Salle 127

Chapitre 1

Avertissement
Cette fiction peut ne pas convenir à tout public.

Terreur Nocturne.

Un bruit assourdissant émane de la salle 127, la salle était comblée. La foule est en délire face au combat qui se déroule sur le ring, placer juste en bas.
Le sang coule et gicle, l'arbitre sonne la fin ; le boxeur favoris a gagner.
Mes amis hurlent, à l'image de fans qui viennent de gagner leurs paris.
La soirée se termine sur sa victoire, je sors lentement de la salle.
C'était ma dernière soirée à Moscou, je suis supposé prendre l'avion demain à la première heure pour retourner au Japon.

- Bon retour Eiji, fais attention à toi, cria mon amie Daria en me prenant dans ses bras.

- Préviens-nous à ton arrivé, continua Sasha.

Je les saluai à mon tour puis nous pris des chemins différents.

Je m'engageai dans l'une des sombres rues de Moscou, le quartier était animé ce soir.
Plus je me rapprochais de ma destination, plus le calme se faisait ressentir.

Je m'engageai dans une rue étroite, déserte et mal éclairée.
Inconsciemment, je m'arrêtai au centre de cette ruelle et me tournai, j'avais un mauvais pressentiment.
Mais je ne vis rien, alors je repris la route en pressent mon pas.
J'arrivai au pied de mon immeuble quand je sentis une lame sous mon cou, je me figeai.

- chut, chut, me dit une voix presque inaudible.

- s'il vous plaît, gémis-je

Sa main se frayait un chemin le long de mon dos, et descendit lentement sur mon derrière, je bloquai ma respiration. Je sentis sa main agripper le haut de mon jean.

- s'il vous plaît, continuai-je.

Je senti un courant d'aire frais sur le bas de mon dos, mon pantalon se baissa doucement. J'attendais le moment fatal, mais plus rien ne se produit, sa main se décolla de moi, et je sentis son corps tomber au sol, inconscient.

Je me sentis tourner de l'œil, mais dans un dernière efforts, je me retournai.
Je perçus 3 massives ombres noires.

Puis plus rien.

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J'émergeai doucement, j'avais une étrange impression, mon corps était tendu.
Je me redressai et commençai à paniquer, je ne reconnaissais pas la pièce dans laquelle je me trouvais.
J'essaye de me remémorer les événements de la veille mais rien de me revient, trou noir total.

La porte s'ouvrit, une femme d'une cinquantaine d'année s'approcha de moi, un plateau à la main et me tendis un verre d'eau. Je le saisit.

- mer..ci, murmurai-je, la voix sèche.

- Vous allez mieux ?, demanda-t-elle.

J'hochai faiblement la tête, encore incertain.

- Vous arriverez à vous levez ? Ils vous attendent en bas, allons y.

Je levai les yeux vers elle, cherchant des réponses, mais elle demeurais impassible.

- Allez, venez.

Elle posa le plateau sur la table de chevet à côté de moi et souleva la couverture qui me recouvrait.
Sans réfléchir, je basculait mes jambes sur le côté et me leva, non sans mal.
Je la suivis à travers le couloir, nous étions à l'étage, d'ici je pouvoir voir le bas de l'habitation, je devine non sans mal que je suis dans un penthouse.

La panique me regagna, ou était-je ?
Je me stoppai alors quel continua sa course.

Elle s'apprêtait à descendre quand elle ne sentit pas ma présence derrière elle. Je la vis faire les gros yeux quand elle regarde dans ma direction.

Il me fallut quelques secondes pour comprendre qu'elle regardait derière moi. Je me retournai donc lentement.

Puis je leva la tête, une masse se tenait là, à quelques millimètres de moi.

Je sentis son souffle s'abattre sur mon visage.