquant un frisson glacé le long de la colonne vertébrale d'Asia. Elle ferma les yeux, tentant de se préparer mentalement à l'horreur à venir. Elle sentait chaque muscle de son corps se tendre sous l'anticipation de la douleur imminente.

La première pression contre son anus était brutale, un choc de douleur pure qui la fit crier malgré elle. Elle se mordit la lèvre pour se forcer à rester silencieuse, mais la douleur était presque insupportable. Le pénis forçait son entrée, déchirant les tissus sensibles sans aucune lubrification pour atténuer le supplice.

"Concentre toi, Asia," murmura la voix avec une cruauté douce. "C'est seulement en acceptant la douleur que tu pourras surmonter cette épreuve."

Asia essaya de suivre ce conseil, mais la réalité était accablante. Chaque mouvement du pénis à l'intérieur d'elle était une nouvelle torture, une nouvelle vague de douleur brûlante. Elle sentait chaque centimètre s'enfoncer en elle, chaque veine, chaque pulsation. La sensation était atroce, chaque poussée semblant durer une éternité.

Elle serra les poings, ses ongles s'enfonçant dans ses paumes, tentant de détourner son esprit de la douleur en se concentrant sur autre chose. Mais la douleur était omniprésente, envahissant chaque recoin de son être. Elle sentit des larmes couler sur ses joues, mais elle les ignora, se concentrant uniquement sur sa respiration, tentant de rester consciente malgré l'agonie.

La futanari de l'autre côté du mur continuait son assaut impitoyable, chaque mouvement de va-et-vient amplifiant la souffrance d'Asia. Elle savait que cette futanari était longue à éjaculer, et cette pensée seule était un tourment. Combien de temps allait-elle devoir endurer cette torture avant que cela ne se termine ?

Les minutes passaient lentement, chaque seconde une éternité. Asia luttait pour ne pas perdre conscience, chaque mouvement du pénis en elle étant une nouvelle épreuve de volonté. Elle sentait ses forces l'abandonner, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas se permettre de céder. Pas maintenant.

La douleur devenait de plus en plus intense, presque insupportable. Elle sentait son corps se rebeller, chaque fibre de son être criant pour que cela cesse. Mais elle savait qu'elle devait continuer, qu'elle devait survivre. La pensée de la liberté, aussi lointaine soit-elle, était la seule chose qui la maintenait encore debout.

Enfin, après ce qui sembla une éternité, elle sentit une tension différente dans le membre en elle. La futanari approchait de l'orgasme. La douleur était toujours présente, mais l'idée que cela se termine bientôt lui donnait une lueur d'espoir. Elle serra les dents, se préparant à la dernière vague de douleur.

La futanari poussa un dernier cri de plaisir, et Asia sentit le membre se tendre violemment avant de relâcher une explosion de chaleur en elle. Le sperme chaud coulait en elle, apportant une fin à la douleur infernale. Elle s'effondra sur le sol, haletante et tremblante, mais avec un sentiment de soulagement profond. Elle avait réussi.