Fabricant de cauchemar

Chapitre 32: Une etoile brille et un papillon s'envolent

Une infirmière ce débattait contre les protestations de Rigel il se trouvait debout sur le lit d'hôpital à essayer d'éloigner la pauvre jeune femme qui essayer de faire son travail.
    - Donner moi ces bandages je vais lui mettre il peut être coléreux comme un enfant.
    - C'est ce que j'ai cru voir.
L'infirmière c'était enfui pour pouvoir enfin poursuivre son travail.
    - Hé ! Je ne suis pas un enfant.
    - Alors comporte toi comme un adulte.
Il s'assit doucement sur le bord de son lit pendant que je soigner ces plaies.
    - Il faut que tu patiente Rigel.
    - Mais c'est trop long !
    - Il faut être patient.
    - J'ai déjà étais patient, pendant dix ans et deux mois.
Je savais qu'il parler de lorsque nous étions enfants et ces deux mois étaient visé par son comas.
Nous avions passé deux mois sans nous parler pendant deux mois.
Aucun baiser, aucune conversation réel.

Une semaine après nous avions eu nos diplômes, je n'ai pas pus voir Rigel car il avait un entretien avec des patrons, alors pour ce faire pardonner il m'avait donner son numéro, même si il avait dix-huit ans il avait réussi à trouver une famille, et j'étais tellement heureuse pour lui.

Je me réveillais les doux rayons du soleil effleurent ma peau je ne perdis pas de temps à aller me préparer, je me mis sur mon lit et sortie un classeur sur le quel j'apprenais le nom des fleurs, j'avais fêté mes vingt-et-un ans il y a une semaine maintenant.
J'essayais de ne pas trop y penser car Rigel ne c'était pas montré pas même un message de ça part m'avait était destiné, peut être était il trop occupé avec le travail.
Il avait passer deux ans à la fac et depuis plus occune nouvelle de temps en temps quand il avait le temps il répondait à mes messages mais sans plus.
    - Amaryllis Lisa est là et Lion aussi.
Sans perdre une seconde je dévala les escaliers deux par deux manquant de bousculé Paul.
     - Désolé Paul.
Paul et moi avions presque une relation amicale maintenant et cela me rendais heureuse.
Lisa ce trouver dans les bras de Lion, Lion à demander Lisa en mariage après le lycée il n'avait pas perdu de temps et heureusement sinon je sais qu'il ce serait dégonflé.
Lorsque j'arrive en bas mon portable vibra je regarda l'écran et perçu un message, de Rigel.
Il m'avait donner rendez-vous près d'un immeuble pas très loins de chez Lucie, je pris Nessi avec moi elle était devenue adulte et nous avait fait une magnifique portée de chiots .
Je pris ma voiture sans attendre, même si son message ne disait rien de bon, j'avais envie de le voir, je voulais le voir, son visage sombre ces pommettes pâles et ces yeux, ces yeux d'un bleue a coupé le souffle de n'importe qui.
Arriver devant l'entrée de l'immeuble il n'y avait rien, personne, j'étais seule, là ville était calme.
Quelques passants traversaient la rue pour ce rendre à la plage, alors je m'assieds sur les marches admirent le couché de soleil et ces nuances rouge orange et jaune, il le rappeller cette journée la, cet accident, le plus beau des coucher de soleil que j'avais vu.
Je sentis une présence, comme si quelqu'un m'observait de là où j'étais, c'est lorsque Nessi tira sur la lesse que je tourna la tête.
Il était là, en chaire et en os, avec un visage d'homme et une barbe de un jour mais c'était vraiment lui.
Je ne pensais pas que sa aurait était possible mais il était encore plus beau que lorsque nous étions adolescents.
    - Rigel...
Il s'approcha doucement comme par crainte de m'éloigner, comme un homme qui essaye d'admirer un papillon de près.
Il ne parlais pas, il tendit simplement la main pour essuyer mes larmes avant de me prendre dans ces bras.
    - Je suis désolé de ne pas avoir pus venir à ton vingt-et-un eme anniversaire.
    - Ce n'est rien tu avais tes raisons.
    - Non Amaryllis c'est impardonnable.
Je redressa la tête il tenais une petite boîte entre ces mains.
    - Ce jour là je voulais t'offrir ça. Ce n'est pas grand chose mais-
    - C'est tellement gentil Rigel.
Il me donna la boîte un sourire ronger par la culpabilité orné son visage.
Lorsque j'ouvris la boîte je ne pus retenir un sanglot, à l'intérieur de cette boîte ce trouver un pendentif, une rose noir orné d'épines décoré la chaîne.
Ce n'était pas un simple pendentif a mes yeux mais toute notre histoire, la rose dans le casier, le fait que nous croyons ne jamais pouvoir être ensemble, la distance qui nous séparer a cause de son travail, tout ces tromas causé par l'orphelinat, tout ce sang et cette sueur que nous avions dû faire pour enfin nous retrouver après si longtemps.
    - Il est magnifique...Tu ne m'avais pas envoyé le moindre message...
    - J'étais occupé à cause de toute les organisations je-
Il laissa doucement ça main tomber ainsi que son regard.
    - Je t'aime Amaryllis... et depuis que nous sommes enfants.
Il redressa la tête avant d'écraser les miennes contres les siennes.
    - Je voulais seulement savoir si tu accepterais vivre avec moi. Ici dans cet immeuble, dans mon appartement.
    - Je-
    - Il n'est pas très loin de chez Lucie et Paul et et tu peux même y aller à pied et pareil pour la plage elle ne ce trouve qu'à quelques mettres.
    - D'accord.
    - D'accord ?
    - Je veux emménager avec toi Rigel, tu es l'homme de ma vie, et malgré notre enfance je sais que ensemble plus rien ne nous faira du mal, je veux vivre et mourir à tes côtés.