Jusqu'à la mort

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Mia Grimaldi ne c'est jamais intéressé à ce que faisais sa famille. Les trafics et tous ce qui s'y rattache ne l'intéressait pas. Mais elle allait bientôt découvrir que le nom de Grimaldi pouvais avoir aussi des désavantages.

Elle travaille comme vendeuse dans une boutique de vêtements de luxe. La mode l'ayant toujours intéressé mais n'ayant aucun talent pour le dessin pour créer des vêtements, elle se contente de les vendre.

Ce soir-la, elle fais la fermeture avec sa patronne. Il est 20h et elles finissent de compter la caisse et de nettoyer. Une fois fait Mia attrape son sac et va la voir.

Mia : Est-ce que vous avez encore besoin que je reste ?

Patronne : Non, je te remercie, Mia. Tu peux y aller.

Mia : Bonne soirée à demain.

Patronne : Bonne soirée à toi aussi. Et fais attention en rentrant.

Mia lui fait un clin d'œil et elle sort de la boutique. Sa patronne est comme une deuxième mère pour elle. Toujours à se soucier d'elle. Et comme tous les soirs, elle voit Lorenzo qui attends près de sa voiture. Elle lui sourit en le rejoignant.

Mia : Bonsoir Lorenzo.

Lorenzo : Bonsoir Mia.

Mia : Tu sais que tu n'ais pas obliger de venir me chercher. Je n'habite pas très loin d'ici. Je peux rentrer à pied.

Lorenzo : Ce sont les ordres de ton père tu le sais bien. Et je te rappelles que nous sommes lundi et que tu dînes avec ta famille.

Le fameux dîner ... Il ne finis généralement pas très bien. Il faut dire que dans sa famille ils n'ont pas tous les mêmes priorités. Mia est bien plus simple qu'eux et aspire à une vie tranquille. Mais quand on s'appelle Grimaldi, se n'est pas toujours facile.

Mia : C'est vrai, le repas de famille. Allons-y dans ce cas. Je n'ai pas vraiment le choix.

Elle monte à l'arrière pendant qu'il se met au volant. Ces dîners l'ennuie mais sa mère y tient beaucoup alors elle est obligé d'y aller. Ce sont les seuls moments où ils sont tous réunis. Enfin la plupart du temps quand son père et son frère ne sont pas obligé de partir pour le « travail ». Ils disent travail pour ne pas dire échange entre mafieux.

En arrivant devant le grand portail, Lorenzo fait un signe au garde qui l'ouvre. Il s'arrête devant la grande porte et fait le tour de la voiture. Il ouvre la portière et tends la main à Mia pour l'aider à sortir. Mia le regarde avec un sourire.

Mia : Toujours aussi galant.

Lorenzo : En toute circonstances, tu le sais bien. Bonne soirée.

Mia : Merci. Bonne soirée à toi aussi.

Elle l'embrasse rapidement sur le joue pour le remercier et pousse l'imposante porte d'entrée. En entrant, elle s'étonne encore de la beauté de cette maison. L'entrée majestueuse de la villa donne sur un immense salon. Mia voit alors la gouvernante se diriger elle.

Rosita : Bonsoir mademoiselle. Je vous débarrasse ?

Mia : Merci Rosita. Et je vous ai déjà demandé de m'appeler Mia. Arrêtez avec le mademoiselle.

Rosita : Vous savez que je ne peux me le permettre mademoiselle.

Mia : Tous le monde est arrivé ?

Rosita : Madame votre mère est sûrement dans le salon avec votre sœur. Quand à monsieur votre père il avait encore quelques détails à régler avec votre frère. Ils ont du repartir.

Mia : Merci.

Elle s'éloigne après avoir poser les affaires de Mia dans le grand dressing de l'entrée et Mia elle se dirige vers le salon en soupirant. La soirée allait ressembler à toutes les autres comme elle s'y attendait. En la voyant sa mère se lève et la prend dans ses bras.

Carla : Ma chérie, je suis contente de te voir.

Mia : Bonsoir maman.

Jess : Salut petite sœur. Tu as passer une bonne journée ?

Mia : Sa été assez calme pour un lundi. Et toi ?

Jess : Oh tu sais la routine.

Carla : Je suis désolé mais tu as raté de peu ton père. Il a eu un appel urgent et il est parti avec Paul.

Mia : Donc soirée entre fille, c'est sa ?

Carla : Normalement ils ne devraient pas en avoir pour longtemps.

Mia : Oui comme d'habitude.

Jess : En attendant parle nous de ton travail.

Elle l'emmène vers le canapé attendant qu'elle lui parle.

Mia : Jess tu sais déjà tous. Je n'est pas pas changé de travail. Je bosse toujours dans la même boutique.

Jess : Alors parle-nous de ton ami.

Mia : Quel ami ?

Jess : Oh allez, je sais bien que tu vois un garçon. Tu as bien rencontré quelqu'un non ?

Mia : Pas du tout. Je n'ai qu'un seul ami et il s'appelle Meiko. Et c'est mon chat.

Jess : Tu ne vois personne ? Pas même tes collègues ?

Mia : Non, et sa ne me pose aucun problème. Je n'ai pas vraiment le temps pour sa. Et je te rappelle que ma seule collègue c'est ma patronne.

Jess : Alors c'est décidé, ce week-end je t'emmène en boîte. On te trouvera sûrement quelqu'un.

Mia : Merci pour la proposition mais non.

Carla : Sa pourrait te faire du bien ma chérie.

Mia : Vraiment je ne sais pas. Tout va dépendre de l'heure à laquelle je vais finir. Samedi est un jour où il y a beaucoup plus d'affluence.

Jess : Peux importe, je viens te chercher après ton travail et nous irons danser ensemble.

Mia soupire. Quand sa sœur a une idée derrière la tête, impossible de la faire change d'avis. Mais après tous, elle se dit que sa pourrait être sympa. Sa lui permettrait de décompresser un peu.

Mia : D'accord tu gagnes. Mais il faudra que je repasse chez moi pour me changer.

Jess : Évidemment !

Elle prend sa sœur dans ses bras, ravie. Elles continuent de discuter jusqu'à ce que le téléphone de leur mère se mette à sonner. En la voyant s'éloigner pour répondre Mia se tourne vers sa sœur en fronçant les sourcils pour comprendre.

Jess : Elle fait sa tous le temps. Surtout depuis quelques semaines.

Mia : Sa a l'air important. Je ne l'avais pas vu comme sa depuis longtemps.

Jess hausse les épaules pour lui faire comprendre qu'elle n'en sait pas plus. Mais une chose est sûr, c'est que quelque chose préoccupe leur mère. Et Mia sait que sa n'augure rien de bon.