Prologue

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J'ai un jour lu ceci "nous avons tous une tragédie qui nous guette", J'aimerais revenir sur cette affirmation. Nous sommes tous une tragédie pour quelqu'un, destiné un jour à effleuré le cœur d'un être cher en le brisant.
Mais il y a ceux qui sont leurs propres tragédie, ce qui se détruisent eux-même... Ce qui sont leurs propre bourreau . Et moi-même je le suis, épuisant la lame qui un jour m'achèvera...
N'est-ce pas pathétique ?
Je suis né et j'ai grandi à Strasbourg, une ville qui embaumement l'arôme vieilli des Bâtisses, une architecture avec un certain charme je dois bien l'avouer, les bois traversant la roche de façon symétrique comme si la maison était Vêtu de ses anciennes traditions. N'est-ce pas merveilleux la symétrie ? N'est-ce pas merveilleux les traditions ? Quelque chose de droit !
Quelque chose de parfaitement millimétré !
Que personne ne remet en question !
Tel que les parents perçoivent la vie de leurs enfants !
Placer dans une case de la société sans aucun espoir d'en rechaper !
C'est comme cela que mes parents voyais ma vie et que moi je la dessinais...
Mais l'amour apporte beaucoup de choses à un Homme, Y compris la sagesse nécessaire pour comprendre qui l'on est vraiment.
Le savoir est la plus grande des forces, et l'ignorance la plus puissante forme de chaos !
L'abîme sans font dans lequel se taire Les sauts et si vaste que son ombre se projette sur nos vies à chaque instant ! Nous entraînants peut à peut avec eux...
Même si cela paraît arrogant, 16 courtes années mon permis d'apprendre bien des choses sur ce monde.
Se fondre dans la masse est la meilleure solution pour ne pas être juger, c'est si simple.
Il suffit juste d'arrêter de penser, de ressentir... Croire aveuglément en ce que l'on te dis la foule, un président ou un dieu quelconque !
Pour ma part je préfère croquer la pomme ou en faire une tarte plutôt que Blamé la femme de nous avoir condamné !
D'ouvrir la boîte avec Pandore sans crainte du malheur !
Je n'ai pas peur d'un jugement divin ! J'ai juste peur de la bêtise de mes frères primates !
Mais trêve de deblatheration  , il est temps de vous comptez mon histoire alors commençons, quant dites-vous ?

Et alors ? Au pire on meutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant