Chapitre XVIIII : Rumeurs.

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« C'est vraiment n'importe quoi. Fis-je.

- Eh Black ! Black ! Fit une voix derrière moi. »

Je me retourne et vois Seamus Finnigan.

« Seamus ? Qu'est-ce que tu veux ?

- On est avec toi. Fred ne mérite pas une telle beauté comme toi. Fit-il. »

J'étais très surprise. Pourquoi me disait-il ça ?

« Oh merci Seamus ! Fis-je avant de me tourner. »

Je regarde le groupe.

« Chelou ce gars... Fis-je »

Sans mon étonnement le groupe rigola a part Mattheo. Qui lui regardait Seamus. Avec des yeux de jalousie.

« Mattheo, fis-je, faut que je te parle vient.

- Oula la ! Fit Laora. Ça sent l'amour dans l'air !

- Ta gueule Laora, tu veux ? Fis-je avec un regard qui voulait tout dire. »

Je pris Mattheo par le poignet pour l'accompagner dehors. C'était le seul à le savoir pour Remus. Et je voulais que personne ne le sache. Voilà pourquoi je l'amener en-dehors de la grande salle.

« J'ai parlé à Remus. Il veut qu'on reparte de zéro. Je le vois ce midi après manger. On va apprendre à ce connaître.

- C'est super Aria. Tu apprendra peut-être plus de choses sur ton père ou ta mère.

- Merci Mattheo de garder ça pour toi.

- C'était tout mon ange ? Fit-il »

Ce surnom je ne l'avais pas entendu depuis longtemps. Il m'avait presque manqué.

« Oui c'est tout Riddle. Fis-je le sourire au lèvres. »

On retourna à la table. Tout le monde parlait.

« On a quoi comme cours ? Fit Pansy.

- Potion. Fit Theodore.

- Ok merci Théo ! Fit Pansy d'un air drageur. »

Ce qui me fit réagir. Et je la regarda plutôt sous l'incompréhension. Elle me fit signe qu'elle me raconterai après. Je ne savais pas si Théodore était toujours avec la Poufsouffle.

« Bon moi j'y vais, j'ai pas spécialement envie d'être en retard !

- No stress poulette, c'est Severus, on a le temps, fit Laora, on est ses petits chouchous

- Oui mais c'est pas une raison poulette. Fis-je en rigolant. »

Je me leva et la matinée était passé très vite. On étais déjà au déjeuner. Et je commençais à stresser. A me faire plein de scénarios dans ma tête. Imaginer qu'il a découvert, imaginer qu'on est pas de sujet de conversation. Que faire ?

Je mangea à peine. Et Mattheo l'avait remarqué et me chuchota à l'oreille.

« Ton rendez-vous qui te stresse ?

- Oui... fis-je. Imagine qu'on ne trouve pas de sujet de conversation ?

- Il y en aura forcément. Tu es très intéressant Aria. Alors ne t'en fais pas. »

Ces mots me redonna confiance en moi. Alors je pris mon courage à deux mains. Et je me leva.

« Bon je vous laisse, je dois y aller ! A plus l'équipe. Fis-je au groupe avant de m'évaporer »

Je marcha dans les couloirs d'un pas motivé. Et je toqua à la porte.

« Entrée, fit-il, Aria tu es la, je t'attendais pas te voir de si tôt.

- Bonjour. Fis-je timide.

- Vient avec moi. Fit-il. »

Il m'accompagna dans les couloirs pour enfin arriver dans la cours.

« Alors Aria, que c'est il passé pendant mon absence ?

- Comme vous dire...

- Dit "tu" Aria. Fit-il en me coupant la parole.

- D'accord! Dis-je avec un sourire. Après que Papa a été arrêté je me suis retrouvé seule. Je suis donc allé à l'ancienne maison de Papa. Ou l'elfe de maison m'a accueilli. Il m'a en quelque sorte éduqué. Enfin il m'a juste nourri. Pour le reste j'ai du me débrouiller. Je marque une pause. A 8 ans, j'ai été torturé par un Mangemort. »

Il s'arrêta. Sous le choc.

« Vraiment ? Tu sais qui c'était ?

- Non, il n'a pas retirer son masque.

- Je suis terriblement désolé Aria. Je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse tant prendre à toi.

- Ne t'excuse pas. Enfin si un peu. Mais le fait qu'il m'ai torturé n'est pas de ta faute.

- Continue je veux connaître ta vie.

- J'ai donc découvert l'existence de la famille Black. Et j'ai pu contacter Narcissa. Qui m'a accueilli les bras ouverts. Ainsi que Bellatrix. Qui est maintenant en prison elle aussi.

- Je comprends mieux pourquoi ta réflexion l'autre jour.

- Maintenant j'aimerais te connaître.

- Je n'ai pas grand chose à expliquer. A part que je suis un loup garou. Et c'est pour ça que je n'ai pas pu t'aider.

- Je comprends mieux. Alors ne t'excuse pas pour ça s'il te plaît parrain. Maintenant dit moi en plus sur mes parents.

- Ton père, je pense que tu connais déjà tout.

- Oui bien sûr. Fis-je en rigolant.

- Mais ta mère je ne pense pas.

- Non effectivement. Fis-je »

La vie sans passion - Tome 1 -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant