Je vis avec cette sentence
Couverte de secrets cachés et de mots masqués.
Mon cœur est fissuré en plusieurs morceaux.
Se déconstruisant, je vois tes yeux Ébène.
Je me baigne dans ton ombre à l'arrière de la scèneFaisant naufrage dans les barrages que tu as posés.
Nos pleurs en solitaire se meurent depuis nos derniers baisers
Nos cœurs résonnent comme un écho fou durant la nuit argentée.
On se détache, on se blesse,
On s'auto-mutile,
On se quitte, on se retrouve,
On se détache, on se blesse,
On s'auto-mutile,
On se retrouve.
Encore et encore.
Cycle malheureux, cercle vicieuxmes névroses sont les tiennes,
tes névroses sont les miennes
On forme un un, un nœud indénouable.Deux personnes similaires.
Déchiré par les cicatrices d'un passé austère.Rempli de vices et de Narcisses
Tu es le reflet de mon âme précise
Illuminant ma pensée les plus intimes
Ton absence résonne comme une sentence.
Je suis prisonnière de ton silenceJe t'attendrai jusqu'à notre dernière danse
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Poésie chronique : Summertime sadness
PoetryLa mélancolie d'été revient les roses se fanent comme mes pensées qui se blâment Des fins tourments brouillant mon horizon je n'ai que les larmes inondant mon esprit malade La solitude est mon arme, la musique est un remède. Je suis sereine avec...