Dans la nuit obscure de son âme errante,
Où les nuages noirs tissent un voile pesant,
Elle marche, l'âme en peine, sans lumière,
Cherchant une lueur dans l'ombre austère.
Les étoiles, éteintes, se cachent,
Et son cœur bat au rythme des orages,
La tristesse murmure, profonde et silencieuse,
Chaque pas devient une quête périlleuse.
Mais voici qu'une autre âme s'approche,
Douce et claire, comme un souffle de l'aurore,
Elle chasse les nuages d'un geste tendre,
Et sous sa main, la nuit commence à s'étendre.
Les nuages se déchirent, laissant place à la lune,
Qui éclaire leur chemin d'une lumière commune,
L'obscurité s'efface, le chagrin s'enfuit,
Et dans ses yeux, renaît l'espoir de la nuit.
Sous la lune renaissante, elles se tiennent ensemble,
Deux cœurs, unis dans une danse éternelle,
L'une éclairant la nuit de l'autre, sans fin,
Transformant les ténèbres en un doux matin.
