28 Septembre 1471 Aux portes de Buda, Hongrie
IL était le cavalier le plus redouté de cette campagne Ivan le Cosaque. Les combats étaient incessant depuis deux mois, mais les réussites éclatantes de nombreuse villes prises les Hongrois étaient sur le point de capituler tandis qu'à l'Est la république des deux nations et l'Ordre Teutonique reculés un peu plus face à ses compatriotes chaque jour.
Buda était la dernière ville qui résistait encore aux forces Byzantino-Mosco-Italienne, quand Buda sera prise la route de la péninsule Italienne et du Vatican serait grande ouverte. Mais avant il fallait prendre cette ville. Les combats duraient depuis trois semaines, jusqu'à présent les assauts n'avaient abouti à rien même avec l'aide de l'artillerie Byzantine.
Mais aujourd'hui les choses étaient différentes, les canons Ottomans saisit par les Byzantin venaient d'arriver. Ces canons étaient capables de faire volé en éclat le plus solide des remparts. Il fallait juste l'armé et la partie était fini pour les Hongrois.
Trois heures plus tars les canons avaient fait des ravages les murs ébranlés ne tenaient plus que par miracle. Les soldats d'Ivan allaient enfin pouvoir charger. Les premiers cavaliers chargeaient en direction de la ville dans les pures traditions mongoles. Seul les hordes mongols savait comment transformer leur chevaux en armes de guerres redoutable. Très vite les premières vagues rentraient dans les quartiers de la ville en un quart-d' heure alors qu'ils avaient mis plus d'un mois à seulement construire leur campement.
Les quelques fous qui souhaitaient défiés Ivan le Cosaque ne survivait que quelque instant après cette tentative désastreuse. A quinze heures les combats étaient fini la garnison c'était rendu la porte de la péninsule Italienne était ouverte. Le découpage de la Hongrie commença l'Est à la Moscovie, le Sud aux Byzantin, la côte de Dalmatie aux Vénitiens, un morceau au Saint-Empire-Romain-Germanique pour qu'il reste tranquille dans cette guerre et au centre un royaume de Hongrie fantoche pour faire un tampon.
Comme le veule les règles de la guerre après la prise de la capitale ennemie le pillage pouvait commencer. Ivan devait supporter ce spectacle de ses hommes tuant et pillant des civils mais s'il refusait de le faire les soldats le feraient sans son accord et se serait encore pire et il y perdrait la vie. Son tsar du même nom Ivan III approuvait ces traditions héritées des hordes mongoles. Il passait se moment dans sa tante préparent les nouvelles invasions avec cette incapable de général Byzantin. Buda était tombée mais la guerre sainte n'était pas fini pour autant.
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Vivat Basileus
Science FictionLongue vie au Basileus le dirigeant de l'empire d'orient. Je vous invite dans cette histoire à découvrir un monde où l'empire Byzantin ne c'est pas effondré et où celui-ci dirigerait notre monde. Nous suivrons l'évolution de l'histoire des attaques...