Alors qu'il refoulait enfin la douleur et pouvait desserrer les dents face à l'intrusion, un liquide glacé s'écoula en lui et commença à le remplir, lui créant des crampes abdominales. De nouveau, il bougea pour se soustraire à la torture en cour. Mais rien, il dut laisser l'eau coulée et le remplir. Un gout métallique envahit sa bouche, se mêla à sa salive et coula de sa bouche. Il ne supportait plus la douleur dans son corps, dans son ventre. Trouvant que le chien remuait trop, elle tira sur la chaine du collier, le privant temporairement d'oxygène. L'animal arrêta au fur et à mesure de se débattre, et quand la chaine fut lâchée, il se laissa couler dans le boxe en métal en haletant. Perséphone retira le tuyau de l'anus de Maximilien et mit à la place un cylindre, l'obstruant presque hermétiquement.
- Tu comprends la leçon, le chien ? Tu te comportes mal, tu es puni, et c'est douloureux. Et ce que tu subi est encore assez clément, mais continue sur cette voie, et tu regrettera amèrement ce lavement à l'eau froide, claqua durement la voix de la générale à son oreille.
Le chien gémit en tentant d'expulser le liquide de son corps.
- Je vais finir par croire que tu apprécies le lavement, tu fais durer le plaisir avant de me répondre.
- Ouaf, grogna il pour en finir au plus vite.
-On ne grogne pas contre ses maitres !
Dans un élan de sadisme, elle claqua les fesses du chien à trois reprises tandis qu'il manquait de s'évanouir. En lançant un chronomètre sur son téléphone, elle attrapa la trousse et en sortit un nouveau produit qu'elle étala sur le corps du chien. Une couche de peau, de produit, et de saleté tomba avec l'eau dans le fond du bac. Le corps du chien paraissait bien plus propre et sain, malgré sa pâleur et sa maigreur maladive. La femme le laissa en plan là et rangea son matériel de toilettage puis fit le tour de la bâtisse avant que son alarme ne retentisse.
- Aller le chien, détends toi, ça sera plus agréable, dit la blonde en prenant le bouchon.
Maximilien se tendit face au ravivement de la douleur de son anus en plus de celle de son ventre puis essaya de suivre le conseil. Le bouchon fut enlevé et un liquide brunâtre plus ou moins épais sortit du corps du chien. D'une mais sur le ventre, elle lui fit arrondir son dos puis le cambrer.
- Adrien avait raison, il a des verres, remarqua Perséphone en voyant les fils blancs se tortiller dans le bac. Ne bouge pas le chien, reste détendu.
Elle remit l'embout dans le corps du chien, mit de l'eau, l'enleva jusqu'à ce que la couleur et la contenance de l'eau soit satisfaisante. Elle rinça tous le bac puis le chien et le détacha. Il s'effondra au sol, de douleur et d'épuisement. La rampe descendu, il descendit et resta planté au milieu de la carré alors qu'une serviette le recouvrait. Pourquoi l'avait elle lavé dehors, en plein froid ?
- Tu peux rentrer à la maison et mettre la table, garde la serviette sur toi, autorisa Camille Apolline en entrant dans le bâtiment qu'il ne connaissait pas, tandis que son téléphone annonçait midi dix.
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Le destin de perdants
ParanormaalUne grande guerre a séparé les deux grands peuples de la Terre: les Hommes et les Ferioves. Les deux prônaient deux idéologies inverses. Les perdants conaissent alors un destin terrible. Pour un public avertit