à mes années à venir, une jeunesse amoureuse volée.
septembre 2020.
il commençait à être tard comme un vendredi soir où lorsque que les travailleurs quittent leurs postes, les lumières de la ville s'allument et laisse place à une toute autre ambiance. les bars commençaient alors leurs journées et le bruit changeait du tout au tout. pour ce mois de septembre, l'été n'est pas encore fini à Cassis, les hectares de vignes pointe encore le bout de leur nez du haut des petites maisons qui longent les ruelles. c'est agréable de s'y promener, surtout en température moyenne. quand il fait bon. depuis peu, chaque année, un thème est défini concernant le fleurissement et le choix de la mise en œuvre de celle-ci. le choix des plantes et leurs emplacements, volume et couleurs parfois flagrantes, parfois non. cette année la ville est rose, habillée de laurier, de bergénie à feuilles cordées, des pivoines ou bien du pourpier rose. l'ombre de certain balcon habillaient les petites ruelles pavés bondés de monde du soir au matin. ce qui est bien dans cette ville, c'est qu'il n'y a jamais la même ambiance. elle change toutes les heures.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
souleymane préférait celle du matin, très tôt. quand le soleil venait à peine de se lever. il entendait les oiseaux chantaient leurs premier chants, les premières brises de vent venant de la mer et le bon petit brouhaha des personnes qui allaient chercher leur pain, sur le marché ou bien se poser prendre le café, notamment au Bar de la marine 5 rue quai des baux. souleymane est cantonnier au début de sa journée puis serveur au bar Le Loup Bar 9 avenue des calanques pour finir la soirée. il dormait de quatorze heures le temps de rentrer jusqu'à dix huit heures, là où il commençais à dix neuve heures son service au bar. il était grand, mince, un corps svelte, une peau légèrement mate, des cheveux mi-longs qui était presque toujours mouillé. soit par un effet humide qu'il faisait avec du gel ou soit à cause de l'humidité et la transpiration. il avait les yeux marrons, de longs cils. il n'avais pas de barbe. juste un bouc et une moustache. ses amis se moquaient de lui car elle n'était pas assez garnie à leur goût. il disaient : « nous on a des barbes d'hommes, toi t'as une moustache d'imberbe ou d'adolescent en pleine puberté. » ses copains d'école ou juste ses voisins étaient devenus de vraies amies sur qui il pouvait compter au fil du temps. il n'en voyait que certain. les autres étaient partit à l'étranger, dans des pays plus chaud pour découvrir de nouvelles cultures et voir d'autre paysage. pas celui de l'europe. parmi ceux qui sont restés il y a baptiste, un petit blond toujours bien vêtu (quasi toujours de bleu marine ou de blanc), il n'était pas mince mais bien menue et avais les cheveux limite à la coupe militaire, il poursuivait ses études de droit à Aix en Provence dans la Faculté de droit et de science politique 3 avenue robert schuman. il avait un petit appartement là bas pour les semaines d'examen mais avait garder un pied à terre a Cassis. yanis, peau bronzé, les yeux vert et les cheveux légèrement crépu tenait une épicerie avec son père et n'avait pas de réel projet dans l'avenir à part se faire de l'argent. et enfin pierre, grand, baraque, les cheveux noir persans qui brillaient dès la lumière posé sur lui. il était jeune sapeur pompier et vivait avec sa copine alice, qui tenait la boulangerie La tarte tropézienne 4 rue alexandre gervais. ils étaient tous devenus en quelque sorte un bon groupe d'amis qui figurerait dans les anecdotes qu'ils diront quand ils seront grands-parents. un groupe soudés et où l'on sait tout sur tout sur chacun.
