L'expédition

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2 Aout 1486                                                                                                                                                                                Port de chasápi

J'avais devant moi trois superbe navires byzantin modifié pour parcourir de longue distance, mon navire principal le pentécontore accompagné du paidí et du korítsi. Les volontaires n'affluèrent pas, heureusement les prisons de cette ville était pleine ce qui fit que l'équipage fut vite complet. Nous dûmes attendre une semaine pour que les scientifiques du Basileus arrivent enfin. Ceux-ci débattaient pour savoir si oui ou non il y avait des îles ou un continent ils étaient trois et chacun avait un point de vue différent;

"Je respecte vos thèses mais comme le montre les calculs d'Ératosthène la Terre est une sphère et fait 5 000 stades de diamètre (~39 500 km). Nous pouvons conclure que les continents émergés représentent la moitié de la Terre et l'autre moitié est constituée d'un océan géant qui part du Portugal et fini en Corée, dit un certain Andonis.

-Je comprends ta logique, continua Georgios, mais imaginons qu'Ératosthène soit trompé où bien que la masse des continents est inférieures à celle énoncé il est plus que probable qu'il y est un autre continent entre le Portugal et la Corée avec d'autres civilisations...

-C'est ridicule, le coupa Manolis, il ne peut pas n'y avoir rien qu'un océan mais il n'y a surement pas un continent vous imaginez ? Il faudrait des ressources incroyable à notre planète pour qu'un continent soit né. Il y a surement une myriade d'île..."

Et ils continuèrent à débattre ainsi de suite sortant leurs argument en les démontants tout de suite après, les marins et moi les regardions pensant que s'ils continuaient de débattre ainsi le voyage serait long, très long.

7 Septembre 1486  

Les marins ne supportaient plus la mer, ils voulaient rentré et revoir leur pays, l'immense océan sur lequel nous naviguions depuis 36 jours donner raison aux thèses d'Andonis. Mais ce n'est pas ce qui m'inquiéter le plus nous devions mettre quinze jours à rallier l'Inde mais nous ne voyons rien.

Ma vie est en danger, les hommes ont déjà essayer de se révolter mais je suis persuadé que nous trouverons une terre. Au moment où je formulais cette pensée un jeune espagnol Rodrigo de Trianaqui nous avait rejoint à la vigie cria: 

"Terre ! Terre ! Terre !

-Est-ce l'Inde ?*

Les scientifiques se rapprochant pour mieux voir me répondirent;

"La côte ne ressemble pas à celle de l'Inde j'y suis déjà aller et sa ne ressemble pas c'est une îles il faudra la cartographier il y a peut être un continent plus loin cria Georgios

-Merci Messieurs leur répondis-je."

Georgios et Manolis regardaient leur collègue Manolis avec un air victorieux marquant la victoire de leurs thèses.

Les navires s'approchèrent de l'île nous pûmes voir qu'il y en avait deux principales. Nous mirent pied à terre et en plantant le drapeau Byzantin je dis;

"Nous sommes ici pour le Basileus Constantin XII les deux îles principales de cette archipel deviennent le îles Hénèïdes et propriété de l'empire Byzantin."

Puis nous pûmes rencontrés les indigènes ils étaient technologiquement extrêmement en retard sur nous et leurs mœurs étaient étranges mais nous n'étions pas la pour eux je commandais aux hommes du paidí de construire une garnisons avec leur navire nous reviendrions les chercher et ils seraient remplacés par des soldats byzantins. Je leur intimait de se tenir tranquille et de respecté la population locale. Puis nous reprîmes la mer. Je regardais la côtes des îles Hénèïdes tandis que les scientifiques observaient des échantillons de plantes et étudias la côte avec des lunettes.

Il y avait des petites îles mais nous voyons qu'il y avait un autre contient nous reviendrons avec plus de moyen cette fois. Mais d'abord nous devions préparé le voyage retour.

 Mais d'abord nous devions préparé le voyage retour

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