520-L'histoire de Rain et Sury [réecriture]

Chapitre 12: Viktor

J'ai essayé en vain d'appeler Sury, regrettant de plus en plus les paroles, mais elle n'a répondu a aucun de mes appels. Inquiète, je décide d'aller à son appartement. quelques minutes plus tard, je toque à sa porte. Aucune réponse.

-Sury, répond moi! Je sais que tu es en colère et triste, mais ouvre moi!

Je m'en veux. Je sais que je suis un connard de mettre  énervé pour ca .

-Arrêtez d'hurler comme ca, me dispute une vieille femme aux cheveux frisés er blanc comme de la neige, debout sur le perron, . Sury est plus la.

-Comment ca ?

-Ne parlons pas dans le froid. Entrons dans mon appartement. dit-elle avec un sourire.

Suspicieux mais néanmoins curieux, je l'a suis. Elle me fais assoir sur son canapé en cuir marron et me dis d'attendre. J'observe la décoration: mélange un peu hippy, un peu vieillot. Mais je me sens calme, ma frénésie de tout a l'heure a quittée mon  corps. De la sauge brûle près de la cheminée, et quelques bougies sont allumés , créant une atmosphère douce et accueillante.

-Buvez-vous du thé? me demande-t-elle

-Heu non, mais...

-C'est l'occasion de goûter, alors, me coupe-t-elle en me tendant une  tasse fumante, je m'appelle Elsa et vous?

-Viktor. Ravie de vous rencontrer, Elsa. 

-Moi de même.

Elle s'assoit en face de moi, sur un fauteuil a bascule en bois sombre.

-Comme je vous le disait tout a l'heure, votre amie n'est plus la.

Elsa boit une gorgée tandis que je touille la mixture dorée.

-Elle est partie et ne reviendra pas avant longtemps. Elle est dans les bras d'un autre homme, aux cheveux d'ébène, musclé et dangereux. Votre amie est devenu sa poupée.

J'écarquille les yeux.

-Bien sûr, vous ne devez en aucun cas vous sentir mal ce n'est que de  sa faute. D'avoir accepter cette mission stupide. Vous rendez vous compte, qu'elle ne fais que cela pour de l'argent? murmure Elsa, les yeux perdus dans le vide.

-De sa faute ? Une mission?

Elle reporte l'attention sur moi, hoche la tête , avale une nouvelle gorgée, et dit :

-C'est une espionne, vous ne le savez pas ?

-C'est impossible! Elle travaille dans l'administration, retorque-je, comment savez vous tout cela?

-Je le vois dans vos yeux, chuchote-t-elle.

Je fronce les yeux et pose ma tasse sur la table basse.

-C'est que des connerie, lui répond-je.

-Mes visions n'ont jamais menties.

Je me relève et partit en trombe. Il faut que je l'a retrouve.

-Attendez!  Cet homme est muni d'une arme, faites attention a vous!

A suivre....