Je rêve de suicide, de mort et de liberté.
Ma vie est une solitude constante, il m'a choqué, il m'a transformé. Je n'en peux plus, je ne le supporte plus, la vie ne m'intéresse plus.
La mort m'appelle, j'ai envie d'en finir, les larmes ne coulent plus, cet homme m'a détruit, les gens me font peur, je n'ose plus sortir, je n'ose plus parler, je n'ose plus vivre.Cet homme est de ma famille, cet homme est mon père, je l'aimais, mais lui, pas de la même façon apparemment. Un soir, j'avais 8 ans, ma mère était à son boulot, elle travaillait comme stripteaseuse dans un bar à quatorze kilomètres de la maison, je venais de finir ma douche et à ce moment-là, il entra et me bloqua contre l'évier, il me dit qu'il m'aimait et qu'il voulait plus. J'ai eu tellement peur que mes larmes se sont mise à couler, il commença à me caresser les cheveux puis le visage et descendit sur ma poitrine d'enfant, je n'avais que 8 ans et là, ce fut le drame, il commença à me caresser la ch****, à ce moment-là ma vie fut terminée.
Il se mit ensuite à se déshabiller et... Enfonça sa b*** en moi, j'ai pleuré, crier, hurler, mais personne ne pouvait m'entendre. Il m'a volé ma virginité, il m'a pris la vie de jeune fille insouciante que j'avais, il m'a tripoté et violé.Je n'ai pas réussi à dormir de la nuit, j'ai dit à ma mère que je ne me sentais pas bien, que j'avais mal à la tête. Elle m'a cru et pris rendez-vous chez notre médecin traitant familial, le rendez-vous était à 10 h 48 du matin. Je voulais raconter à ma mère ce qui s'était passé, mais une voix dans ma tête me disait : "ne dit rien, tu pourrais lui faire du mal", alors je me tue et parti me changer pour aller chez le médecin.
On sorti de la voiture et entra dans la salle d'attente, il y avait 2 couples, le premier était un petit couple de vieux et l'autre, une femme enceinte d'à peu près 6 mois et son homme.STOP
Je me fixe droit à lui, mon regard droit sur lui, comme un diabétique devant du sucre, je n'arrivais plus à bouger, mon corps ne m'écouter plus, et je me mis à pleurer devant tout le monde.
Ma mère, qui ne comprenait pas, m'a pris dans ses bras et m'a fait sortir dans le couloir, mes larmes commencer à s'estomper, mais le médecin s'approcha de moi et me dit : "Bonjour Suzanne, que fais tu dans le couloir ?".
Je venais à peine de me remettre de mes émotions, quand une émotion forte se mit à surgir d'une force incommensurable. La peur du médecin me fit faire pipi dessus, mais à peine ai-je pris mes jambes à mon cou que le médecin m'attrapa par le bras et me dit d'une voix fâchée : "Ce n'est pas poli de partir en pleine conversation".
En voyant le médecin m'attraper le bras, les souvenirs de ce que m'avait fait mon père, surgissaient petit à petit, comme si je voyais des flashes. À ce moment-là, je me mis à pleurer de nouveau et hurlé : "Non, je ne veux pas, lâché moi". Le médecin me l'achère aussitôt, ma mère compris qu'il se passait quelque chose et dit au médecin : "Mr Strasvoski, ma fille a un problème dons, je ne sais pas lequel, que dois-je faire", le médecin lui répondit : "Suzanne est une petite fille qui doit sûrement garder un très lourd secret, je vous conseille de prendre rendez-vous chez un psychologue".Sur la route du retour, ma mère essaya de me faire cracher le morceau, mais je ne dis rien, de retour à la maison, je courus en direction de ma chambre, claquai la porte d'une rage incommensurable puis me cachai sous la couette en pleurant à chaudes larmes. Je ne puis faire face à ma mère après ce que je venais de faire chez le médecin, je me sentais honteuse, je me dis presque que c'est moi qui le veux. "Suzanne, t'es où ?", la voie de mon père, il était rentré, pourquoi m'appeler t-il moi ? Avais-je fait quelque chose de mal ? Allait-il recommencer ce qu'il avait fait ? Toutes mes pensées tournées en rond dans ma tête, je n'arrivais plus à penser calmement, je me suis mis à avoir un mal de tête ébouriffant.
Mais je me suis mis a retrouvé un petit sourire (très léger), quand j'ai entendu la voix de mon oncle.
Lui aussi avait vécu ce que je vis, son père avait abusé de lui à l'époque, mon pauvre tonton Joseph, la première fois qu'il nous l'a dit je n'avais que 6 ans, je ne me rappelle pas tout en détail, mais il y avait une histoire de violence, mais le pire, c'est que mon père avait vécu la même chose et je me dis que ces peut-être pour cela qu'il me l'a fait, dois-je lui en vouloir ou pas ?Ces questions me trottent dans la tête, je n'arrive plus à réfléchir, ni à comprendre mes propres pensées. Je ne peux plus me confier a ma mère autant qu'avant, elle ne comprendrait pas et j'ai peur qu'elle me juge, me rejette ou pire, qu'elle ne me crois pas.
Quant à mon oncle, je ne sais pas quoi en penser, devrais-je lui en parler ou pas ? Pour ses questions reste t-il autant dans mon esprit, ma tête me respire et réfléchie, mais mon cœur attend juste l'explosion.Alors je pris mon courage a deux mains et demanda à mon oncle de venir me chercher pour que l'on aille discuter tranquillement au parc, il me répondit : "Pourquoi, que se passe-t-il ?".
Malgré ses questions sans réponses (pour l'instant), il vint quand même me chercher, il m'emmena au grand parc de la ville et on s'assied sur un banc en bois, il était vieux et un peu abîmé, mais d'en l'ensemble, on pouvait toujours s'asseoir dessus. Au moment où je lui dis : "Tonton Jo", il comprit tout de suite qu'il y avait quelque chose qui clocher.Le problème, c'est que je ne sais pas si je peux lui dire, je ne sais pas si je peux lui faire confiance. C'est le frère de mon père, et s'il lui disait tout ? Et si mon père recommence ? Et s'il me battait comme avant.
Oui, a l'âge de 5/6 ans, mon père me battait (sans que ma mère ne le sache bien sûr). Malheureusement sa continue encore, je me fais frappé, des gifles des coups de pied, et même des coups de fouet, ses insupportable, je ressens presque encore les douleurs de la dernière fois, qui se trouve être ce matin quand ma mère dormez, juste avant qu'il parte au travail.
La douleur fait parfois faire des chose terrible et dangereuse. Mais revenons à la réalité, je me mis à froncer les sourcils et je serrais mes poings et pris mon courage a deux mains puis raconta tout à mon oncle.À chaque mot que je prononçai, je vis petit à petit son regard se froncer et son visage se pétrifier, je ne l'avais jamais vu comme ça. Je ne suis pas sûr qu'il comprit tout ce que je dis, mais suffisamment pour qu'il me prenne dans ses bras et se mette a pleurer. Et je me mis aussi a pleurer dans ses bras.
C'est la première fois que Suzanne parle de se qu'elle a vécu, mais se qui l'a le plus choqué ses la réaction de son oncle Joseph. Elle ne s'attendait pas à se qu'il s'effondre sur elle. Mais le temps passe vite et se fut l'heure de rentrer, mon oncle me posa une question : "Tu choisi, soit on rentre chez toi, soit on va voir la sécurité ?". Je ne savait pas comment réagir face à cette question, je ne sais pas si ma réponse influera sur ma relation avec mon oncle mais aussi, avec ma mère.
Elle pris son courage à deux mains et répondu : "Je souhaite allez voir la sécurité", mais ça c'était dans sa tête, car en vrai, ses une personne peureuse alors elle répondis d'une tête triste : " On rentre à la maison".
Tout deux se dirigèrent vers la voiture quand Josephe reçu un SMS : "-Je sais que ma fille et avec toi Josephe, alors ramène là immédiatement, sont lit n'es pas fait correctement".Arriver devant la maison des lumière rouge et bleu éblouissante se fisse voir, mon père sorti menotté par des gendarmes. Et ma mère sorti a son tour couru vers moi et me dit : "Ça y est c'est fini, on va vivre libre".
Je me senti choquée, genre qu'est se qui se passe, il se trouve que mon père à trop bu et ses confier à ma mère sur se qu'il m'a fait et apparemment ses pour cela que notre voisine a déménagé, car, il la harcelée pour lui faire la même chose.
