Chapitre 7

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Elle a roulé des yeux avant de s'exprimer.

_ Qu'est-ce qui vous amuse ? Vous vous moquez de moi ?

_ Du tout, je te trouve drôle tout simplement.

_ Hum, de toutes les façons je ne sais pas pourquoi je perds mon temps avec vous. Sortez de ma chambre s'il-vous-plaît !

_ Le hic c'est qu'il s'agit tout autant de la mienne chérie.

Elle a ouvert grand les yeux quand j'ai dit cela.

_ Vous vous prenez pour qui ?

La seconde qui suit, elle s'est dirigée à grands pas vers la porte et a essayé de l'ouvrir avant de constater qu'elle était verrouillée.

_ C'est vous n'est-ce-pas ?

Enchaîna t'elle aussitôt en me pointant du doigt.

_ Moi? J'ai bien peur de ne pas comprendre ta question.

_ Ne jouez pas à ce jeu avec moi. Vous avez fermé cette porte sciemment. Ouvrez la tout de suite , c'est un ordre !

Dit-elle en tapant le pied sur le carrelage.

_ Ohhh la la , peux-tu le refaire à nouveau ? C'était jouissif !

_ Vous êtes fou !

_ On me le dit très souvent.

Dis-je en réduisant la distance entre nous.

Elle a reculé et s'est rendue compte quelques instants après qu'elle était bloquée contre la porte. Ne pouvant plus bouger, elle est restée figée et a attendu son sort.

_ Nous sommes mariés légalement et en cas de doute, je pourrais te fournir les documents qui attestent cela. Ce soir c'est notre nuit de noce et j'ose croire que tu sauras me satisfaire.

Je me suis penché pour lui murmurer cela à l'oreille. Son corps s'est tendu , elle frissonnait.

_ Je n'ai jamais voulu de ce mariage !

_ L'heure n'est plus au regret !

M'exclamé-je en mordillant la lobe de son oreille.

Elle a sursauté et a tenté de bouger pour s'éloigner de moi.

_ N'essaie pas de lutter, ça sera plus douloureux pour toi dans ce cas.

J'étais serein, le désir que j'éprouvais pour elle s'était accru avec le temps. Je ne voulais pas uniquement la pénétrer, je voulais qu'elle me soit soumise et pour cela, je devais faire taire son côté sauvage. Il n'ya qu'un seul capitaine dans un navire. Elle devra l'accepter et se plier à mes exigences pour sa propre survie.

L'instant d'après, j'ai fait passer mes doigts fins sous sa nuisette et je me suis mis à dégrafer son soutien.

Elle m'a laissé faire même si je savais au fond qu'elle luttait intérieurement pour paraître forte.

Dès que je l'ai enlevé, j'ai retiré sa nuisette et celle-ci a glissé le long de son corps pour atterrir sur le sol. J'ai porté mon regard ensuite sur son corps. Il était chaud, jeune et répondait à mes critères. Je ne m'étais pas trompé sur son compte. Ses seins ronds étaient bien debouts et positionnés tout droit sur moi pour me signaler à quel point ils n'attendaient qu'un seul geste de ma part.

Elle a fermé les yeux et a positionné sa main pour cacher sa poitrine. Ses doigts ont écrasé ses tétons, au lieu de m'irriter cela m'a plutôt excité. Je pouvais ressentir mon sexe prendre du volume dans mon pantalon.

J'ai baissé sa main délicatement.

_ Tu n'as pas à avoir honte. Je t'apprendrai à affirmer ton corps. Il est si beau !!!

Elle a baissé la tête mais a refusé d'ouvrir les yeux.

J'ai soulevé mon bras en direction de sa poitrine. La seconde qui suit, je me suis mis à jouer avec ses tétons. Je les titillais pour voir comment elle allait réagir en déclenchant un chronomètre dans mon esprit.

"Combien de temps vas-tu tenir dans cet état ma toute belle ?"

Sous cet angle, je ressemblais plus à un pervers, un psychopathe mais cela n'était qu'une bribe de ma véritable nature. J'aimais tout ce qui est sale, et bien fait. Elle allait l'apprendre et s'adapter au fil du temps.

*

Quelques instants après,  j'ai touché son sexe avec mes doigts. Ceux-ci sont entrés en contact avec le tissu doux de sa petite culotte et j'ai remarqué aussitôt qu'elle était humide.

La petite coquine.

Je ne la laissais pas indifférente. Elle appréciait ce que j'étais en train de lui faire. Comme un vicieux, j'ai décalé le fin tissu pour caresser son sexe. Elle avait une magnifique forêt dense , c'était troublant. La texture était agréable au toucher. Cela m'a distrait durant une fraction de seconde avant que je ne revienne à moi. Je me suis mis à la recherche de son boutin d'or, dès que je l'ai repéré. Je l'ai encerclé à l'aide de mes doigts pour le capturer.

Mon geste lui a valu un gémissement. Elle s'est tortillée , a tenté de rejeter ma main mais j'ai attrapé ses poignets à l'aide de mon bras libre pour les bloquer au dessus de sa tête.

_ Tu es ma femme, je ne suis pas en train de voler. Je vais prendre plaisir à te goûter. Ne sois pas pressée car nous avons toute la nuit devant nous ...... ( J'ai marqué une pause avant de poursuivre.)___ Ça ne sert à rien de lutter. Tu ne fais pas le poids face à moi et tu devrais être honnête avec toi-même. Je sais que tu me désires, ton corps te trahis à chaque fois que je te touche.

J'ai inséré mon doigt dans sa féminité au même instant, elle s'est contractée et m'a foudroyé du regard.

J'ai souri.

_ Pour ta première fois, je serais tendre avec toi !

Elle s'est mise à battre des cils et j'ai pu apercevoir son pouls s'accélérer.

Avait-elle peur ?

Elle le devrait car je ne suis pas un gentil garçon.

POURQUOI J'AI TUÉ MON MARI ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant