Chapitre XXXII : Le Loup Garou

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Ce n'était d'autre que Remus. Lui qui était un loup garou. Le soir s'annonçait puissant et dangereux. Cette nuit, je pouvais voir la pleine lune.

Je n'étais d'autre que paralysé devant cette bête. Qui n'était d'autre que mon parrain. Enfin. Peut-être.

« Pousse toi Aria ! Fit une voix grave derrière moi »

Je n'arrivais pas à reconnaître, le bruit des pas ainsi que les hurlements du loup garou qui se trouvait en face de moi. Mais je me poussais.

C'était Mattheo, il était là. En face de moi. Il était venu pour me protéger. Dans l'élan de peur je pris sa main. Je pouvais sentir son odeur.

Il avait fumer. Beaucoup. L'odeur était forte. Très forte. Il m'attrape cette main et se mit à courir. Pour échapper au loup garou.

On avait peur tout les deux. Mais on arriva dans l'école, on se trouvait en sécurité. Je lui fit un câlin en lui chuchotant :

« Merci beaucoup Mattheo.. fis-je »

Il me caressa la tête et me prit dans ses bras pour me porter jusqu'à son dortoir. Je pouvais sentir son odeur de cigarette, de sauge et l'odeur de la pluie. Une fois arrivé dans son dortoir. Il me posa sur son lit.

« Alors raconte moi. Fit-il en prenant une cigarette.

- Avant de te raconter enlève moi ça. Fis-je en Le regardant.

- Pourquoi tu es anti-fumeur maintenant ?

- Non, vu ton odeur tu as fumé toute la nuit. N'est-ce pas ?

- Bien vu. Mais une de plus ou une de moins ne me fera pas de mal. Fit-il en colère.

- Tout le contraire. Fis-je en colère et en me levant pour lui enlever sa cigarette de sa bouche.

- Mais laisse moi tranquille. Je fais ce que je veux. Fit-il en me criant dessus. A ce que je sache tu n'es pas ma mère.

- Bah reprends ta cigarette de merde. Fis-je en tendant ma main avec sa cigarette.

- Merci. Fit-il en me la prenant brutalement. »

Il me regarda. Mes larmes n'avait pas séché. Je voyais flou à cause des larmes.

« Excuse-moi Aria, je voulais pas te disputer. Fit-il plus calme.

- Je comprends ta réaction, je lui désolée. Je voulais pas moi non plus. Fis-je en craquant. »

Il me prit dans ses bras en posant une de ses main sur ma tête.

« Est-ce que je peux dormir ici ce soir ?

- Bien sur mon ange. Fit-il en souriant. »

Je me sépare de son câlin pour l'embrasser langoureusement.

La vie sans passion - Tome 1 -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant