<< Amour impossible >>

- Les rencontres-

- Mickael Benley reviens ici de suite nom de dieu !
Les feuillages se frottait entres elles, le vent glissait entre mes cheveux blond du désert.
La lumière du petit matin reflétait sur le  lac..
Comme le dit plusieurs familles issu de riche fond, les femmes se doivent de trouver un mari et vice-versa.
Je ne suis, comme ces personnes, je suis comme une feuille s'étant envolée plus loin, là où elle se ferait cueillir et aurait une nouvelle vie.
Je n'ai jamais eu de sentiments envers une demoiselle n'y d'attirance sexuelle.
Est ce étrange ? Je ne pense point que cela a de l'importance..

- Ah ! Mickael tu es donc là !
Une de mes sœurs cadettes arrivait vers moi, ses cheveux court  volant dans le vent.
- Bonjour Mary
Dis-je d'un ton calme matinal.
Elle me répondu en croisant les bras sur sa poitrine.
- Comme le dit mes lectures tu serais un fuyeur de devoir, est ce dont vrai ?
- Et comme moi je le dis, je profite de la vie comme elle vient.
Mary soupirait alors en me donnant un coup amical sur la tête.
- Haha, pourquoi me cherchais tu ?
-Regarde toi Mickael, tu es habillé comme un..
-Ne t'inflige pas ce mot petite sœur.
Je me relevais alors du sol qui me servait de siège et repris la parole:
- Ah... Père m'appelle est ce ça ?
- Oui et il m'a demandée de te faire savoir que nous allons à un bal de promenade.
- Un bal ? Pourquoi faire ?
- Mère à décidée que nous devons y aller pour tenter de charmer un homme se nommant Monat, il vient apparemment de Londres et en me renseignant j'ai conclu que Monat vient d'un riche famille.
- Je n'ai donc pas besoin d'y aller !
- Ah... Il a deux sœurs et père veut que tu bouge un peu car le temps passe et tu n'as toujours pas de femme.
Je soupirais légèrement et me déplaçais pour rejoindre Mary.
- Allons y.
Elle s'accrochait à mon bras et nous nous déplaçâmes vers notre manoir de campagne.

- Vous voilà enfin vous deux ! Mickael va donc te préparer par pitié !
Notre mère était vêtu d'un robe de sortie, à peine arriver que je me faufilais entre les meubles de la maison pour rejoindre le dressing de trouvant dans ma chambre.

J'etais vêtu  d'une chemise blanche avec par dessus un corset pour hommes d'un couleur beige blanchâtre, mon bas n'était qu'un pantalon blanc à taille haute et mes chaussettes d'un couleur beige clair se rapprochant de la couleur de mon corset.
Ma tenue m'était mes cheveux et mes yeux en valeurs.

- Tu es prêt mon fils ? Nous partons, rejoins nous à la place du vent Neijardi.
- D'accord mère, je me dépêche.

Quelques minutes plus tards je me mit en route en Charette pour aller au bal de pleine air.
Les chants des oiseaux se prospéraient dans le ciel, la route n'était qu'agréable.

Arriver  sur place je descendu de la Charette et m'avançais  vers cette musique si entraînante.
Je n'aime pas me faire remarquer donc je me mis sur un côté, là où personne ne pourrait me voir.
Presque personne ne m'aime pour mes qualités ou mon caractère, ces personnes ne m'aime que pour ma beauté.
Est ce normal ? Je ne sais pas... Je suis doté d'un visage fin, un teint clair mais mes tâches de rousseur gâche peut être mon visage ... Je suis aussi malheureusement plus petit que la plupart des hommes ici.

Je tournais un peu le regard et croisait celui d'un homme d'un vingtaine d'années, le regard glacial et une posture calme et sérieuse il ne ressemblait pas aux hommes d'ici.
Il détournait le regard et observait les lieux pendant que moi je l'observait lui.
Des femmes dont certaines mes sœurs et d'autres entourées alors avec curiosité et excitement.

- Michael Benley, Qu'elle plaisir de vous voir mon garçon !
Une dame se nommant Marguerite me faisait une révérence et de relevait ensuite.
- Pas besoin de cela Marguerite, comment allez-vous, vous et vos filles ?
- Merci et je vais comme une mère qui attends que ses filles se marient...
Je pris une gorgée du vin sur j'avais en main et répondu.
- Haha, j'ai entendu dire que deux hommes ou un venait de Londres.
- Oh, qu'elle surprise mais ils n'ont pas la même allure que vous je suppose !
Je soupirais et croisait les bras tout en tenant mon verre en main.
- Marguerite, venez vous me demandez quelques choses ou juste prendre de mes nouvelles ?
- Qu'elle œil attentif hoho ! Je viens vous demandez si vous pourriez tenir compagnie à mes filles durant ce bal.
- Je vais voir, je dois d'abord aller parler à une connaissance, où sont t'elles ?
- Quel charmant bonhomme, elles sont sur le petit repose fesse à côté de la belle fontaine.
- D'accord, sur ce je m'excuse je dois vous laissez, passez un bon bal.
- Oui hoho, file donc !
Je me détachais alors du mur et m'avançais ver la foule, cherchant le regards d'une de mes sœurs.

|| Hey!! Merci d'avoir lu ce premier chapitre! J'espère que cela va vous plaire !! <3!  //