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Ce soir la, je décida d'accepter sa demande.
La jeune femme arriva à me remarquer dès que j'y suis arrivé. Elle portait un kimono blanc, ses cheuveux toujours étant attachés. Ce dernière s'approcha de moi pour me saluer, enfin c'était ce que je pensais.
-"Pourquoi l'uniforme ?"
-"Il fait nuit, et un démon pourrait surgir à tout moment."
Elle me observa une dernière fois de haut en bas.
-"Si tu le dis...?"
Je sentis sa main attrapé mon poignet, mes yeux ne pouvaient détourner du regard les lanternes accrochés un peu partout, elles étaient jolies...
Après quelques minutes de marche, nous arrivons devant un stand. Elle acheta ce qui semblait être deux yakitoris, avant de m'en offrir une. Puis, poursuiva sa marche.
-"Tu es bien plus silencieux que je ne pouvais l'imaginer, Tomioka."
Remarquant mon silence, Kasumi reprit la parole.
-"Tu es des amis au moins ?"
-"J'en ai..."
-"Tant mieux, alors."
Ses questions étaient assez aléatoires, mais une retena mon attention.
-"Tu es déjà aller à un festival au paravent ?"
Je ne repondi pas de suite, pendant à former ma réponse, sans trop donner de détails.
-"Je ne suis aller que une fois."
-"Je vois... Tu devrais y aller un peu plus souvent."
Après s'être tut. Elle tourna la tête vers moi, me regardant droit dans les yeux.
-"Ça te fera pas de mal de t'y rendre ici avec moi chaque année, puisque tu sembles assister très rarement aux festivals."
-"Comme... Une sorte de rendez-vous ?"
-"Un peu comme ça... Qu'en penses tu ?"
-"Que quand j'aurai le temps pour cela."
Malgré ma réponse peu négative, je venais tout de même la rejoindre chaque année comme ceci était dit. Sauf aujourd'hui, je revenais assez fatigué d'une mission, après avoir laisser un démon vivre à contre cœur. Elle n'était pas aller non plus, pour prendre soin des profondeurs blessés.
Je vena tout de même aux domaines de Kocho, pour prendre quelques bandages.
Arrivé là-bas, je pû l'observer de loin, elle tenait entre ses mains une lettre, dont je parvient à reconnaître l'écriture de l'écrivain.
Finalement, elle leva la tête pour me regarder, me souriant faiblement comme à son habitude.
Je savais la question qu'elle avait en tête, elle resta tout de même silencieuse.
-"Tu sembles stressé, est-ce par rapport à ce qu'il s'était passé ?"
