Chapitre 27:

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Point de vue Nour:

J'ouvre les yeux et je le vois devant moi.

Lui

Elias.

Le stresse monte d'un seul coup, il s'approche de plus en plus de moi.

Je regarde autour, espérant trouver de l'aide mais rien, personne, je suis seule avec ce monstre.

Il est à un mètre de moi, il va me tuer, je vais mourir de sa main.

Il sort un truc de sa poche, une arme.

Les larmes me montent et lui s'arrête net, puis il me vise avec son arme.

Elias: Adieu.

Boom.

Je me réveille en sursaut, toute essoufflée. Putain, j'ai juste faut un cauchemar.

Je me sens toute fatiguée et super mal, je sais pas comment vous expliquez. Je regarde autour de moi, en pensant être chez moi, mais je constate que je suis dans une pièce qui m'est totalement inconnu, un salon plus précisément. Je vois qu'il y a les garçons sur un canapé un peu éloigné, ils n'ont pas remarqué que j'étais réveillée malgré la panique dans laquelle j'étais.

Je m'assoie et j'ai une force envie d'aller aux toilettes, comme je voulais pas les déranger je suis partie sans dire un mot à la recherche d'une salle de bain. Je me promenais dans la maison, enfin plutôt dans une espèce de villa, un peu similaire à celle dans laquelle je vis mais en beaucoup plus grand. Je monte les escaliers et je vois un loin couloir, avec au moins une vingtaine de portes.

J'ouvre toutes les portes et je tombe à chaque fois sur de simples chambres. J'arrive vers la fin du couloir et je trouve enfin ce que je cherche. J'entre dans la salle de bain et je fais ce que j'ai à faire, puis je ressors. J'allais descendre en bas pour rejoindre les garçons quand je vois une porte, un peu isolé des autres, qui attira mon attention.

Intriguée, je décide de l'ouvrir. J'avoue que j'avais un peu peur de ce que j'allais trouver mais un certain soulagement vint prendre place quand je fis face à un simple bureau. J'allais repartir mais un tiroir avec une clé dans sa serrure attira de nouveau mon attention. Je me dirige vers ce tiroir et l'ouvre, mais mon sang se glace quand je vois...














Une arme.












Je lache un cri d'effroi et de peur avant de mettre la main devant ma bouche. Putain qu'est-ce qu'un putain d'arme fou dans un bureau merde !?

Je voulais m'assurer que se soit une vraie alors je la prendre dans ma main et je l'examine, mais je crie une seconde fois car je savais pertinemment que c'était une vraie. Je le sais parce que c'est exactement la même que celle qu'Elias à pointer sur moi hier et dans mon cauchemar...

J'étais entrain d'examiner l'arme quand j'entend:

?-: Qu'est-ce que tu fous avec ça putain !?

Je sursaute et je vois Ilyes, les poings serrés et les sourcils froncés. Je peux ressentir la colère dans son regard.

Moi: Euh...je...

Chronique de Nour: un amour forcé, devenu sincère. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant