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Salam aleykoum




























"Le pire ce n'est pas de tomber mais de rester au sol "
























Je suis étonnée de les voir contents, dans une bonne ambiance. Oum kalsoum, Assia et Nafi parlaient comme des amies d'enfance. Ma mère et mon homonyme aussi. Mon père était avec Bachir et un aitre homme que je ne connais pas.

Leur bonne humeur se dissout en me voyant. Eh dieu, aujourd'hui c'est aujourd'hui !

Saly sort en ce moment, avec Asma Rassoul et Jamil.

Jamil a couru vers moi.

Lui: Masma tu m'as manqué.

Je l'ai pris dans mes bras, un peu nerveuse.

Je salue tout le monde.

Moi: J'ai raté quelque chose on dirait ( en souriant faussement )

Je prends mon homonyme dans mes bras. Elle est super contente de me voir. Ainsi que Oum kalsoum. Ma mère me fait la tête pour je ne sais quelle raison.

Homonyme: Asma, on est là depuis ce matin. On t'a attendu mais tu n'es pas rentrée.

Nafi: On t'a appelé je ne sais combien de fois.

Moi: Je n'ai reçu aucun appel ( en regardant mon téléphone )

Je me rends compte que j'avais oublié le mode avion.

Moi: Ah, mon téléphone était en mode avion. Sinon qu'est ce que vous faites ici ? Je croyais que...

Ma mère : Ta tante m'a tout expliqué et l'histoire est réglée. On s'est réconciliée Al Hamdoulilah. Et je sais aussi que mademoiselle nous a menti sur la nuit de son accident.

Moi: Hihi, qui est mademoiselle ?

Elle: tu le sauras bientôt.

J'avale ma salive de travers. Quand ma mère est malade, elle est super gentille mais quand elle est guerit..

Je me force de sourire.

Oul kalsoum: En passant voici Assane, tu ne l'avais pas rencontré la dernière fois.

Moi: Ah oui oui. Assane, le mari de  Zeynab.

Elle: c'est pas zeynab mais Alima.

Moi: Ah oui oui. Alima. Assane, toi tu ressembles vraiment à ta mère.

Il rit, et enfaite il est très cool. Il est plus sympathique que son grand frère là.

Bachir: Maman, on doit y aller ( en regardant sa montre ) je dois passer à l'hôpital pour voir Khadija.

Moi: Elle a quoi ? Elle est aussi médecin ? Décidément !!

Là, tout le monde m'a agressé du regard. J'ai dit quoi de mal encore ?

Moi: J'ai fait quoi encore ? Je demande juste.

Bachir ne fait pas attention et fait les au revoir avant de rentrer dans la voiture. Les autres s'affairent aux adieux avant de le suivre. Il y a deux voitures.

Moi: quelqu'un peut m'expliquer pourquoi à chaque fois que je parle de la femme de Bachir, on me regarde comme si j'avais commis un viol ?

Maman: En parlant de viol, suis-moi petite insolente. Donc toi, tu mens maintenant.

Elle m'a tiré par l'oreille.

Moi: maman, ma-maman arrête, ihhh ça fait maaaaal.

Elle me traine dans la maison en gardant mon oreille.

Mon imam d'amour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant