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Salam aleykoum



















Les gens riches sont ceux qui se sont réveillés avec la santé, la subsistance et dans la paix.

























J'ai senti que je me pissais dessus petit à petit.

Moi: Tata..Fatima..Ibrahima vous êtes là.

Ta Fatima se dirige vers moi pour me prendre dans ses bras. Ibrahima reste à sa place. Il s'est rasé la tête et son visage est pâle. Même sa barbe a disparu. Il a l'air d'un oeuf. On le reconnaîtrait même pas.

Je réglerait cela plus tard. En attendant, je dois gérer ce problème.

Ma tante se met à féliciter Nafi tandis que je réfléchissais.

Elle: Ibrahima, pourquoi tu ne salues pas ta cousine ?

Lui: Je l'ai salué. Elle m'a peut-être pas entendu.

Je ne l'ai pas entendu me saluer car je suis perdue dans mes pensées.

Moi: Je réfléchis à quelque chose. Je ne t'ai pas entendu. Ma tante, pourquoi on irait pas au salon ? Tout le monde est là-bas.

Elle: Tu as raison. Je vais aller voir bineta. Je vous devance.

Je lui souris.

Ibrahima présente ses félicitations à Nafi qui était sur un petit nuage.

Lui: Je vais partir. Je dois aller voir le docteur à 13h

Moi: Mais pourquoi ? Tu es malade ?

Il m'a regardé froidement.

Lui: Nafi, tu peux me laisser parler avec Asma s'il te plait.

Ça sent pas bon.

Nafi: Pourquoi vous n'iriez pas quelque part d'autre ? La maison est grande et c'est ma chambre le lieu de discussion

Moi : ta future ancienne chambre tu veux dire. ( rires )

Elle me tchiip.

Ibrahima : Je suis sérieux.

On s'arrête de rire et Nafi part en boudant.

Ibrahima reste un long moment sans parler avant de s'adosser au mur, les mains dans la poche de son sweat.

Lui: Dis à ton copain de sortir.

Mon coeur a raté un battement. Comment il fait toujours pour savoir ce que je fais ?

Moi: Qui ça ? Qu..quel co..copain ?

Il me regarde droit dans les yeux. J'ai eu froid au dos. Je ne me fais pas répéter. Jules sort à ma demande.

Il regarde Ibrahima avec un air de défi tandis que ce dernier nous regardait dégoûté.

Moi: Je te jure Ibrahima, ce n'est plus mon copain. Il est rentré ici je ne sais par quel moyen. Je lui ai demandé de partir. Wallah ce n'est pas ce que tu crois. Jules dis lui.

Jules: C'est vrai. Je voulais juste --

Ibrahima : Ferme la déja. C'est quoi ce genre de mec ? Tu t'appelles homme alors que tu entraines ta copine dans des vices ? Vous lui apprenez à être une __.

Jules: Calme toi bro.

Lui : t'as intérêt à sortir d'ici tout de suite.

Jules ne bouge pas. Je lui fais un langage des yeux de quitter la chambre et il finit par abdiquer.

Mon imam d'amour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant