Chapitre 2

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 — Votre altesse impériale, une lettre est arrivée pour vous. Me signale une domestique en pénétrant dans l'atelier.

 — Posez la sur la petite table, j'ai presque fini mon tableau. Fis je savoir sans la regarder. Nourrice, dis moi ce que tu ressens lorsque tu l'observe.

Du coin de la pièce où ma nourrice faisait une broderie sur mouchoir pour mon frère, elle me regarda de son regard bleu clair et fatiguée. Sa robe bleu bien que trop vieille et délavé lui donnait une allure tranquille et reposante. 

— Votre altesse Kiara. Me sourie t'elle avec douceur. Comme toujours vos tableaux sont superbes et non jugeable.

— Je le sais bien nourrice, c'est pour cela que je te le demande, toi seule et ma famille êtes sincères avec moi.

Je lui jetais un petit regard triste, bien que je sois loin de l'être. Marie, ma nourrice, m'as élevée moi ainsi que mon frère lorsque mère était alitée ou ne pouvait point s'occuper de nous suite à des obligations impériales. Marie, est un soutiens, c'est avec elle que mes pouvoirs ce sont manifesté lorsque j'ai réalisé ma première broderie pour père, bien qu'elle ait été médiocre père a absolument exigé à ce qu'il soit conservé dans une boîte en velours bleu.

— Oh mon dieu Kiara ! S'exclame ma nourrice en voyant le tableau. Il est ... J'en ais point les mots. Toutes ces couleurs rayonnantes, on a l'impression de vivre la scène.

Je regardais mon œuvre avec un sourire, la toile représentait la scène dansante de deux amants dans un bal, bien sûre, je m'étais inspiré de la valse de mon frère à quelques détails près pour ce tableau, la robe qui aurait du être rouge est devenue orange et la tenu de l'homme est devenu vert forêt, les traits des visages se sont affinées afin qu'on ait l'impression que les deux amants ne pouvait se quitter à travers la danse. Les lumières de la salle de bal du tableau sont rougeâtres, les murs se teintait de jaune et de quelques lueurs d'oranges autour des bougies. Tandis que les visages des personnes dans la foule, sont flou comme si nous observions la tableau via les yeux d'une personne subjugué par les deux amants que l'on ne pourrait en détacher le regard. 

— Votre altesse vous avez vraiment un don. Sourie ma nourrice en posant délicatement sa main ridé sur mon épaule. Et si vous faisiez une pause pour lire la lettre qui est parvenue il y a peu ?

Je travaillais depuis le petit matin sur la toile que je n'avais point remarquer que le soleil était déjà bien haut dans le ciel bleu. Leur du déjeuner était déjà sûrement passer, mère et père ont du se douter que je ne pointerais pas le bout de mon nez de sitôt. Lorsque je quittais ma contemplation du ciel, ma nourrice me tendait la lettre dans l'une ce ces mains et de l'autre elle tenait un fin couteau à enveloppe en argent qui était incrusté d'une petite opale noble en forme de gouttelette sur le manche. Je la remerciais silencieusement du regard, époussetait ma robe bleu grisâtre, de la probable poussière non existante qu'il pourrait y avoir.
L'enveloppe était plutôt simple, d'un vieux jaune claire avec le cachet de cire de l'académie Miel. Le contenue ne pouvait plus qu'être ma lettre d'admission. Sans plus attendre, je sortis de l'atelier en trombes, ma nourrice me suivant de près. 

Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas rendu sur le terrain d'entrainement de la garde. La dernière fois remonte à quelques années lors du choix du capitaine de ma garde rapprochée, depuis je ne sais plus vraiment comment est le terrain, bien que j'avais pour habitude d'aller rendre visite à mon frère lorsque j'avais le temps entre deux leçons d'étiquettes. Puis avec le temps et les âges, je m'y suis rendue moins souvent, voyant de moins en moins Edward, puis lorsqu'il est partit à l'académie Miel, je les de moins en moins vu. Heureusement que lors de ces brèves visite au palais on pouvait passer du temps ensemble ce qui nous fait de notre lien quelque chose d'incasable et de fort.

Les Eternels t.1 - La Rose de CrystalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant