• Flash Back • Chapitre 1

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Tristan ~~

2 ans plus tôt..

Dans ma maison en plein milieu de Staten Island a New York, on mangeais un barbeuc sur la terrasse. Ma sœur me demandait de jouer au foot avec elle, ma mère était assise dans une chaise longue et fumé sa clope pendant que mon père s'occuper du repas.

J'entendis une explosion qui m'aveugla, je me jeta sur ma sœur et lui boucha les oreilles par réflexe.
J'entendis des coups de feu. Je ferma les yeux de peur. Tous s'arrêta brusquement, je rouvris les yeux. Je n'aurai pas du.

Ma mère était toujours au même endroit, le torse en sang, le visage livide, les yeux grands ouvert. Mon père avait disparu.

Je couru pour appeler la police et une ambulance. Ma sœur pleurais encore et encore..
Je chercha mon père dans toute la maison. Et en passant dans le couloir, je me rendis compte que la porte du milieu, la porte que je n'ai jamais vue ouverte du haut de mes 14 ans était ouverte ! Je rentra dedans.

Je tomba nez à nez avec un coffre fort immense, avec une ouverture a empreinte digitale comme dans les films. Et juste a côtés par terre une marre de sang qui allais jusqu'à l'entrée du coffre. Je m'approcha de la serrure. Je posa ma main sur l scanner, puis je vois sur le petit écran que je dois taper un code a 3 essai. J'essaie la date de naissance de mon père. ERREUR. Celle de ma petite sœur. ERREUR. Je cogne dedans de colère. 3ème Erreurs ! Une alarme se mets a sonner. Mais elle s'arrête au bout de 20 secondes. Je réessaye. Je tape des numéro au hasard. Toujours rien. Je perds patience ! Alors je prend un tourne-vis et je démonte la sécurité je coupe un fils au pif. Rien. Je m'énerve pour de bon, je l'arrache, passe ma main a l'intérieur et fait rouler la serrure de l'intérieur.

Clic

J'ouvre le coffre. Et je trouve a l'intérieur mon père en sang a l'agonie. Je m'approche de lui.

- Pa' qu'es ce qui se passe ? Meurt pas ! Nous abandonne pas ! L'ambulance et la police arrive !

- fils approche. Tu va devoir sortir d'ici, a côté de la pote il y a un petit bouton noir, appuis dessus un mur coulissera pour cacher la porte. Ce coffre et votre héritage a toi et a Ta sœur. Jamais personne ne dois le trouver. C'est claire ? Personne !

Ah ces mots je me retourna et regarda l'intérieur du coffre, des lingots d'or de partout des dizaines, voir des centaines de lingots d'or ! Et a côté des cartons, une pille de dossier et une petite étagère.

- Et fais attention au personne avec un tatouage en forme de crâne sur le bras. Ils veulent te tué.

Je retrouve mes esprits et me retourna vers mon père.

- Pourquoi ? Tu leurs a fais quoi ?

- je les ai volé et j'ai tué leurs dirigeant pour le compte de la CIA, mais les services secret ne savent pas pour se coffre.. Fils je vais mourir d'ici 2 a 3 minutes, j'ai pris une balle dans le poumons qui va sa remplir de sang. Alors écoute moi. Tu va appeler le 200-11 pas un chiffre de plus. Et tu vas dire a la personne qui décroche " code 17 enfants en danger. "
Maintenant sort d'ici, prend ta sœur et cours. Je t'aime fils.

Les larmes me monte au yeux en sentant le dernier souffle de l'homme qui ma donner la vie dans mon cou.

Je me leve. M'approche de l'or et effleures les lingots. J'ouvre un carton et découvres des armes. Et en m'approchant de la pille de papier je vois écrit en grosse lettre noir : SECRETS D'ÉTAT

Je frissonne. J'ouvre ensuite la petite étagère et je vois un gun avec une tête de mort graver que la cross, un chargeur de plus et de l'argent. Je récupère tous sa. Je sort de la pièce et j'appuie sur le petit bouton noir. Je rejoins ma sœur qui pleurent dans les bras de notre mère.
J'appelle le numéro de téléphone de mon père et une femme décrocha.

- Oui j'écoute ?

- Code 17 enfants en danger

- Ne bouger pas on arrive.

Je me retourna vers ma sœur. Je lui tire le bras. Quand j'entend une porte être défoncé. Je la tire pour aller nous cacher dans le cabanon de jardin.

Je savais tirer a l'arme a feu parfaitement comme mon père me la appris, je sais me battre et je sais que je suis riche. Et pas qu'en argent.

Deux hommes en cagoules arrivent dans le jardin.

- Je croyais qu'on devait pas tué les goss !

- Et ou est passé le traître ? On voit que le cadavre de sa femme !

- le lâche. Si je l'attrape je l'égorge.

Ah ses mots la colère m'envahit ! Je n'avais qu'une seule envie et de sortir et de les tues ! Mais l'instinct de survie m'en empêcha.
Je chargea le gun de mon père et me gâcha derrière la porte avec ma petite sœur qui était très silencieuse et elle aussi élevé par mes parents.. Elle avait évaluer le danger et avais repris c'est esprit

Ah son âge c'est juste incroyable.

L'un des 2 hommes ouvrit la porte du cabanon doucement et heureusement pas entièrement. Il sortir devant et parla a quelqu'un ou dans quelque chose.

- Je les tiens, j'en fais quoi de c'est goss moi ? Je les tue ?

Et la réponse fut immédiate, je sorti de ma cachette et tira 2 fois sur l'homme en cagoule, une balle dans son gilet en kevlar dans le dos et une dans le cou, il tomba au sol. Je lui tira dans la tête de rage !

- Pour ma mère sa! connard.

Un autre homme surgi, je réagis instantanément, et dira 3 balles. Il tomba mort. On entendit les sirènes de police retentir

Et je pris se qu'y était le talky-walky.

- Andrew t'es la ?? Une femme parlais a travers l'appareil.
Je cracha mes mots plein de haine.

- Je vais t'attraper et te tué !

La police entra dans le jardin. Je rangea l'arme dans mon dos et a mon grand étonnement les policiers ne prêtèrent pas attention a nous. Il ramassais les corps mais avant il regardais si il avait le tatouage de crâne du gang et oui il en avant un ! Je vis alors une femme habiller avec un blazer chique.

- Bonjours mes loulous, vous allez me suivre s'il vous plait.

Elle nous emmena dans sa voiture et nous conduisit jusqu'à Miami, la route je fut pas longue dans sa limousine avec bar et limite un lit.

Arrivée a Miami nous arrivons devant un genre d'école ou d'internat..

- Bienvenue aux GIOCA ou alors, votre nouveaux chez vous. Dit la jeune femme.

- C'est quoi se bâtiment ?

- L'endroit ou vous allez vivier jusqu'à vos 16 ans.

Affaire d'étatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant