Chapitre 11 : Première vaginale

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Asia était allongée sur le sol de la boîte, son corps tremblant et en proie à une douleur lancinante. Le membre immense et sec de la futanari s'était finalement retiré, laissant en elle une sensation de vide et de brûlure. Elle tentait de se remettre de cette épreuve, son esprit cherchant désespérément un moment de répit.

Mais la voix féminine, implacable et sans pitié, résonna de nouveau dans l'obscurité :

"Asia, il te reste 91 futanari à faire jouir en moins de six jours. Tu dois accélérer le pas."

Ces mots tombèrent comme un couperet, rappelant à Asia l'ampleur de sa tâche. Son corps était encore engourdi par la douleur, mais elle savait qu'elle n'avait pas le temps de se lamenter. La voix poursuivit, annonçant la nouvelle épreuve :

"Pour cette épreuve, deux pénis très longs et durs vont passer à travers les deux trous. Tu as douze minutes pour les faire éjaculer en utilisant seulement ton vagin. Sache que tu risques de tomber enceinte, mais tu n'as pas le choix. Prépare-toi."

Asia sentit une vague de panique monter en elle. C'était la première fois qu'elle allait être pénétrée vaginalement, et l'idée de le faire avec deux pénis en même temps était terrifiante. Mais elle savait que refuser n'était pas une option. Elle devait obéir, coûte que coûte.

Elle prit une profonde inspiration, essayant de calmer les tremblements de son corps. Les deux pénis apparurent bientôt dans les trous, longs et durs, prêts à la pénétrer. Elle s'approcha lentement, son esprit luttant pour se préparer à ce qui allait suivre.

Elle se positionna au-dessus du premier pénis, alignant soigneusement son vagin avec l'extrémité du membre. La sensation de la tête du pénis contre son ouverture la fit frissonner, mélange de peur et d'anticipation. Elle prit une autre inspiration profonde avant de commencer à descendre lentement.

La douleur était immédiate, son vagin se tendant pour accueillir le pénis imposant. Elle sentit chaque centimètre s'enfoncer en elle, étirant ses parois de manière presque insupportable. Mais elle continua, luttant contre la douleur, déterminée à réussir.

Une fois le premier pénis en elle, elle se tourna lentement vers le second. Elle s'accroupit avec précaution, alignant le deuxième pénis avec son vagin. La sensation de deux membres en elle était écrasante, chaque mouvement une nouvelle vague de douleur. Mais elle ne pouvait pas reculer. Elle devait continuer.

Les deux pénis commençaient à se mouvoir en elle, chacun trouvant un rythme distinct mais harmonieux. La sensation était à la fois douloureuse et étrangement stimulante, son corps réagissant à la pénétration de manière confuse. Elle se concentra sur ses mouvements, essayant de maintenir un rythme régulier malgré l'inconfort.

Les minutes passaient lentement, chaque seconde une épreuve de volonté. Elle pouvait entendre les gémissements des futanari de l'autre côté des parois, leur excitation montant avec chaque poussée. La sensation de deux pénis en elle, chacun cherchant à atteindre son propre plaisir, était presque insupportable.

Mais elle devait tenir. Elle devait réussir. Elle accéléra ses mouvements, ses hanches se balançant en rythme avec les va-et-vient des membres en elle. La douleur se mêlait à une étrange sensation de plaisir, son corps commençant à répondre de manière involontaire.

Les gémissements des futanari devenaient de plus en plus intenses, signe qu'elles approchaient de l'orgasme. Asia pouvait sentir les membres se tendre en elle, prêts à exploser. Elle redoubla d'efforts, ses mouvements devenant plus rapides et plus intenses.

Enfin, après ce qui sembla une éternité, elle sentit les deux pénis se tendre violemment en elle. Les membres pulsèrent, libérant une vague de sperme chaud qui remplit son vagin. Elle se laissa tomber en arrière, haletante et tremblante, mais avec un sentiment de réussite. Elle avait réussi à les faire jouir en 11 minutes et 12 secondes.

Elle se laissa tomber sur le sol, épuisée mais soulagée. C'était la première fois que son vagin avait été pénétré, et la douleur persistante en elle était un rappel constant de ce qu'elle avait enduré. Mais elle avait réussi. Elle avait réduit le nombre de futanari à 89. La route était encore longue, mais elle devait continuer. Pour sa survie. 

Futa BoxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant