Ey toi , oui , toi qui lit scrupuleusement ce livre, crois-tu en l'amour? Ou l'y as - tu cru à une période de ta vie? Moi , non, je n'y crois plus et je vais te dire pourquoi......
Nous sommes en 2020, c'est à dire , 2 ans après la mort de mon père. Agée de 12 ans, J'habite maintenant chez mon oncle et ma tante ainsi que mes deux cousines, j'ai arrêté le tennis et au lieu de ça, je me suis mise à prendre exemple sur mon oncle et ma tante en allant à l'église chaque samedi, j'étais passé d'une catholique réservé en une adventiste extravertit, le changement de religion ne m'affecfait pas plus que ça, à vrai dire j'aimais bien l'alchimie que me procurait cette église, elle m'aidait à oublier les tragiques évenements de mon passé et à me concentrer beaucoup plus sur Dieu et sur moi même, j'en voulais à la vierge de ne pas m'avoir écouté, donc tout comme elle l'a fait avec moi, j'ai ignoré son existence. Malgré tout le mal qu'on m'ait pu faire, il n'y a pas eu un jour oú je n'ai cessai de croire en l'amour, car voyez vous, Dieu m'avait pris un père et en échange , il me confia l'amour paternel d'un oncle et maternel d'une tante, je me sentais aimé plus que je ne l'étais autrefois.
Si, comme moi, il y en a parmi vous qui soyez adventiste, vous comprenez surement ce que ça fait quand le chef du club se met à siffler dans le but de réunir les jeunes. Et oui, en plus d'être membre d'une église, j'étais aussi membre d'un club, nous étions des jeunes adventistes prêt à aider et à eclairer ceux dans l'obscurité, nous étions "Les Eclaireurs". Ce club m'apporta beaucoup d'amour et de joie, je me sentais comme au sein d'une grande famille. Mais tout n'était pas toujours parfait, il y a des jours où il m'arrivait de regretter mon choix de devenir eclaireurs, il faut dire qu'il m'arrivait parfois de ne pas me sentir à ma place. Je vous explique : "Tout comme à l'intérieur de chaque institution éducatif, il y a toujours une division au milieu des jeunes, les adultes ne le remarquent pas, mais elle est pourtant présente. Je pensais que ce genre de truc ne se faisait qu'à l'école mais elle existait aussi à l'église et même au club."
À ma première arrivée au club, je fit la connaissance du premier groupe de jeunes, surnomé :" Les populaires", ils étaient les ainés du club. Ils ricanaient sans cesse, ne faisaient que taquiner et vous l'avez surement devinez, ils étaient aussi les plus beaux du club, ce groupe était constitué de huit filles et de deux mecs, tous les uns plus énervants que les autres. Si quelqu'un ne faisait pas partit de ce groupe, il était alors classé parmi les gens ordinaires n'ayant aucun point qui mérite l'attention, ces deniers étaient donc surnomé :" Les ordinaires", et j'étais fier d'en faire partit car je détestais les populaires, ils me dégoutaient à vouloir toujours montré leurs belles tronches. Mais pour une raison que j'ignore, malgré ma haine envers eux, j'aimais bien écouté les rumeurs sur leurs vies sentimentals.
:" Saviez vous que Elie et Mydsa viennent de se mettre en couple" disait Adeg, l'une des amies que j'ai pu faire au club. Mydsa est si jolie, pas étonnant qu'elle pu conquérir le cœur d'Élie.
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- Ils sont si mignons tout les deux, répondait ma cousine Samaëlle.
- Pff, je vois pas ce qu'elle lui trouve, rétorquait Emmanuel, qui se croyait le plus beau.
