Dans l'ombre d'un vieux manoir, où le silence se mêle aux secrets, Ciel Phantomhive mène une enquête qui transcende les murs et les âmes. Tourmentée par des lettres anonymes et observée par un regard invisible, Meliana, autrefois lumineuse et assuré...
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Pov meliana :
15 jours c'était écoulée depuis l'envoi de la lettre de mon père à la reine , tous les jours je recevais des lettres de cette inconnus. Des centaines de menace, je ne pouvais m'empêcher de me sentir oppressée, comme si ont observé mes faits et gestes en continu, nuit et jour .
Je ne vais plus à l'école depuis Ces 15 jours , je n'arrive pas à sortir de ma chambre, une dame de compagnie essaie de m'en faire sortir mais impossible je n'y arrive pas .
J'ai un sentiment d'être en danger constamment et que le seul moyen que j'ai pour être en sécurité c'est me cacher dans ma chambre, rideau fermer sans aucune bougie pour faire de la lumière et mon corps enrouler de la tête au pieds dans ma couette.
Je pleure la nuit et dors le jour , mon père avait demandé à ce que mon courrier ne me soit plus donné, malheureusement , elle atterrissent quand même sous ma porte . Au fur et à mesure il n'y avait même plus d'enveloppe, juste les feuilles de papier tâcher d'encre reflétant la psychopathie de cette homme.
Soudain j'entendis toqué à ma porte , je ne pu me retenir un sureau.
??? : mademoiselle c'est moi , je viens vous apporter une lettre très importante, c'est une demande exceptionnelle de votre père , cette lettre vous ai adresser au nom de la reine !
Je m'assis sur mon lit , un espoir grandissant et l'autorise à rentrer, elle me l'apporte sur un plateau d'argent, je l'ouvre et la lie .
Quelques minutes plus tard je me mis à hurler de joie. Je me sentais libérée de mes chaînes .
La reine m'invitait à faire un point sûr la situation, me demandant de réunir tous se que je pouvais pour qu'elle puissent m'aider au mieux. Je devais me rendre au palais pour 16h
Je me leva de mon lit , mes pieds tremblant à cause de mon inactivitée
Alors que j'étais sûre le point de tomber ma dame de compagnie me pris par les épaules, glissa son bras droit contre le mien pour m'aider à me redresser
Moi : il faut que je voit mon père. Je dois lui annoncer la nouvelle
??? : oui mademoiselle !
Elle m'aida à marcher pendant quelque instant avant que je puisse tenir debout seule. Une fois fait elle me lâcha et partie me préparer un bain
Pendant ce temps-là je me dirigea en direction du bureau de mon père
J'étais derrière la porte , la lettre dans ma mains , l'autre était sûr la poignet de porte , sûr le point de l'enclancher
Quand soudain j'entendis ma mère est mon père ce disputé, je ne les avais jamais entendu ou même vu ce disputé, je décida de coller mon oreille à la porte pour écouter leurs conversations
Père : arrête d'insister !
Mère : et pourquoi ? Ta honte ? Ta honte de ne pas m'aimer et d'aimer quelq'un d'autre ?
Père : pourquoi j'aurai honte ? J'ai jamais voulu me marier avec toi , je ne t'ai jamais supporter ou même aimé, tu le sais .
Mère : dit moi au moins qui est cette personne . J'ai vu les lettres dans ton bureau, des lettres qui ne font que des éloges, des souvenirs écrits sur plusieurs pages, pourtant tu ne les as jamais envoyés, tu ne dis jamais son nom et ne la genre jamais.
Père : ta raison . Je suis amoureux d'une autre personne, mais c'est depuis longtemps. Et que je sache tu n'as pas à te mêler de ma vie , tu n'es ma femme que sûr le papier .
Alors que j'étais en train d'éloigner mon oreille de la porte , totalement sous le choc , j'ouvris la porte de manière accidentelle
Mes parents se sont tu , se sont mis à me fixer, les yeux écarquillés.
Père : tu as tous entendu ?
Moi : ouais ..je me mis à les fixés, je vis mon père paniqué un instant pendant que ma mère me sourit, s'approche de moi et se baisse légèrement pour être à ma hauteur
Mère : ont t'expliquera tous plus tard mais laisse moi finir de discuter avec-
Moi : je m'en doutais déjà qu'il était pas amoureux de toi , et je crois que je sais même qui est la personne qu'il aime . Mais par contre se que je ne savais pas c'est que vous puissiez nous mentir à moi et à charle sûr votre mariage. Vous vous rendez compte de ce que vous nous avez fait ? Nous mentir en faisant croire à un mariage d'amour pour nous faire espérer vivre la même chose . Maman , si ce mariage n'est pas un mariage d'amour tu n'as pas à essayer de faire culpabiliser papa d'avoir des sentiments pour quelq'un d'autre. Se sont ces sentiments et non les tiens .
Ma mère écarquilla les yeux , se redressa et recula .
Mère : très bien . Je suppose que je m'en vais . Mais ne t'inquiètes pas Édouard. Ont aura tous de même une discussion plus tard . Et toi meliana .Elle le fixe un regard noir incrusté dans ces iris . Je suis désolée tu es eu à entendre cette conversation. Elle remarqua la lettre dans ma main , mais ne dis rien et fini par partir.
Mon père s'assoit sûr une des chaises disposer dans le bureau et soupire , les coude contre ces genoux et ces mains contre son visage .
Père : pourquoi j'ai eu une enfant aussi intelligente..
Moi : j'ai hérité du meilleur. Je me rapproche de lui souriant et mis une mains dans ces cheuveux c'est malin de ne pas avoir genrer les lettres pour cacher le faite que tu aimes un homme .
Mon père me regarda, enlevant ces mains de sont visages , me fixant les yeux écarquillés
Père : donc c'était pas pour la mettre dans l'embarras, tu es vraiment au courant.
Moi : c'est pas compliqué vu comment tu le regardes et à quelle point tu es heureux quand il est là, tous le long du repas tu n'as fait que de l'observer avec des yeux remplis d'amour. Tu es amoureux de Sebastian n'est-ce pas ?
